L'Union Démocratique Bretonne soutient le peuple Touareg dans sa lutte pour l'autodétermination, la démocratie et la laïcité.
Face aux États-Nations aux frontières géométriques hérités du colonialisme, face à l'arabisation forcée et à l'ordre intégriste islamiste imposé, les Touaregs de l'Awazad dans le nord du Mali, résistent pour que vivent leur culture et leurs valeurs. Le MNLA, Mouvement National de Libération de l’Azawad, est issu du MNA, le Mouvement National de l’Azawad, qui porte depuis 2010 le projet politique de l'autodétermination par des voies pacifiques et démocratiques. Le MNLA est devenu un mouvement politico-militaire en réponse à la diabolisation et à la répression par le gouvernement malien.
Au cours des deux derniers siècles, les frontières visibles, matérielles ou symboliques, historiques ou naturelles de l'Afrique n'ont cessé de s'étirer ou de se contracter. L’Afrique de l'après-guerre froide, est devenue un ghetto stratégique, et a vu à travers les guerres et l'avortement du projet démocratique, la reconduction des dynamiques introduites par la colonisation et reconduites pour l’essentiel par les régimes en place.
En réponse au rejet des États nord-africains qui refusent la remise en cause des frontières de la souveraineté territoriale de la République du Mali, un autre agencement géopolitique est souhaitable. En lieu et place d'une république islamiste, la démocratie fédérale et laïque du Mali, mais aussi des autres États riverains, permettra le respect des droits des populations, les droits des peuples Amazighs de l'Azawad, Touaregs, Maures, Songhaïs, Peuls : pour leurs langues, leurs lieux de passage et de transhumance qui ignorent les frontières des Etats tracées par les colonisateurs, pour leurs terres, leurs cultures et leur place, pleine et entière, dans la vie politique et économique d’un Mali multiculturel, tolérant et avançant dans la voie de la démocratie et du progrès pour toutes ses populations, sans distinction.
La nouvelle donne géopolitique issue des soulèvements populaires du Printemps de Jasmin croise la route du soulèvement des Touaregs-Amazighs. Devant la débandade de l'armée régulière du Mali, le MNLA est aujourd’hui l’ultime chance de stopper l'avancée d'Al Quaïda, des bandes d’ex-mercenaires de Kadhafi et des milices mafieuses dans le nord-Mali ; pour stopper l’avancée de l’intégrisme, le MNLA est l’ultime chance pour la démocratie, la laïcité et le respect de la diversité.
L’UDB soutient le MNLA et le peuple Touareg-Amazigh dans leur juste lutte pour l'autodétermination, pour la démocratie et la laïcité, et appelle les États Africains et l’ensemble de la communauté internationale à venir rapidement en aide au peuple Touareg-Amazigh pour écarter le danger de l’intégrisme et pour préparer les conditions de la paix civile dans l’Azawad .
Pour l'UDB, la porte-parole
Mona BRAS
Face aux États-Nations aux frontières géométriques hérités du colonialisme, face à l'arabisation forcée et à l'ordre intégriste islamiste imposé, les Touaregs de l'Awazad dans le nord du Mali, résistent pour que vivent leur culture et leurs valeurs. Le MNLA, Mouvement National de Libération de l’Azawad, est issu du MNA, le Mouvement National de l’Azawad, qui porte depuis 2010 le projet politique de l'autodétermination par des voies pacifiques et démocratiques. Le MNLA est devenu un mouvement politico-militaire en réponse à la diabolisation et à la répression par le gouvernement malien.
Au cours des deux derniers siècles, les frontières visibles, matérielles ou symboliques, historiques ou naturelles de l'Afrique n'ont cessé de s'étirer ou de se contracter. L’Afrique de l'après-guerre froide, est devenue un ghetto stratégique, et a vu à travers les guerres et l'avortement du projet démocratique, la reconduction des dynamiques introduites par la colonisation et reconduites pour l’essentiel par les régimes en place.
En réponse au rejet des États nord-africains qui refusent la remise en cause des frontières de la souveraineté territoriale de la République du Mali, un autre agencement géopolitique est souhaitable. En lieu et place d'une république islamiste, la démocratie fédérale et laïque du Mali, mais aussi des autres États riverains, permettra le respect des droits des populations, les droits des peuples Amazighs de l'Azawad, Touaregs, Maures, Songhaïs, Peuls : pour leurs langues, leurs lieux de passage et de transhumance qui ignorent les frontières des Etats tracées par les colonisateurs, pour leurs terres, leurs cultures et leur place, pleine et entière, dans la vie politique et économique d’un Mali multiculturel, tolérant et avançant dans la voie de la démocratie et du progrès pour toutes ses populations, sans distinction.
La nouvelle donne géopolitique issue des soulèvements populaires du Printemps de Jasmin croise la route du soulèvement des Touaregs-Amazighs. Devant la débandade de l'armée régulière du Mali, le MNLA est aujourd’hui l’ultime chance de stopper l'avancée d'Al Quaïda, des bandes d’ex-mercenaires de Kadhafi et des milices mafieuses dans le nord-Mali ; pour stopper l’avancée de l’intégrisme, le MNLA est l’ultime chance pour la démocratie, la laïcité et le respect de la diversité.
L’UDB soutient le MNLA et le peuple Touareg-Amazigh dans leur juste lutte pour l'autodétermination, pour la démocratie et la laïcité, et appelle les États Africains et l’ensemble de la communauté internationale à venir rapidement en aide au peuple Touareg-Amazigh pour écarter le danger de l’intégrisme et pour préparer les conditions de la paix civile dans l’Azawad .
Pour l'UDB, la porte-parole
Mona BRAS
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