À Gao, c’est un bataillon de plus de 500 soldats venus du Niger qui représente les forces africaines de la Misma. Aux côtés des forces maliennes et françaises, ces hommes font, aujourd’hui, face à une guérilla urbaine.
En quelques jours, il s'est produit deux attentats-suicide et des combats de rue face à un commando de jihadistes. Puis il y a eu la découverte d’une bombe artisanale contenant 600 kilos d’explosifs. La bombe a été désamorcée mais l’infiltration des islamistes dans la ville de Gao reste une menace énorme.
Le capitaine Yao Adjoumani, porte-parole de la Misma déclare : « Les jihadistes ou les terroristes pourraient être dans la ville ou dans les alentours. Pour le moment, on ne sait pas qui est jihadiste. On ne peut pas voir quelqu’un là et deviner s’il est jihadiste ou pas ».
C'est pourquoi le colonel Adjoumani lance un appel aux habitants de Gao : « Nous demandons aux populations de nous aider. Il faut dénoncer pour nous aider. Dénoncer tout ce qui est suspect ».
Chaque jour, les militaires découvrent dans la ville, de nouvelles caches d’armes et de munitions.
Pour sa part, le président intérimaire a évoqué les violences qui ont secoué ces derniers jours Gao. Dioncounda Traoré s'est dit confiant.
Sur le plan militaire, la Russie participe et va continuer de participer à l'effort de guerre au Mali. Elle a livré des armes aux autorités maliennes et s'apprête à en livrer d'autres : c'est ce qu'a précisé le directeur de l'agence publique russe chargée des exportations d'armes Rosoboronexport, Anatoli Issaïkine.
En quelques jours, il s'est produit deux attentats-suicide et des combats de rue face à un commando de jihadistes. Puis il y a eu la découverte d’une bombe artisanale contenant 600 kilos d’explosifs. La bombe a été désamorcée mais l’infiltration des islamistes dans la ville de Gao reste une menace énorme.
Le capitaine Yao Adjoumani, porte-parole de la Misma déclare : « Les jihadistes ou les terroristes pourraient être dans la ville ou dans les alentours. Pour le moment, on ne sait pas qui est jihadiste. On ne peut pas voir quelqu’un là et deviner s’il est jihadiste ou pas ».
C'est pourquoi le colonel Adjoumani lance un appel aux habitants de Gao : « Nous demandons aux populations de nous aider. Il faut dénoncer pour nous aider. Dénoncer tout ce qui est suspect ».
Chaque jour, les militaires découvrent dans la ville, de nouvelles caches d’armes et de munitions.
Pour sa part, le président intérimaire a évoqué les violences qui ont secoué ces derniers jours Gao. Dioncounda Traoré s'est dit confiant.
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