Les soldats français étaient 450 à Tombouctou, ils sont remplacés par 650 Burkinabè, arrivés il y a deux semaines. Deux semaines pendant lesquelles la passation a été organisée. Capitaine Dorian, officier-adjoint de l’escadron français d’aide à l’engagement s'explique :
« La première chose était d’accueillir nos frères d’armes, de leur montrer le dispositif que nous avions pris pour la sécurité de l’aéroport puis de la ville de Tombouctou avec l’armée malienne. Ensuite, pour ce qui est de la sécurité de la ville, nous avons participé avec eux et avec les forces armées maliennes à des patrouilles conjointes, pour leur montrer les quartiers et un certain nombre de choses ».
Malgré deux attaques survenues en un mois, le capitaine français juge la situation sécuritaire satisfaisante. Le commandant Gilles commande le bataillon burkinabè de Tombouctou. Après Markala et Djabialy au mois de janvier, c’est la première fois qu’il prend le relais des Français et il se sent prêt :
« La tâche n’est pas impossible même si elle est grande. Nous avons les capacités aussi bien personnelles que matérielles pour accomplir notre mission. En liaison avec la force Serval et nos frères maliens, nous allons être en mesure d’accomplir notre mission ici, rassurer la population et pouvoir contrer toutes sortes de menaces qui pourraient se présenter dans la ville».
A la fin de la semaine, il ne restera plus qu’une trentaine de soldats français à Tombouctou qui assureront la coordination avec l’opération Serval et conseilleront le commandement burkinabè.
« La première chose était d’accueillir nos frères d’armes, de leur montrer le dispositif que nous avions pris pour la sécurité de l’aéroport puis de la ville de Tombouctou avec l’armée malienne. Ensuite, pour ce qui est de la sécurité de la ville, nous avons participé avec eux et avec les forces armées maliennes à des patrouilles conjointes, pour leur montrer les quartiers et un certain nombre de choses ».
Malgré deux attaques survenues en un mois, le capitaine français juge la situation sécuritaire satisfaisante. Le commandant Gilles commande le bataillon burkinabè de Tombouctou. Après Markala et Djabialy au mois de janvier, c’est la première fois qu’il prend le relais des Français et il se sent prêt :
« La tâche n’est pas impossible même si elle est grande. Nous avons les capacités aussi bien personnelles que matérielles pour accomplir notre mission. En liaison avec la force Serval et nos frères maliens, nous allons être en mesure d’accomplir notre mission ici, rassurer la population et pouvoir contrer toutes sortes de menaces qui pourraient se présenter dans la ville».
A la fin de la semaine, il ne restera plus qu’une trentaine de soldats français à Tombouctou qui assureront la coordination avec l’opération Serval et conseilleront le commandement burkinabè.
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