Mokthar Belmokhtar avait affirmé en novembre qu’Aqmi s’était procuré des armes en Libye. Pour la première fois, selon des sources sécuritaires maliennes et nigériennes, il serait lui-même dans l’ancienne Jamahyria.
Ces sources ne donnent pas plus de précision sur cette information qui n'a pas été confirmée. A Niamey, des responsables sécuritaires ont signalé à RFI le passage le week-end dernier d'une colonne de sept véhicules tout-terrain en provenance de Libye.
Ce convoi, roulant à vive allure malgré son lourd chargement, a depuis gagné le Mali. Nos sources ignorent si Belmokhtar et ses hommes faisaient partie du convoi. Les autorités nigériennes ont maillé la zone frontalière. Elles avaient intercepté 640 kilos d'explosifs Semtex en provenance de Libye en juin dernier, et elles ont prêté main forte en janvier à l'armée algérienne qui a intercepté une importante cargaison de fusils d’assaut, de munitions et de RPG.
Belmokthar est un contrebandier. Mais des chercheurs français soulignent qu'il n'a pas besoin de se rendre personnellement en Libye pour se procurer des armes. En revanche, ils rappellent que Belmokhtar est engagé dans un bras de fer avec l'autre émir d'Aqmi, Abou Zeid. Il aurait donc intérêt, s'il souhaite étendre sa zone d'influence, à nouer des alliances avec des ex-jihadistes en Libye.
Ces sources ne donnent pas plus de précision sur cette information qui n'a pas été confirmée. A Niamey, des responsables sécuritaires ont signalé à RFI le passage le week-end dernier d'une colonne de sept véhicules tout-terrain en provenance de Libye.
Ce convoi, roulant à vive allure malgré son lourd chargement, a depuis gagné le Mali. Nos sources ignorent si Belmokhtar et ses hommes faisaient partie du convoi. Les autorités nigériennes ont maillé la zone frontalière. Elles avaient intercepté 640 kilos d'explosifs Semtex en provenance de Libye en juin dernier, et elles ont prêté main forte en janvier à l'armée algérienne qui a intercepté une importante cargaison de fusils d’assaut, de munitions et de RPG.
Belmokthar est un contrebandier. Mais des chercheurs français soulignent qu'il n'a pas besoin de se rendre personnellement en Libye pour se procurer des armes. En revanche, ils rappellent que Belmokhtar est engagé dans un bras de fer avec l'autre émir d'Aqmi, Abou Zeid. Il aurait donc intérêt, s'il souhaite étendre sa zone d'influence, à nouer des alliances avec des ex-jihadistes en Libye.
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