Sahara Médias - Nord du Mali
Mercredi 24 Avril 2013
Le MNLA (Mouvement National de Libération de l'Azawad) informe l'opinion publique nationale et internationale qu'il n'hésitera aucunement à réagir militairement à toute provocation de ceux que le mouvement a qualifiés de (putschistes de Bamako.)
Dans un communiqué signé par leur Porte-parole Mossa Ag Attaher, le mouvement a affirmé que le Mali projetait d'attaquer les positions militaires tenues par ses unités a Anefis, Kidal et Menaka et qu'il avait, pour cela, mobilisés 300 véhicules.
Le MNLA confirme que tous ses combattants sont prêts à mourir, jusqu’au dernier d’entres-eux, pour protéger les populations de l'Azawad contre les inévitables exactions de l'armée malienne. Cette armée de putschistes, composée de criminels avérés, déjà largement dénoncés par Amnesty International et Human Rights Watch, selon le communique, ne parviendra à mettre la main sur les populations de l`azawad qu'après avoir exterminé le dernier des soldats du MNLA, et ce, quels que soient les soutiens dont bénéficient les putschistes de Bamako. Le MNLA précise très clairement qu’il pourrait avoir la terre entière contre lui qu’il n’acceptera jamais de livrer les populations civiles de l’Azawad aux horreurs de l’armée malienne sans avoir combattu jusqu’au dernier souffle du dernier de ses combattants.
Par ailleurs, le MNLA a également appris que les membres du « Groupe de contact et de soutien du Mali », réunis à Bamako, ont unanimement demandé le désarmement du MNLA comme « préalable » à toute négociation politique. Le MNLA, souligne le communiqué, les informe qu`il ne désarmera que le jour ou un véritable accord politique et définitif soit trouvé.
D’autre part, Le MNLA se dit scandalisé par les déclarations de la diplomatie française qui « prépare le terrain » aux exigences maliennes de désarmement d'un mouvement populaire et révolutionnaire qui n'a d'autres aspirations que de vivre en paix sur son territoire et protéger son peuple contre des exactions commises au grand jour, avérées et confirmées par les organisations internationales des droits humains.
Dans un communiqué signé par leur Porte-parole Mossa Ag Attaher, le mouvement a affirmé que le Mali projetait d'attaquer les positions militaires tenues par ses unités a Anefis, Kidal et Menaka et qu'il avait, pour cela, mobilisés 300 véhicules.
Le MNLA confirme que tous ses combattants sont prêts à mourir, jusqu’au dernier d’entres-eux, pour protéger les populations de l'Azawad contre les inévitables exactions de l'armée malienne. Cette armée de putschistes, composée de criminels avérés, déjà largement dénoncés par Amnesty International et Human Rights Watch, selon le communique, ne parviendra à mettre la main sur les populations de l`azawad qu'après avoir exterminé le dernier des soldats du MNLA, et ce, quels que soient les soutiens dont bénéficient les putschistes de Bamako. Le MNLA précise très clairement qu’il pourrait avoir la terre entière contre lui qu’il n’acceptera jamais de livrer les populations civiles de l’Azawad aux horreurs de l’armée malienne sans avoir combattu jusqu’au dernier souffle du dernier de ses combattants.
Par ailleurs, le MNLA a également appris que les membres du « Groupe de contact et de soutien du Mali », réunis à Bamako, ont unanimement demandé le désarmement du MNLA comme « préalable » à toute négociation politique. Le MNLA, souligne le communiqué, les informe qu`il ne désarmera que le jour ou un véritable accord politique et définitif soit trouvé.
D’autre part, Le MNLA se dit scandalisé par les déclarations de la diplomatie française qui « prépare le terrain » aux exigences maliennes de désarmement d'un mouvement populaire et révolutionnaire qui n'a d'autres aspirations que de vivre en paix sur son territoire et protéger son peuple contre des exactions commises au grand jour, avérées et confirmées par les organisations internationales des droits humains.
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