Vendredi 19 Avril 2013
Les efforts de l’Algérie pour un règlement politique à la crise malienne se poursuivent. En effet, une rencontre de réconciliation nationale entre les différentes parties maliennes du Nord est prévue au cours du mois en cours à Alger, a-t-on appris auprès de sources proche du dossier.
L’initiative a été conduite par la société civile, des partis politiques et autres personnalités qui travaillent d’arrache -pied afin de réussir cette rencontre, afin d’imposer la stabilité dans ces régions du frère malien.
A ce propos, Ali Zaoui, expert international dans les questions sécuritaires, un des initiateurs de la rencontre qui a le quitus des autorités de l’Algérie a indiqué hier dans une déclaration à « L’Actualité» que le but de cette rencontre est de réconcilier les différentes tribus et rebelles dans ces localités.
« Nous attendons sque plusieurs groupes activant dans le Nord du Mali soient présents à Alger. A titre d’exemple le MNLA, MAA, MIA et ANSAR EDDINE pacifique. Et ça en présence des représentant des Nation unis (ONU), Union Africain (UA) organisation économique des pays de l'Afrique de l'ouest (CEDAO), d’Union européenne défense de droit de l'homme auprès des nations unies et les pays du champ (l'Algérie, Niger et la Mauritanie et le Mali », a-t-il détaillé dans un entretien téléphonique que nous a accordés.
Selon lui, le but de cette rencontre est en premier lieu d’apporter le soutien pour les frères maliens afin de sortir de cette crise qui risque «gros» sur toutes la région et ainsi, déjouer le complot franco-marocain au Sahel.
« Comme nous le savons, le Maroc s’implique d’avantage dans le conflit sahélien, alors que ce dernier n’a rien avoir dans cette région, et également il (Maroc) veut montrer à l’opinion mondiale que les sahraouis sont des terroristes et c’est eux qui sont derrière les activités terroristes dans la région du Sahel», a-t-il dit.
Concernant la France qui mène actuellement des opérations militaires sur le territoire malien, a prouvé son «échec» sur le terrain, et le coup d’Etat au centre d’Afrique, ajoute notre interlocuteur, mené par des rebelles en faisant destituer Bouazizi considéré comme un allié de la France, de son poste de président l’a fragilisée davantage. Et, elle a montré les limites de sa stratégie préconisée dans le continent.
Rappelons qu’une rencontre similaire a été organisée début de l’année à Adrar, mais cette dernière n’a pas atteint les résultats escomptés d’elle, puisque cette dernière a été organisée dans des circonstances « particulières», coïncidant avec l’intervention militaire dans le Mali.
Concernant l’information rapportée par l’Agence française (AFP), dont laquelle, elle parle de présence de nombreux combattants du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), l’un des groupes terroristes qui ont occupé le nord du Mali, « sont retournés dans les camps du Polisario, à Tindouf ».
Une information qui a fait réagir l’Algérie. « Le bureau de l'agence France presse (AFP) de Bamako, vient encore de commettre une dépêche mensongère, une grossière entreprise de désinformation », a indiqué, avant-hier le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani.
Il a ajouté:« Nous sommes, dit-il, habitués aux errements intéressés et subjectifs de l'auteur de ce papier d'angle », ajoutant que « les développements consacrés au Polisario et au Sahara occidental sont truffés d'allégations mensongères » attribués, « pour la commodité de l'exercice », à un « militaire Africain qui, fort opportunément, demande le couvert de l'anonymat ».
Le porte-parole souligne qu’il s’agit là « d’une grossière entreprise de désinformation, puisque les relais régionaux d'instigation et de repli du Mujao sont bien connus de tous et ne se trouvent pas sur le territoire algérien ».
L’initiative a été conduite par la société civile, des partis politiques et autres personnalités qui travaillent d’arrache -pied afin de réussir cette rencontre, afin d’imposer la stabilité dans ces régions du frère malien.
A ce propos, Ali Zaoui, expert international dans les questions sécuritaires, un des initiateurs de la rencontre qui a le quitus des autorités de l’Algérie a indiqué hier dans une déclaration à « L’Actualité» que le but de cette rencontre est de réconcilier les différentes tribus et rebelles dans ces localités.
« Nous attendons sque plusieurs groupes activant dans le Nord du Mali soient présents à Alger. A titre d’exemple le MNLA, MAA, MIA et ANSAR EDDINE pacifique. Et ça en présence des représentant des Nation unis (ONU), Union Africain (UA) organisation économique des pays de l'Afrique de l'ouest (CEDAO), d’Union européenne défense de droit de l'homme auprès des nations unies et les pays du champ (l'Algérie, Niger et la Mauritanie et le Mali », a-t-il détaillé dans un entretien téléphonique que nous a accordés.
Selon lui, le but de cette rencontre est en premier lieu d’apporter le soutien pour les frères maliens afin de sortir de cette crise qui risque «gros» sur toutes la région et ainsi, déjouer le complot franco-marocain au Sahel.
« Comme nous le savons, le Maroc s’implique d’avantage dans le conflit sahélien, alors que ce dernier n’a rien avoir dans cette région, et également il (Maroc) veut montrer à l’opinion mondiale que les sahraouis sont des terroristes et c’est eux qui sont derrière les activités terroristes dans la région du Sahel», a-t-il dit.
Concernant la France qui mène actuellement des opérations militaires sur le territoire malien, a prouvé son «échec» sur le terrain, et le coup d’Etat au centre d’Afrique, ajoute notre interlocuteur, mené par des rebelles en faisant destituer Bouazizi considéré comme un allié de la France, de son poste de président l’a fragilisée davantage. Et, elle a montré les limites de sa stratégie préconisée dans le continent.
Rappelons qu’une rencontre similaire a été organisée début de l’année à Adrar, mais cette dernière n’a pas atteint les résultats escomptés d’elle, puisque cette dernière a été organisée dans des circonstances « particulières», coïncidant avec l’intervention militaire dans le Mali.
Concernant l’information rapportée par l’Agence française (AFP), dont laquelle, elle parle de présence de nombreux combattants du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), l’un des groupes terroristes qui ont occupé le nord du Mali, « sont retournés dans les camps du Polisario, à Tindouf ».
Une information qui a fait réagir l’Algérie. « Le bureau de l'agence France presse (AFP) de Bamako, vient encore de commettre une dépêche mensongère, une grossière entreprise de désinformation », a indiqué, avant-hier le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani.
Il a ajouté:« Nous sommes, dit-il, habitués aux errements intéressés et subjectifs de l'auteur de ce papier d'angle », ajoutant que « les développements consacrés au Polisario et au Sahara occidental sont truffés d'allégations mensongères » attribués, « pour la commodité de l'exercice », à un « militaire Africain qui, fort opportunément, demande le couvert de l'anonymat ».
Le porte-parole souligne qu’il s’agit là « d’une grossière entreprise de désinformation, puisque les relais régionaux d'instigation et de repli du Mujao sont bien connus de tous et ne se trouvent pas sur le territoire algérien ».
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