Avec notre envoyé spécial à Benghazi, Nicolas Champeaux
L’écrasante avance des libéraux de l’Alliance des forces nationales n’est pas une surprise à Tripoli.
En revanche, les islamistes de Justice et construction, le parti investi par les Frères musulmans, espéraient réduire leur écart avec de bons scores dans la région de l'Est, réputée plus conservatrice. Or les islamistes reconnaissent être loin derrière la coalition de Mahmoud Jibril, à la fois dans le grand Tripoli (représenté à hauteur de 30 sièges), mais aussi dans le grand Benghazi (pourvu de 26 sièges).
« La personnalité de Mahmoud Djibril » a joué, explique à RFI Hamouda Siala, le porte-parole de son parti. Autre facteur en la faveur de l’ancien chef de l’exécutif de transition : il est issu de la tribu des Warfalla, la plus importante du pays.
Demeure deux inconnues. D’abord : les alliances avec d’autres partis. « Nous sommes ouverts à tout le monde pour créer une plateforme commune, a indiqué le porte-parole des libéraux. Nous avons toujours dit que nous souhaitions créer un gouvernement de coalition. »
Deuxième inconnue : les candidats indépendants. Le sont-ils vraiment ? Leurs choix à venir seront déterminants, car ils occuperont 120 des 200 sièges du futur congrès national (ils sont élus au suffrage uninominal).
En revanche, les islamistes de Justice et construction, le parti investi par les Frères musulmans, espéraient réduire leur écart avec de bons scores dans la région de l'Est, réputée plus conservatrice. Or les islamistes reconnaissent être loin derrière la coalition de Mahmoud Jibril, à la fois dans le grand Tripoli (représenté à hauteur de 30 sièges), mais aussi dans le grand Benghazi (pourvu de 26 sièges).
« La personnalité de Mahmoud Djibril » a joué, explique à RFI Hamouda Siala, le porte-parole de son parti. Autre facteur en la faveur de l’ancien chef de l’exécutif de transition : il est issu de la tribu des Warfalla, la plus importante du pays.
Demeure deux inconnues. D’abord : les alliances avec d’autres partis. « Nous sommes ouverts à tout le monde pour créer une plateforme commune, a indiqué le porte-parole des libéraux. Nous avons toujours dit que nous souhaitions créer un gouvernement de coalition. »
Deuxième inconnue : les candidats indépendants. Le sont-ils vraiment ? Leurs choix à venir seront déterminants, car ils occuperont 120 des 200 sièges du futur congrès national (ils sont élus au suffrage uninominal).
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