Dans les milieux officiels, on affirme que les soldats gouvernementaux ont effectué un repli tactique du camp militaire de Tessalit. Mais pourquoi faire un repli tactique en abandonnant cette position hautement stratégique ? Réponse d’un officiel : « En face de nous, il y avait des combattants touaregs et d’al-Qaïda au Maghreb islamique, alors nous avons voulu éviter un massacre parce que de nombreux civils pouvaient être des cibles à l’intérieur du camp et dans les environs ».
Côté rebelles touaregs, c’est une autre version : des combats auraient commencé dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 mars, le camp a commencé par se vider de ses hommes et il est tombé finalement après des combats ce dimanche matin dans les mains des rebelles, qui affirment avoir fait des prisonniers civils et militaires.
Une autre question se pose : y a-t-il eu des victimes et des blessés ? « Non », répond une source militaire malienne, alors que du côté de la rébellion, on affirme qu’on le dira plus tard.
Tessalit représente un verrou important. Sur place, il y a une piste d’atterrissage et cette localité est aussi un axe primordial du nord-est du Mali, qui mène notamment vers l’Algérie voisine.
Côté rebelles touaregs, c’est une autre version : des combats auraient commencé dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 mars, le camp a commencé par se vider de ses hommes et il est tombé finalement après des combats ce dimanche matin dans les mains des rebelles, qui affirment avoir fait des prisonniers civils et militaires.
Une autre question se pose : y a-t-il eu des victimes et des blessés ? « Non », répond une source militaire malienne, alors que du côté de la rébellion, on affirme qu’on le dira plus tard.
Tessalit représente un verrou important. Sur place, il y a une piste d’atterrissage et cette localité est aussi un axe primordial du nord-est du Mali, qui mène notamment vers l’Algérie voisine.
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