Au sortir de plus d'une heure d'entretien avec le président nigérien Mahamadou Issoufou, le Premier ministre malien, Cheick Modibo Diarra, s’est dit prêt pour les négociations : « Nous sommes, comme nous l’avons toujours dit, prêts à commencer le dialogue avec nos frères maliens qui se trouvent sur le terrain, aux côtés souvent ou des fois opposés aux gens de l’Aqmi [al-Qaïda au Maghreb islamique], afin que ce dialogue puisse commencer très rapidement et nous permette de combattre le terrorisme ».
Quelques heures auparavant, il était au camp de réfugiés des 500 soldats maliens, qui ont fui le combat à Kidal, notamment le colonel Gamou : « Mon colonel, nous n’oublierons jamais nos populations qui sont au nord du Mali, lui a assuré le Premier ministre. Et je vous garantis aussi que la République ne vous oubliera jamais, vous qui en accomplissant vos devoirs régaliens, permettrez à cette République de devenir forte », a-t-il ajouté.
Le moral au beau fixe, le colonel Gamou et ses hommes, se disent prêts pour la reconquête du nord Mali : « La troupe malienne qui est là au nord du Niger a le moral. Ils sont vraiment prêts à exécuter toutes les missions confiées », assure-t-il. Peut-être également parce que ces soldats de l’armée régulière malienne entament lassés leur quatrième mois dans un camp de réfugiés au Niger.
De son côté, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a estimé que le recours à la force au nord du Mali n'était pas à exclure :
Quelques heures auparavant, il était au camp de réfugiés des 500 soldats maliens, qui ont fui le combat à Kidal, notamment le colonel Gamou : « Mon colonel, nous n’oublierons jamais nos populations qui sont au nord du Mali, lui a assuré le Premier ministre. Et je vous garantis aussi que la République ne vous oubliera jamais, vous qui en accomplissant vos devoirs régaliens, permettrez à cette République de devenir forte », a-t-il ajouté.
Le moral au beau fixe, le colonel Gamou et ses hommes, se disent prêts pour la reconquête du nord Mali : « La troupe malienne qui est là au nord du Niger a le moral. Ils sont vraiment prêts à exécuter toutes les missions confiées », assure-t-il. Peut-être également parce que ces soldats de l’armée régulière malienne entament lassés leur quatrième mois dans un camp de réfugiés au Niger.
De son côté, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a estimé que le recours à la force au nord du Mali n'était pas à exclure :
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