Libération de deux manifestants cet après-midi à Kidal
Nous nous excusons du retard de la notification dû au réassemblage de certaines informations sur les conditions de détention de nos frères. Mossa Ag Assikadaye et Baye Ag Hatan ont été arrêté suite à la manifestation organiser le 01 Novembre 2011 dans plusieurs villes et villages de l’Azawad, pour commémoré le premier anniversaire du MNLA (Mouvement National pour la libération de l’Azawad) et l’attachement au droit à l’auto-détermination de l’Azawad.
Ils ont été arrêtés vers la fin de la manifestation par des policiers maliens pour être ensuite conduit au commissariat de police de Kidal. Après quelques heures de détention au commissariat, ils furent transférés un peu plu tard dans la nuit vers le camp militaire 1 de Kidal située au quartier Agamali. Les deux manifestants furent questionnées toute la nuit par des militaires sur la manifestation de la dite journée. Les questions étaient entre autres : Qui vous a dit de manifester ? Qui est derrière cette manifestation ? Pourquoi avoir manifesté ? Que veut dire Azawad ? Nous notons avec peine qu’ils ont été harceler et menacer durant l’ensemble de l’interrogatoire. C’est avec peine que nous constatons qu’ils ont reçu des coups et blessures de la part des militaires armées de matraques. C’est ainsi que Baye Ag Hatan fut blessé à la tête.
Cet acte barbare contre des manifestants Azawadiens, démontre une fois de plus le non-respect par les autorités maliennes de certaines normes international dont, il s’est engagé à respecter en les ratifiant. La liberté de manifesté, la liberté d’opinion, le droit d’être Azawadien, le droit de s’autodéterminée, le droit de décider de son devenir politique, économique et culturel… font parties de ces devoir du Mali qu’il ne respecte pas. L’état Malien démontre une fois de plus les griffes de dictature par les quels il gouverne de force nos populations et occupe nos terres.
Un Etat qui se dit démocratique et respectueux des droits humains ne doit en aucune manière se comporter de la sorte contre des manifestants aussi pacifique qui non d’autres armes que des pancartes et des slogans légitime.
Nous remercions toutes les bonnes volontés qui se sont mobilisé notamment à Kidal (les jeunes, les femmes, les élus, les notables etc) pour la libération de nos frères.
Nous lançons un appel aux organisations de défense des droits humains, à l’instar d’Amnesty international, d’Human Right Watch, Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), le Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies (HCNUDH), la Cour Africaine des Droits Humains, la CEDEAO de ne pas resté muet face aux violations des droits humains dont font l’objet nos populations.
Un appel que nous renouvelons à l’encontre de toute les structures des Nations Unies, de l’Union Africaine, de la Ligue Arabe, aux puissances étrangères et sous régionale qui doivent d’avantage s’impliqué dans la résolution de cette crise entre le Mali et l’Azawad qui n’a que trop durée.
Nous rappelons de même aux autorités Malienne, à l’armée malienne ainsi qu’à tous ceux qui maintiennent cet état de fait d’occupation sur nos terres à la plus grande retenu contre nos populations par peur de ne pas voir la situation s’aggraver d’avantage. Nous avons des moyens et les persécutions ne pourront être tolérées contre nos populations civiles.
Cet acte barbare contre des manifestants Azawadiens, démontre une fois de plus le non-respect par les autorités maliennes de certaines normes international dont, il s’est engagé à respecter en les ratifiant. La liberté de manifesté, la liberté d’opinion, le droit d’être Azawadien, le droit de s’autodéterminée, le droit de décider de son devenir politique, économique et culturel… font parties de ces devoir du Mali qu’il ne respecte pas. L’état Malien démontre une fois de plus les griffes de dictature par les quels il gouverne de force nos populations et occupe nos terres.
Un Etat qui se dit démocratique et respectueux des droits humains ne doit en aucune manière se comporter de la sorte contre des manifestants aussi pacifique qui non d’autres armes que des pancartes et des slogans légitime.
Nous remercions toutes les bonnes volontés qui se sont mobilisé notamment à Kidal (les jeunes, les femmes, les élus, les notables etc) pour la libération de nos frères.
Nous lançons un appel aux organisations de défense des droits humains, à l’instar d’Amnesty international, d’Human Right Watch, Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), le Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies (HCNUDH), la Cour Africaine des Droits Humains, la CEDEAO de ne pas resté muet face aux violations des droits humains dont font l’objet nos populations.
Un appel que nous renouvelons à l’encontre de toute les structures des Nations Unies, de l’Union Africaine, de la Ligue Arabe, aux puissances étrangères et sous régionale qui doivent d’avantage s’impliqué dans la résolution de cette crise entre le Mali et l’Azawad qui n’a que trop durée.
Nous rappelons de même aux autorités Malienne, à l’armée malienne ainsi qu’à tous ceux qui maintiennent cet état de fait d’occupation sur nos terres à la plus grande retenu contre nos populations par peur de ne pas voir la situation s’aggraver d’avantage. Nous avons des moyens et les persécutions ne pourront être tolérées contre nos populations civiles.
Le MNLA
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