L’homme est un guerrier. Dans les années 80, avec d’autres rebelles touaregs du Mali et du Niger, il suit une formation militaire en Libye. A l’époque Mouammar Kadhafi ouvrait ses camps d’entraînements aux Touaregs des pays du Sahel. Ensuite Ibrahim Ag Bahanga rentre au nord du Mali et prend les armes au sein du Mouvement populaire de l’Azawad.
Malgré l'accord de paix de 2006, Ibrahim Ag Bahanga ne dépose pas les armes. Il prend la tête d'une dissidence, enlève de nombreux militaires maliens et fait feu de tout bois. Militaires de l’armée régulière et mouvements d’autodéfense composés de civils de la région de Tombouctou décident de traquer le chef rebelle.
Ibrahim Ag Bahanga se replie alors vers la Libye. Il revient discrètement au Mali, avant de retourner en Libye en plein conflit. Sur place, comme d’autres chefs de groupes armés, il aurait fait d’importantes provisions en armements et en munitions, avant de regagner son milieu naturel, le désert malien, où il a trouvé la mort.
Malgré l'accord de paix de 2006, Ibrahim Ag Bahanga ne dépose pas les armes. Il prend la tête d'une dissidence, enlève de nombreux militaires maliens et fait feu de tout bois. Militaires de l’armée régulière et mouvements d’autodéfense composés de civils de la région de Tombouctou décident de traquer le chef rebelle.
Ibrahim Ag Bahanga se replie alors vers la Libye. Il revient discrètement au Mali, avant de retourner en Libye en plein conflit. Sur place, comme d’autres chefs de groupes armés, il aurait fait d’importantes provisions en armements et en munitions, avant de regagner son milieu naturel, le désert malien, où il a trouvé la mort.
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