A Kidal, le MNLA collabore parfaitement avec les armées françaises et tchadiennes
Toumast Presse
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- Créé Le Mardi 5 Février 2013 21:53
- Écrit Par Alghatek Ag Emasseye
Le MNLA d'aujourd'hui rappel étrangement le statut particulier dont jouissait Fihroune Ag Alenessate au début des années 1900 durant la colonisation française. Ce grand très révolutionnaire et puissant Chef des Imouchaghs (Iwoullomidens) était très fortement craint par l'armée coloniale française, mais dans le même temps, celle-ci avait un profond respect pour lui en tant qu'homme et surtout en tant que leader et homme politique.
A Kidal, le Colonel Mohamed Ag Najim et le reste de l'état-major militaire jouissent également de la même crainte mais surtout du même respect dont bénéficiait leur illustre aïeul. La crainte du contingent français ne lui vient pas du fait qu'il existe la moindre tension entre lui et les combattants du MNLA ou qu'une partie essaie de faire respecter sa suprématie par l'autre.
La crainte vient plutôt de la prise de conscience des soldats français du fait que le MNLA est la seule et unique organisation politico-militaire qui peut leur permettre de réussir leur mission d'anéantissement toute présence terroriste dans l'Azawad et dans le Sahel.
Sans le charisme et le sens visionnaire du MNLA, imaginer la guerre anti-terroriste dans les massifs montagneux de la région de Kidal serait suicidaire. Sans la connaissance inégalée de la géographie, la bravoure et surtout l'endurance des combattants du MNLA, toutes les armes conventionnelles dont dispose la France ne lui permettront pas de mener un combat sans merci contre les organisations terroristes que sont AQMI, le MUJAO, et Ansar A-Dine.
Mais plus important que cette crainte, l'armée française dans l'Azawad et plus précisément à Kidal à un très grand respect pour le MNLA. D'abord, le MNLA a mené l'une des guerres les plus propres de l'histoire de l'humanité lors de son offensive il y a un an contre les criminels de l'armée malienne. En effet, aucun civil n'avait alors été tué ou même blessé par les forces du MNLA malgré ce que pouvait dire la propagande mensongère du Mali et de ses alliés.
Outre cela, et en tant qu'hommes de la profession, les soldats français présent à Kidal reconnaissent parfaitement la valeur militaire des combattants du MNLA qui sans aucun soutien, avec une trésorerie sèche et surtout avec des moyens très limités ont combattu l'internationale terroriste à Gao et à Ménaka entres autres. Au moment où les soldats maliens fuient le champ de combat au moindre signe de l'approche de l'ennemie, les français n'ont pu que tirer leur chapeau au MNLA pour lui souligner leur admiration militaire.
Mais les soldats français ne sont pas seuls. Le contingent de l'armée tchadienne qui a pris position à Kidal le Jeudi 31 Janvier voue un respect encore plus profond pour les troupes du MNLA dans la mesure où le désert, les massifs montagneux, et la lutte anti-terroriste ne sont pas complément étranger aux forces de sécurités tchadiennes.
Il y a quelques jours, le Général Mahamat Idriss Déby Itno, Commandant de l'opération militaire tchadienne dans l'Azawad, affirmait tout le bien qu'il pensait des troupes du MNLA. Sur les ondes de Radio France Internationale, le fils du Président Idriss Déby affirmait confortablement: "on n'a pas eu de problèmes avec les gens du MNLA, avec qui on a une très bonne relation d'ailleurs."
Cette collaboration parfaite entre les troupes du MNLA et celles de la France et du Tchad est encore plus idéalisé par les belligérants internationaux dans la mesure où à l'opposé, une forte tension existe entre les forces étrangères de la MISMA et les soldats maliens. Le site d'information KAOCI confirmait il y a quelques jours que:
A Kidal, le Colonel Mohamed Ag Najim et le reste de l'état-major militaire jouissent également de la même crainte mais surtout du même respect dont bénéficiait leur illustre aïeul. La crainte du contingent français ne lui vient pas du fait qu'il existe la moindre tension entre lui et les combattants du MNLA ou qu'une partie essaie de faire respecter sa suprématie par l'autre.
La crainte vient plutôt de la prise de conscience des soldats français du fait que le MNLA est la seule et unique organisation politico-militaire qui peut leur permettre de réussir leur mission d'anéantissement toute présence terroriste dans l'Azawad et dans le Sahel.
Sans le charisme et le sens visionnaire du MNLA, imaginer la guerre anti-terroriste dans les massifs montagneux de la région de Kidal serait suicidaire. Sans la connaissance inégalée de la géographie, la bravoure et surtout l'endurance des combattants du MNLA, toutes les armes conventionnelles dont dispose la France ne lui permettront pas de mener un combat sans merci contre les organisations terroristes que sont AQMI, le MUJAO, et Ansar A-Dine.
Mais plus important que cette crainte, l'armée française dans l'Azawad et plus précisément à Kidal à un très grand respect pour le MNLA. D'abord, le MNLA a mené l'une des guerres les plus propres de l'histoire de l'humanité lors de son offensive il y a un an contre les criminels de l'armée malienne. En effet, aucun civil n'avait alors été tué ou même blessé par les forces du MNLA malgré ce que pouvait dire la propagande mensongère du Mali et de ses alliés.
Outre cela, et en tant qu'hommes de la profession, les soldats français présent à Kidal reconnaissent parfaitement la valeur militaire des combattants du MNLA qui sans aucun soutien, avec une trésorerie sèche et surtout avec des moyens très limités ont combattu l'internationale terroriste à Gao et à Ménaka entres autres. Au moment où les soldats maliens fuient le champ de combat au moindre signe de l'approche de l'ennemie, les français n'ont pu que tirer leur chapeau au MNLA pour lui souligner leur admiration militaire.
Mais les soldats français ne sont pas seuls. Le contingent de l'armée tchadienne qui a pris position à Kidal le Jeudi 31 Janvier voue un respect encore plus profond pour les troupes du MNLA dans la mesure où le désert, les massifs montagneux, et la lutte anti-terroriste ne sont pas complément étranger aux forces de sécurités tchadiennes.
Il y a quelques jours, le Général Mahamat Idriss Déby Itno, Commandant de l'opération militaire tchadienne dans l'Azawad, affirmait tout le bien qu'il pensait des troupes du MNLA. Sur les ondes de Radio France Internationale, le fils du Président Idriss Déby affirmait confortablement: "on n'a pas eu de problèmes avec les gens du MNLA, avec qui on a une très bonne relation d'ailleurs."
Cette collaboration parfaite entre les troupes du MNLA et celles de la France et du Tchad est encore plus idéalisé par les belligérants internationaux dans la mesure où à l'opposé, une forte tension existe entre les forces étrangères de la MISMA et les soldats maliens. Le site d'information KAOCI confirmait il y a quelques jours que:
"un incident survenu à Sévaré entre militaires maliens et apparemment burkinabés, ce week end aurait révélée un climat explosif entre les hommes en armes locaux et les nouvellement arrivés de pays voisins dans le cadre de la Misma, plan issu d'une résolution de l'Onu.
"Une bagarre générale voire plus aurait été évitée de peu avec l'intervention de soldats français venus pour calmer les militaires, apparemment échaudés pour une simple affaire qui trouverait son origine sur des suspicions de délations auprès des militaires français et de journalistes occidentaux présents sur place."
"Une bagarre générale voire plus aurait été évitée de peu avec l'intervention de soldats français venus pour calmer les militaires, apparemment échaudés pour une simple affaire qui trouverait son origine sur des suspicions de délations auprès des militaires français et de journalistes occidentaux présents sur place."
Par Alghatek Ag Emasseye
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