Journées culturelles « le Sahara inspire » au Palais des Raïs : Richesses opulentes du désert
Les participants au programme des journées culturelles « le Sahara inspire » organisé au palais des Rais (Bastion 23) sont unanimes pour affirmer que le désert algérien recèle de grandes richesses.
PUBLIE LE : 11-02-2017 | 0:00
Les participants au programme des journées culturelles « le Sahara inspire » organisé au palais des Rais (Bastion 23) sont unanimes pour affirmer que le désert algérien recèle de grandes richesses. Les exposants et les animateurs de cet évènement se sont exprimés avec une grande franchise sur leur passion de l’artisanat du grand Sud qui constitue un vrai gisement culturel et économique. Des participants ont pu livrer leurs appréciations et dévoiler l’intérêt qu’ils portent à cette manifestation de haute tenue.
Artisan bijoutier traditionnel, Ben Abdallah Mohamed Ibrahim :
« Ancrage dans l’authenticité »
L’artisan Ben Abdallah Mohamed Ibrahim a exprimé sa joie de participer à cet évènement. Il a déclaré que « cette fois-ci je présente différentes catégories de bijoux touaregs ».
En ce qui concerne les tarifs de ses productions et l’impression de visiteurs, l’artisan a dit que « j’ai une bonne expérience dans le marketing et cède mes produits à des prix raisonnables ».
Marina Sawaya :
« Vulgariser la taille de gemmes »
La brésilienne Marina Sawaya, travaille à l’école pilote de taille de gemmes, de fabrication et design de bijoux et d’artisanat minéral de Tamanrasset, s’inscrit dans le cadre du projet de coopération technique algérie-Brésil a précisé l’importance de saisir les occasions pour montrer l’artisanat algérien au monde, notamment que les étrangers veulent le connaître. En ce qui concerne la possibilité de vulgariser l’artisanat algérien, Marina Sawaya a précisé que cela est possible à travers les projets de coopération technique Algérie-Brésil.
Koul Saadia : « Pérenniser l’artisanat »
L’artisane Koul Saadia, qui a laissé son empreinte à chaque occasion, est présente dans les différentes occasions, afin d’exposer sa production essentiellement locale, pour fabriquer des rideaux et des foulards pour l’embellissement, elle a exprimé sa gratitude d’avoir participé au Palais des Rais. L’intervenante a exprimé sa satisfaction à l’égard de la réaction des « visiteurs qui sont satisfaits de notre travail, pour les couleurs utilisées, notamment que les tarifs sont abordables pour tous », indiquant que « nous avons un siège à Touggourt ». Par ailleurs, il y a des filles au niveau de la région qui s’intéressent à ce métier, en leur offrant des formations sans contrepartie. Dans le même cadre, l’intervenante a dit que l’industrie traditionnelle est ancienne « nous avons tous appris ce métier pas-à-pas, nous espérons que l’artisanat ne disparaîtra pas ».
Tonia Marek :
« Le Sahara n’a pas de frontières »
Tonia Marek, s’est estimée citoyenne du monde, que le Sahara africain reflète l’existence des générations précédentes qui ont vécu dans le grand désert qui, par son étendue n’a presque pas de frontières.
En ce qui concerne ses colliers produits avec de la matière première, Tonia Marek a précisé que le Sahara est riche en perles et d’autres bijoux en argent, de métaux, c’est pourquoi « je ne me focalise pas sur un pays ou un autre, mais sur la mère qui est le Sahara qui permet les échanges entre tous les pays ».
En ce qui concerne l’Algérie, l’intervenante a dit que « je connais l’artisanat des Touaregs et les bijoux berbères en Kabylie qui sont magnifiques ».
Par ailleurs, Mme Tonia Marek a précisé l’importance de la disponibilité sur les marchés des produits de l’artisanat pour élargir la sphère des acheteurs et pour créer comme un espace pour les artisans.
Les dattes algériennes présentes
Fisel Ghrab : « Des étrangers ont aimé notre fruit »
Le jeune Fisel Ghrab a précisé que « je présente à cet évènement culturel les dattes algériennes, le miel et la confiture de dattes », il indiquera que « je prends la peine de me déplacer à Biskra où nous avons des palmiers ».
Lors de cette rencontre, l’intervenant a dit que les délégations étrangères qui ont rendu visite au Palais des Rais ont mis l’accent sur la qualité des dattes, notamment que « j’ai eu de bonnes réactions de la part des délégations du Japon, de la Chine, des Belges et des Français.»
Hamza Hichemhttp://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/105125
Artisan bijoutier traditionnel, Ben Abdallah Mohamed Ibrahim :
« Ancrage dans l’authenticité »
L’artisan Ben Abdallah Mohamed Ibrahim a exprimé sa joie de participer à cet évènement. Il a déclaré que « cette fois-ci je présente différentes catégories de bijoux touaregs ».
En ce qui concerne les tarifs de ses productions et l’impression de visiteurs, l’artisan a dit que « j’ai une bonne expérience dans le marketing et cède mes produits à des prix raisonnables ».
Marina Sawaya :
« Vulgariser la taille de gemmes »
La brésilienne Marina Sawaya, travaille à l’école pilote de taille de gemmes, de fabrication et design de bijoux et d’artisanat minéral de Tamanrasset, s’inscrit dans le cadre du projet de coopération technique algérie-Brésil a précisé l’importance de saisir les occasions pour montrer l’artisanat algérien au monde, notamment que les étrangers veulent le connaître. En ce qui concerne la possibilité de vulgariser l’artisanat algérien, Marina Sawaya a précisé que cela est possible à travers les projets de coopération technique Algérie-Brésil.
Koul Saadia : « Pérenniser l’artisanat »
L’artisane Koul Saadia, qui a laissé son empreinte à chaque occasion, est présente dans les différentes occasions, afin d’exposer sa production essentiellement locale, pour fabriquer des rideaux et des foulards pour l’embellissement, elle a exprimé sa gratitude d’avoir participé au Palais des Rais. L’intervenante a exprimé sa satisfaction à l’égard de la réaction des « visiteurs qui sont satisfaits de notre travail, pour les couleurs utilisées, notamment que les tarifs sont abordables pour tous », indiquant que « nous avons un siège à Touggourt ». Par ailleurs, il y a des filles au niveau de la région qui s’intéressent à ce métier, en leur offrant des formations sans contrepartie. Dans le même cadre, l’intervenante a dit que l’industrie traditionnelle est ancienne « nous avons tous appris ce métier pas-à-pas, nous espérons que l’artisanat ne disparaîtra pas ».
Tonia Marek :
« Le Sahara n’a pas de frontières »
Tonia Marek, s’est estimée citoyenne du monde, que le Sahara africain reflète l’existence des générations précédentes qui ont vécu dans le grand désert qui, par son étendue n’a presque pas de frontières.
En ce qui concerne ses colliers produits avec de la matière première, Tonia Marek a précisé que le Sahara est riche en perles et d’autres bijoux en argent, de métaux, c’est pourquoi « je ne me focalise pas sur un pays ou un autre, mais sur la mère qui est le Sahara qui permet les échanges entre tous les pays ».
En ce qui concerne l’Algérie, l’intervenante a dit que « je connais l’artisanat des Touaregs et les bijoux berbères en Kabylie qui sont magnifiques ».
Par ailleurs, Mme Tonia Marek a précisé l’importance de la disponibilité sur les marchés des produits de l’artisanat pour élargir la sphère des acheteurs et pour créer comme un espace pour les artisans.
Les dattes algériennes présentes
Fisel Ghrab : « Des étrangers ont aimé notre fruit »
Le jeune Fisel Ghrab a précisé que « je présente à cet évènement culturel les dattes algériennes, le miel et la confiture de dattes », il indiquera que « je prends la peine de me déplacer à Biskra où nous avons des palmiers ».
Lors de cette rencontre, l’intervenant a dit que les délégations étrangères qui ont rendu visite au Palais des Rais ont mis l’accent sur la qualité des dattes, notamment que « j’ai eu de bonnes réactions de la part des délégations du Japon, de la Chine, des Belges et des Français.»
Hamza Hichemhttp://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/105125
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