L'ex-chef de la junte, le capitaine Amadou Sanogo, a, selon son entourage, apporté un soutien ferme à tout ce qu’entreprend le président de la transition pour relancer le processus de sortie de crise.
Détail important : le capitaine Sanogo a affirmé qu’il se désolidarise de toute tentative de sabotages de la transition. D’après nos informations, le capitaine Sanogo, pourrait même être l’un des futurs vice-président du Haut Conseil d’Etat.
Les consultations terminées, il resterait des réglages de dernière minute, avant que ne soit officiel le nom du futur Premier ministre, et la liste des membres du nouveau gouvernement. Le temps presse, et certains ici commencent à comparer les pas du président Traoré, à des pas de sénateur : il irait un peu trop lentement.
C’est dans ce contexte que lundi 6 août, à l’appel d’une association, quelques centaines de personnes ont battu le pavé à Bamako pour réclamer la démission du président Dioncounda Traoré.
C’était compté sans le dispositif de sécurité mis en place. A coups de matraque et de gaz lacrymogène, gendarmes, policiers et éléments de la Garde nationale, ont fait passé un mauvais moment aux manifestants, qui se sont très rapidement dispersés.
La solution pacifiste toujours privilégiée
Une réunion des pays dits « du champ » dans la crise malienne se tenaient lundi 6 août, à Niamey, au Niger. Les ministres des Affaires étrangères du Niger, de l'Algérie, du Mali et de la Mauritanie, auxquels s'étaient associés pour l'occasion le Tchad, la Libye et le Nigeria, ont renouvelé leur volonté d'un dénouement rapide de la crise, et disent privilégier une solution politique négociée.
Détail important : le capitaine Sanogo a affirmé qu’il se désolidarise de toute tentative de sabotages de la transition. D’après nos informations, le capitaine Sanogo, pourrait même être l’un des futurs vice-président du Haut Conseil d’Etat.
Les consultations terminées, il resterait des réglages de dernière minute, avant que ne soit officiel le nom du futur Premier ministre, et la liste des membres du nouveau gouvernement. Le temps presse, et certains ici commencent à comparer les pas du président Traoré, à des pas de sénateur : il irait un peu trop lentement.
C’est dans ce contexte que lundi 6 août, à l’appel d’une association, quelques centaines de personnes ont battu le pavé à Bamako pour réclamer la démission du président Dioncounda Traoré.
C’était compté sans le dispositif de sécurité mis en place. A coups de matraque et de gaz lacrymogène, gendarmes, policiers et éléments de la Garde nationale, ont fait passé un mauvais moment aux manifestants, qui se sont très rapidement dispersés.
La solution pacifiste toujours privilégiée
Une réunion des pays dits « du champ » dans la crise malienne se tenaient lundi 6 août, à Niamey, au Niger. Les ministres des Affaires étrangères du Niger, de l'Algérie, du Mali et de la Mauritanie, auxquels s'étaient associés pour l'occasion le Tchad, la Libye et le Nigeria, ont renouvelé leur volonté d'un dénouement rapide de la crise, et disent privilégier une solution politique négociée.
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