Ibrahim Ag Mohamed
MAMA AZAWAD (il ne peut pas endurer éternellement ses souffrances pour le soulagement,il faut l’indépendance totale ou intégrale.)
la déclaration de l’indépendance de l'Azawad proclamée le 06/04/2012 par le mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) suscite les nombreuses réactions de par le Monde.Il y a celles qui condamnent seulement la partition du territoire du Mali.
Par contre les états membres de la CDEAO en plus de la condamnation s'organisent avec l'appui en logistique de la France de manière à mettre sur pied une force d'intervention en alerte de deux à trois milles hommes qui aura pour mission de rétablir l'ordre constitutionnel d'une part et d'autre part s'il le faut recouvrir par la force l’intégrité du territoire du Mali occupé en partie par les occupants qu'ils qualifient tantôt bandits-armés,tantôt terroristes,tantôt criminels,tantôt trafiquants ou vendeurs de drogue tantôt islamistes ou revenant de Libye pour avoir loyalement reconquis par la force des armes leur terroir de tous les temps et user de leur droit le plus absolu pour freiner à jamais la continuité des pouvoirs successifs,racistes,criminels et totalitaires Bambaras et assimilés.
Les condamnations unanimement formulées,les qualificatifs indignement attribuées aux combattants du MNLA laissent vraiment à désirer puisqu'ils permettent de dire a sa juste valeur que la personnalité Touareg malgré toutes les souffrances endurées n'est pas aimée et par conséquent elle n'as pas sa place parmi la société humaines sur cette Terre. cependant les états du monde entier les grandes puissances en tête les organisations internationale (ONU), régionale (UA) sous régionale (CDEAO) sont sensés de connaitre parfaitement les traitement inhumains parfois même horribles appliqués spécifiquement à la communautés Touareg de l’indépendance du soudan français le 22 septembre 1960 nos jours.
cette communauté considérée à tort ou à raison Malienne,ses devoirs en vers l'état ( impôts et taxes assimilées) sont bon gré ou malgré perçus chaque années.
Quand il s'agit des ses droits,elle se retrouve face à une marginalisation et déstabilisation sans précédent rendus effectives des les premières années de l’indépendance.
Cet ainsi que la structure d'organisation administrative de base (tribu) disparaît et une prolifération de fractions émerge.
Les coutumes,les traditions ainsi que la hiérarchie interne sont bafouées et piétinées les chefs coutumiers,les notables sont sans considération et n'existent que pour la forme.la communauté n'as ni le droit à l'éducation,ni à la santé à la vie.
c'est pourquoi les écoles créées sous la colonisation française au profit des enfants nomades sont purement et simplement fermées ou transférés vers des centres qui leur sont inaccessibles.Un exemple parmi tant d'autres (l'école de tin-nattan créée en 1947 pour la tribu de kel Antasar de l'Est transférée en 1962 à Tombouctou l'actuelle bloc sidi mahmoud I et II .
La santé est totalement absente.De l’indépendance a la date d'aujourd'hui,pas un seul centre de santé de proximité opérationnel au service de ladite communauté.
Dés 1963 des opérations des représailles dirigées par le capitaine DIBI SYLLAS DIARRA ont massacré les populations civiles et personnes innocentes ( femmes et enfants dans l'Adrar des Iforas et pour tours.
Ces même pouvoirs ont mis à profit les effets néfastes des sécheresses des années 1972-73 et 1984-85 en utilisant l’indifférence,la négligence,l'abandon comme une arme silencieuse pour éliminer discrètement par la fin et la misère les population de l'AZAWAD
A suivre.......................................................................................................
MAMA AZAWAD (il ne peut pas endurer éternellement ses souffrances pour le soulagement,il faut l’indépendance totale ou intégrale.)
la déclaration de l’indépendance de l'Azawad proclamée le 06/04/2012 par le mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) suscite les nombreuses réactions de par le Monde.Il y a celles qui condamnent seulement la partition du territoire du Mali.
Par contre les états membres de la CDEAO en plus de la condamnation s'organisent avec l'appui en logistique de la France de manière à mettre sur pied une force d'intervention en alerte de deux à trois milles hommes qui aura pour mission de rétablir l'ordre constitutionnel d'une part et d'autre part s'il le faut recouvrir par la force l’intégrité du territoire du Mali occupé en partie par les occupants qu'ils qualifient tantôt bandits-armés,tantôt terroristes,tantôt criminels,tantôt trafiquants ou vendeurs de drogue tantôt islamistes ou revenant de Libye pour avoir loyalement reconquis par la force des armes leur terroir de tous les temps et user de leur droit le plus absolu pour freiner à jamais la continuité des pouvoirs successifs,racistes,criminels et totalitaires Bambaras et assimilés.
Les condamnations unanimement formulées,les qualificatifs indignement attribuées aux combattants du MNLA laissent vraiment à désirer puisqu'ils permettent de dire a sa juste valeur que la personnalité Touareg malgré toutes les souffrances endurées n'est pas aimée et par conséquent elle n'as pas sa place parmi la société humaines sur cette Terre. cependant les états du monde entier les grandes puissances en tête les organisations internationale (ONU), régionale (UA) sous régionale (CDEAO) sont sensés de connaitre parfaitement les traitement inhumains parfois même horribles appliqués spécifiquement à la communautés Touareg de l’indépendance du soudan français le 22 septembre 1960 nos jours.
cette communauté considérée à tort ou à raison Malienne,ses devoirs en vers l'état ( impôts et taxes assimilées) sont bon gré ou malgré perçus chaque années.
Quand il s'agit des ses droits,elle se retrouve face à une marginalisation et déstabilisation sans précédent rendus effectives des les premières années de l’indépendance.
Cet ainsi que la structure d'organisation administrative de base (tribu) disparaît et une prolifération de fractions émerge.
Les coutumes,les traditions ainsi que la hiérarchie interne sont bafouées et piétinées les chefs coutumiers,les notables sont sans considération et n'existent que pour la forme.la communauté n'as ni le droit à l'éducation,ni à la santé à la vie.
c'est pourquoi les écoles créées sous la colonisation française au profit des enfants nomades sont purement et simplement fermées ou transférés vers des centres qui leur sont inaccessibles.Un exemple parmi tant d'autres (l'école de tin-nattan créée en 1947 pour la tribu de kel Antasar de l'Est transférée en 1962 à Tombouctou l'actuelle bloc sidi mahmoud I et II .
La santé est totalement absente.De l’indépendance a la date d'aujourd'hui,pas un seul centre de santé de proximité opérationnel au service de ladite communauté.
Dés 1963 des opérations des représailles dirigées par le capitaine DIBI SYLLAS DIARRA ont massacré les populations civiles et personnes innocentes ( femmes et enfants dans l'Adrar des Iforas et pour tours.
Ces même pouvoirs ont mis à profit les effets néfastes des sécheresses des années 1972-73 et 1984-85 en utilisant l’indifférence,la négligence,l'abandon comme une arme silencieuse pour éliminer discrètement par la fin et la misère les population de l'AZAWAD
A suivre.......................................................................................................
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