Loin de vous, loin de chez moi, loin de ma patrie, je compatis avec vous et je vous accompagne tendrement par la pensée, une pensée sincère qui témoigne de l’affection et l’estime que je porte à mon pays l’Azawad. Les tristes nouvelles que je lis dans les journaux ne me découragent pas puisqu’elles ne font que renforcer et affermir d’avantage ma volonté de combattre l’oppresseur impérialiste et les détracteurs qui s’en prennent à mon peuple bien aimé.
Je saisis cette occasion afin de présenter mes plus franches condoléances aux familles touaregs et arabes qui ont du perdre un être cher, assassiné sans aucun motif préalables par les lâches et sanguinaire assassins maliens, qui comparaitront tôt au tard devant la justice divine et celle des hommes.
L’inaction des forces française présente sur le lieu, m’incite à croire qu’ils sont complices avec l’armée malienne de graves délits qu’ils sont entrain de commettre et que l’objectif de la France n’est pas seulement d’anéantir les poches terroristes mais plutôt faire d’une pierre deux coups, décimer les autochtones, par conséquent ils s’assurent que le Mali conserve son intégrité territorial et eux ils peuvent disposer à leur aise de ressources minière de cette zone .
A ceux dont le projet est d’anéantir complètement tout un peuple, je les assure d’avance que leur projet diabolique est vouer d’avance à échouer. Avant vous des hommes comme Hitler ont déjà cherché d’en finir avec les juifs mais ils sont morts sans réussir à les exterminer.
Au début du conflit, je ne partageais nullement le point de vue de certains révolutionnaires qui m’ont fait part de leur idéologie car je considérai le Mali étant un pays démocrate et juste. Néanmoins, je le remercie infiniment de m’avoir ouvert les yeux ; grâce à eux je constate aujourd’hui l’image déplorable que le maliens ont de touaregs et arabes et je regrette amèrement d’avoir douté et contredit une seule fois mes amis et frères révolutionnaire en ce temps d’inconscience. La dure réalité est toujours difficile à accepter et cette certitude me pousse à affirmer que nous touareg et arabe n’avons aucun avenir si nous restons avec le Mali et nous sommes impérativement appelés à nous unir afin de pouvoir créer notre propre état et vivre indépendamment des maliens.
Loin de vous, loin de chez moi, loin de ma patrie, je compatis avec vous et je vous accompagne tendrement par la pensée, une pensée sincère qui témoigne de l’affection et l’estime que je porte à mon pays l’Azawad. Les tristes nouvelles que je lis dans les journaux ne me découragent pas puisqu’elles ne font que renforcer et affermir d’avantage ma volonté de combattre l’oppresseur impérialiste et les détracteurs qui s’en prennent à mon peuple bien aimé.
Je saisis cette occasion afin de présenter mes plus franches condoléances aux familles touaregs et arabes qui ont du perdre un être cher, assassiné sans aucun motif préalables par les lâches et sanguinaire assassins maliens, qui comparaitront tôt au tard devant la justice divine et celle des hommes.
L’inaction des forces française présente sur le lieu, m’incite à croire qu’ils sont complices avec l’armée malienne de graves délits qu’ils sont entrain de commettre et que l’objectif de la France n’est pas seulement d’anéantir les poches terroristes mais plutôt faire d’une pierre deux coups, décimer les autochtones, par conséquent ils s’assurent que le Mali conserve son intégrité territorial et eux ils peuvent disposer à leur aise de ressources minière de cette zone .
A ceux dont le projet est d’anéantir complètement tout un peuple, je les assure d’avance que leur projet diabolique est vouer d’avance à échouer. Avant vous des hommes comme Hitler ont déjà cherché d’en finir avec les juifs mais ils sont morts sans réussir à les exterminer.
Au début du conflit, je ne partageais nullement le point de vue de certains révolutionnaires qui m’ont fait part de leur idéologie car je considérai le Mali étant un pays démocrate et juste. Néanmoins, je le remercie infiniment de m’avoir ouvert les yeux ; grâce à eux je constate aujourd’hui l’image déplorable que le maliens ont de touaregs et arabes et je regrette amèrement d’avoir douté et contredit une seule fois mes amis et frères révolutionnaire en ce temps d’inconscience. La dure réalité est toujours difficile à accepter et cette certitude me pousse à affirmer que nous touareg et arabe n’avons aucun avenir si nous restons avec le Mali et nous sommes impérativement appelés à nous unir afin de pouvoir créer notre propre état et vivre indépendamment des maliens.
Je saisis cette occasion afin de présenter mes plus franches condoléances aux familles touaregs et arabes qui ont du perdre un être cher, assassiné sans aucun motif préalables par les lâches et sanguinaire assassins maliens, qui comparaitront tôt au tard devant la justice divine et celle des hommes.
L’inaction des forces française présente sur le lieu, m’incite à croire qu’ils sont complices avec l’armée malienne de graves délits qu’ils sont entrain de commettre et que l’objectif de la France n’est pas seulement d’anéantir les poches terroristes mais plutôt faire d’une pierre deux coups, décimer les autochtones, par conséquent ils s’assurent que le Mali conserve son intégrité territorial et eux ils peuvent disposer à leur aise de ressources minière de cette zone .
A ceux dont le projet est d’anéantir complètement tout un peuple, je les assure d’avance que leur projet diabolique est vouer d’avance à échouer. Avant vous des hommes comme Hitler ont déjà cherché d’en finir avec les juifs mais ils sont morts sans réussir à les exterminer.
Au début du conflit, je ne partageais nullement le point de vue de certains révolutionnaires qui m’ont fait part de leur idéologie car je considérai le Mali étant un pays démocrate et juste. Néanmoins, je le remercie infiniment de m’avoir ouvert les yeux ; grâce à eux je constate aujourd’hui l’image déplorable que le maliens ont de touaregs et arabes et je regrette amèrement d’avoir douté et contredit une seule fois mes amis et frères révolutionnaire en ce temps d’inconscience. La dure réalité est toujours difficile à accepter et cette certitude me pousse à affirmer que nous touareg et arabe n’avons aucun avenir si nous restons avec le Mali et nous sommes impérativement appelés à nous unir afin de pouvoir créer notre propre état et vivre indépendamment des maliens.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire