Les forces de sécurité algériennes ont intercepté samedi 13 avril un envoi d’armes en provenance de Libye et destinées aux terroristes dans le Nord-Mali.
Lors de cette opération, les forces spéciales ont abattu cinq terroristes qui appartenaient au Mouvement pour l’unité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO), affilié à al-Qaida, et qui étaient chargés de protéger ce convoi d’armes.
Wakt El Djazair a cité une source de sécurité expliquant qu’une unité antiterroriste de l’armée appuyée par deux hélicoptères avait pu détruire deux SUV transportant cinq hommes armés. Cette difficile poursuite de ces deux véhicules a été effectuée par les forces de sécurité conjointes dans la région agricole de la vallée de Guineen, située à environ 190 kilomètres du district de Bordj Badji Mokhtar, dans la wilaya de l’Adrar.
Le journal a ajouté que trois lance-grenades avaient été saisis, ainsi que cinq pistolets automatiques et une importante quantité de munitions qui se trouvaient en possession de ce groupe terroriste. Ce groupe armé assurait la protection d’un important envoi d’armes provenant de la ville libyenne de Sabha et à destination de la ville malienne d’In Khalil, en empruntant une route désertique difficile commençant au poste-frontière de Tin El Koum, dans le district de Djanet, et passant par la cité historique malienne d’Ameghzi.
Deux jours avant cette opération, les forces armées avaient lancé une importante opération de ratissage dans la région située non loin d’In Khalil, au Mali, après avoir reçu des informations sur les activités d’un groupe terroriste présent dans la région composé de cinq personnes à bord d’un SUV.
L’armée avait imposé un cordon de protection en utilisant des hélicoptères pour découvrir la trace de ce groupe.
Avant cette opération, une unité de l’armée avait découvert des armes et des munitions cachées dans les dunes alors qu’elle effectuait une mission de surveillance dans le désert de Tanezrouft dans l’Adrar.
« Les groupes terroristes assurent la protection des itinéraires de franchissement de la frontière, permettant le passage de convois de trafiquants de drogue dont les activités ont été grandement affectées depuis le début de la guerre au Sahel et au Sahara », aurait expliqué ce trafiquant.
Ces renseignements ont incité les responsables algériens de la sécurité à envoyer des unités supplémentaires de l’armée dans les régions utilisées par les groupes terroristes et les trafiquants pour s’enfoncer dans le désert.
L’armée a également renforcé sa présence aérienne pour la surveillance des routes désertiques dans le Sud en implantant plusieurs bases à In Amenas, El Ménia, Ouargla et Tamanrasset.
Ces opérations ont permis de mettre à jour une cache d’armes dans un endroit du désert situé non loin de la région de Jafar, au nord d’El Ménia, dans la wilaya de Ghardaïa.
Des hélicoptères ont également détruit deux véhicules chargés de munitions appartenant aux trafiquants dans la province de Tamanrasset.
Les forces de sécurité ont arrêté plusieurs personnes impliquées dans ces opérations de contrebande et membres d’une cellule de soutien au terrorisme.
Lors de cette opération, les forces spéciales ont abattu cinq terroristes qui appartenaient au Mouvement pour l’unité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO), affilié à al-Qaida, et qui étaient chargés de protéger ce convoi d’armes.
Wakt El Djazair a cité une source de sécurité expliquant qu’une unité antiterroriste de l’armée appuyée par deux hélicoptères avait pu détruire deux SUV transportant cinq hommes armés. Cette difficile poursuite de ces deux véhicules a été effectuée par les forces de sécurité conjointes dans la région agricole de la vallée de Guineen, située à environ 190 kilomètres du district de Bordj Badji Mokhtar, dans la wilaya de l’Adrar.
Le journal a ajouté que trois lance-grenades avaient été saisis, ainsi que cinq pistolets automatiques et une importante quantité de munitions qui se trouvaient en possession de ce groupe terroriste. Ce groupe armé assurait la protection d’un important envoi d’armes provenant de la ville libyenne de Sabha et à destination de la ville malienne d’In Khalil, en empruntant une route désertique difficile commençant au poste-frontière de Tin El Koum, dans le district de Djanet, et passant par la cité historique malienne d’Ameghzi.
Deux jours avant cette opération, les forces armées avaient lancé une importante opération de ratissage dans la région située non loin d’In Khalil, au Mali, après avoir reçu des informations sur les activités d’un groupe terroriste présent dans la région composé de cinq personnes à bord d’un SUV.
L’armée avait imposé un cordon de protection en utilisant des hélicoptères pour découvrir la trace de ce groupe.
Avant cette opération, une unité de l’armée avait découvert des armes et des munitions cachées dans les dunes alors qu’elle effectuait une mission de surveillance dans le désert de Tanezrouft dans l’Adrar.
Ces armes saisies comprenaient 137 magasins vides pour des armes automatiques et des ceintures de munitions pour des mitraillettes, ainsi que 16 mitraillettes et leurs munitions.« L’enquête menée par les forces de sécurité autour de ces réseaux de trafic d’armes a montré qu’AQMI dépend des trafiquants pour changer ses sites de stockage d’armes et transporter ses équipements militaires lourds de ses bastions dans le Nord-Mali vers des destinations inconnues en territoire algérien », a expliqué Kamel Hadif, journaliste spécialisé dans les questions de sécurité.
Un trafiquant d’armes arrêté mi-mars par les forces de sécurité algériennes avait fourni des informations selon lesquelles des convois d’armes étaient transportés par des contrebandiers à travers le désert malien jusqu’au sud de l’Algérie.« Les groupes terroristes assurent la protection des itinéraires de franchissement de la frontière, permettant le passage de convois de trafiquants de drogue dont les activités ont été grandement affectées depuis le début de la guerre au Sahel et au Sahara », aurait expliqué ce trafiquant.
Ces renseignements ont incité les responsables algériens de la sécurité à envoyer des unités supplémentaires de l’armée dans les régions utilisées par les groupes terroristes et les trafiquants pour s’enfoncer dans le désert.
L’armée a également renforcé sa présence aérienne pour la surveillance des routes désertiques dans le Sud en implantant plusieurs bases à In Amenas, El Ménia, Ouargla et Tamanrasset.
Ces opérations ont permis de mettre à jour une cache d’armes dans un endroit du désert situé non loin de la région de Jafar, au nord d’El Ménia, dans la wilaya de Ghardaïa.
Des hélicoptères ont également détruit deux véhicules chargés de munitions appartenant aux trafiquants dans la province de Tamanrasset.
Les forces de sécurité ont arrêté plusieurs personnes impliquées dans ces opérations de contrebande et membres d’une cellule de soutien au terrorisme.
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