Ce lundi, deux journalistes et un opposant avaient, eux, été libérés après avoir été entendus par le procureur de la République qui avait estimé qu'il n'y avait pas matière à poursuite. Marou Amadou, le garde des Sceaux, avait prévenu la semaine dernière que le gouvernement ne tolèrerait plus certains dérapages de la presse.
Boubacar Diallo, président de la Maison de la presse, se dit inquiet. Pour lui, on est en train d'assister à une véritable remise en cause des acquis.
Doudou Rahama, membre de la Convention démocratique et sociale (CDS) fait partie des trois personnes libérées ce lundi. Il dénonce l'attitude du pouvoir, qui cherche à museler la démocratie, dit-il.
Boubacar Diallo, président de la Maison de la presse, se dit inquiet. Pour lui, on est en train d'assister à une véritable remise en cause des acquis.
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