Les forces de l’ordre sont arrivées ce vendredi matin au camp des bérets rouges de Djicoroni-para aux alentours de 7h30 avec de nombreux véhicules remplis d’hommes en arme. Il y a des éléments de l’armée, des bérets verts, des gendarmes et des policiers, très énervés.
Selon eux, les femmes et les enfants des bérets rouges avaient organisé une manifestation et brûlé un véhicule. C’est la raison pour laquelle ils seraient intervenus. Les bérets rouges démentent cette version. Ils assurent qu'aucune voiture n’a été brûlée et les militaires seraient rentrés dans le camp spontanément.
Impossible d’entrer dans le camp, ni de s’en approcher à moins de 50 mètres. Les militaires demandent aux journalistes de « dégager », menaces à l’appui, ou pour des raisons de sécurité.
De nombreux coups de feu ont été tirés, avec des salves par moment très nourries. « Des tirs de sommation », expliquent les militaires. « Ils tirent sur nos femmes et nos enfants », affirment les bérets rouges joints au téléphone.
Des pneus ont été brûlés. Il s’en dégage une épaisse colonne de fumée noire. Difficile pour le moment d’être précis. Il y aurait plusieurs blessés : deux ou trois femmes, plusieurs enfants, à l’intérieur du camp. C’est du moins ce qu’affirment plusieurs témoins. Un garde aurait également été blessé. Impossible pour le moment d’avoir une confirmation car la situation est très tendue, très incertaine. Les forces de l’ordre continuent d’encercler le camp. Des renforts sont arrivés sur place.
Selon eux, les femmes et les enfants des bérets rouges avaient organisé une manifestation et brûlé un véhicule. C’est la raison pour laquelle ils seraient intervenus. Les bérets rouges démentent cette version. Ils assurent qu'aucune voiture n’a été brûlée et les militaires seraient rentrés dans le camp spontanément.
Impossible d’entrer dans le camp, ni de s’en approcher à moins de 50 mètres. Les militaires demandent aux journalistes de « dégager », menaces à l’appui, ou pour des raisons de sécurité.
De nombreux coups de feu ont été tirés, avec des salves par moment très nourries. « Des tirs de sommation », expliquent les militaires. « Ils tirent sur nos femmes et nos enfants », affirment les bérets rouges joints au téléphone.
Des pneus ont été brûlés. Il s’en dégage une épaisse colonne de fumée noire. Difficile pour le moment d’être précis. Il y aurait plusieurs blessés : deux ou trois femmes, plusieurs enfants, à l’intérieur du camp. C’est du moins ce qu’affirment plusieurs témoins. Un garde aurait également été blessé. Impossible pour le moment d’avoir une confirmation car la situation est très tendue, très incertaine. Les forces de l’ordre continuent d’encercler le camp. Des renforts sont arrivés sur place.
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