Lettre ouverte au Président et au gouvernement provisoire de la République du Niger
Monsieur le Président,
Mesdames, messieurs les membres du gouvernement
Les évènements récents, combien prévisibles, vous ont menés à la tête de l’Etat du Niger, après une fin de règne entêtante du sortant ; pour notre part, nous ne retiendrons finalement de ce mandat que les gestes de son épilogue dans le nord du pays : décret de mise en garde et carte blanche à l’armée, emprisonnements arbitraires, exactions et exécutions de populations civiles et d’animaux, brûlage de campements nomades.
« L’Etat est sauvé, pas [encore] le peuple », pour reprendre le titre d’un journal international commentant la crise administrative, économique et sociale en Grèce.
Les Nations unies (dont le Niger, le Mali, le Burkina Faso, l’Algérie, la Libye sont membres), avec le concours des organisations des peuples autochtones du monde et après plus de trente années de débats, ont voté le 13 septembre 2007, la déclaration des droits des peuples autochtones, pendant que les conflits dans le nord Niger et Mali s’accentuaient.
L’Union africaine à travers sa commission des droits de l’homme a largement promu cette déclaration.
Dans son discours d’investiture, le président Obama disait « [qu’] il ne saurait y avoir de démocratie sans que soit affirmé le droit pour chaque individu de ne jamais avoir à renoncer à aucune partie de son identité ». Monsieur Obama est le symbole vivant de ce droit, cette certitude s’accompagne bien sûr du projet humain universel selon lequel les hommes naissent libres et égaux.
Monsieur le Président, mesdames, messieurs les membres du gouvernement,
La tâche et les responsabilités qui sont devant vous sont importantes. C'est une tâche de paix et de réconciliation. Ce sont des responsabilités politiques et démocratiques. Vous devez composer dans un délai très court. La règle désormais voudrait que cela se réalise sous un mode participatif, comme ces travaux pratiques effectués en équipe.
C'est pourquoi, en ces temps de commémorations d’indépendances, je souhaite attirer votre attention sur une injustice qui dure depuis le début de la colonisation. Je veux parler de l’injustice faite aux Touaregs privés de leurs droits politiques, territoriaux, sociaux, avec la déstructuration de leur société, la colonisation et l’occupation de leurs terres, la stigmatisation - héritée de la colonisation - de leur identité et de leur mode de vie nomade.
Permettez-moi, de vous remémorer rapidement les faits suivants : 1896 : pénétration coloniale en pays touareg / 1906 : capitulation des pôles politiques touareg / 1916 : insurrection générale dans l’Aïr, organisation de la résistance, occupation et surveillance des villes, affaiblissement de la population, confiscation des troupeaux, impôts et travail obligatoire, contrôle des mouvements / 1960 : division des touaregs entre 5 Etats / 1963 : insurrection et sanglantes représailles au Mali / 1990 : insurrection et sanglantes représailles au Mali et au Niger / 2006 et 2007 : insurrection et sanglantes représailles au Mali et au Niger.
La tâche de reconstruction est nécessairement immense ; mais une bonne partie de celle-ci est en réalité déjà étoffée par les Nations unies, l’Union européenne, l’Union africaine où des experts et vos représentants travaillent sur des rapports et des orientations globales. La déclaration des droits des peuples autochtones, au même titre que celle des droits de l’homme de 1948, doit être prise en compte. Certains Etats d’Amérique Latine, qui en ont fini avec les principes de guérillas, l’ont intégrée.
Le Niger doit aussi tirer un trait avec les conflits armés du nord pour amorcer son développement. Mais, pour cela, il doit non seulement réviser les textes fondamentaux, mais aussi changer de méthode. Car où sont passés les moyens financiers, quelles sont les réalisations durables?
Mesdames, Messieurs,
Une bonne partie du Niger, du Mali, le nord du Burkina Faso, les sud de l’Algérie et de la Libye, sont des zones de transition humaine et géographique entre le nord et le sud, une zone d’échange, un melting-pot, un biome aux caractéristiques singulières. Ce territoire est identifié, connu, attribué, lié à une série de droits et de devoirs selon les règles territoriales touarègues qui ont permis de gérer et de rendre ces terres viables.
Mais la colonisation puis la période postcoloniale ont ignoré ou chercher à détruire ces droits pour fabriquer un peuple nomade fantasmé sans sol, ni ancrage. Cela n’existe pas.
Il faut rendre aux Touaregs leurs droits élémentaires sur leur territoire pour qu’ils puissent subsister comme les autres communautés au Niger et ailleurs.
Des organisations de la société civile requièrent l’intégration dans les textes fondamentaux de la république la déclaration des droits des peuples autochtones votée aux Nations unies le 13 septembre 2007.
Très respectueusement vôtre.
Le 10 mai 2010
Thomas FORTUNE
Président de l’internationale touarègue
Bordeaux, France
L’internationale touarègue est une organisation créée en 2008 dans le but de promouvoir la déclaration des peuples autochtones et que celle-ci serve de plateforme équilibrée d’accords pour ne plus générer de conflits dans le nord Niger et Mali. Son action porte surtout sur le plaidoyer et de plus en plus sur des projets de développement orientés et spécialisés « mode de vie nomade ».
TESHUMAR.BE est dedié à la CULTURE du peuple touareg? de ses voisins, et du monde. Ce blog, donne un aperçu de l actualité Sahelo-Saharienne. Photo : Avec Jeremie Reichenbach lors du Tournage du film documentaire : « Les guitares de la résistance Touaregue », à la mythique montée de SALUT-HAW-HAW, dans le Tassili n’Ajjer-Djanet- Algérie. 2004. Photo de Céline Pagny-Ghemari. – à Welcome To Tassili N'ajjer.
mardi 11 mai 2010
Ex rebellion Touaregue ,le malaise continue ; : Communiqué des ex combattants dissidents des ex fronts armés
Tamgak, 11 mai 2010
Niger : Communiqué des ex combattants dissidents des ex fronts armés
mardi 11 mai 2010
La rébellion intervenue dans notre zone de l’Aïr connaît aujourd’hui un début de solution heureux grâce notamment aux efforts de Mouammar Kadhafi, guide de la Grande Jamahiriya arabe libyenne. Nous notons également la volonté du CSDR à apporter une solution définitive à ce problème.
Dans le cadre du règlement de ce conflit et en vue de permettre aux éléments démobilisés des ex fronts d’embrasser une vie active, des fonds importants ont été mobilisés par le Guide de la grande Jamahiriya. Malheureusement les responsables des fronts n’ont pas répondu aux attentes suscités en eux et ont procédé à une gestion personnelle de ces fonds.
NOUS, dissidents, des ex front réunis en une seule base, signataires du présent communiqué, réaffirmons notre attachement à toutes les démarches visant à régler définitivement le conflit intervenu dans le Nord de notre pays et nous nous engageons à y participer pleinement.
Nous réaffirmons notre attachement à l’aboutissement du processus de paix, à notre retour au pays dont les termes seront discutés directement avec nous puisque nous ne nous reconnaissons pas à travers les dirigeants actuels des ex fronts.
C’est pourquoi, nous nous formons en un groupe organisé dont les responsables seront seuls habilités à engager ses membres. Nous pensons que d’une gestion responsable du processus de réinsertion des ex-combattants, dépend l’instauration d’une paix durable dans la zone.
- Ont signé :
1. Edanger Ebanar Kajou
2. Tabbo Immana Alimane
3. Ahmad Alghimarat Iliassan
Mandatés par le groupe.
Tamgak, le 11 mai 2010
Greenpeace accuse Areva d'empoisonner la population du Niger
Info rédaction, publiée le 11 mai 2010
Greenpeace a présenté à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) un rapport sur la dispersion des déchets radioactifs engendrée par l'extraction d'uranium menée par Areva depuis plus de 40 ans au Niger. L'association écologiste accuse le groupe français de mettre en danger la santé des riverains.
Depuis 40 ans, Areva exploite des mines d'uranium au nord du Niger, aux alentours des villes d’Arlit et d’Akokan. Greenpeace y a réalisé divers prélèvements et mesures en novembre 2009, en collaboration avec la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad, France) et le Réseau des organisations pour la transparence et l'analyse budgétaire (Rotab, Niger).
Cette étude a révélé des concentrations très élevées d'uranium dans le sol, ainsi que de radon dans l'air. Enfin, quatre échantillons d'eau sur cinq prélevés dans la région d'Arlit mettent en évidence une concentration d'uranium supérieure à la limite recommandée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l'eau potable.
Greenpeace demande désormais à l'OMS de mener sa propre enquête au Niger, et d'exiger du groupe Areva qu'il prenne rapidement des mesures pour préserver la santé des riverains des mines. "L’extraction de ce minerai fait appel à des procédés particulièrement polluants et destructeurs" affirme l'association écologiste, dénonçant "les effets catastrophiques sur les communautés vivant à proximité des mines et sur l’environnement".
Ce sont 80.000 personnes qui vivent aux alentours des mines et cités minières. Selon Greenpeace, elles seraient empoisonnées depuis des dizaines d'années par les activités d'extraction minière du groupe nucléaire français.
lundi 10 mai 2010
30 Years Of Dakar (1979-2009) - Crashes
stefanojr — April 01, 2009 — Dakar rally, now 30 years old with lots of histories and crashes... Very good compilation, must see
Encore un peu de désert ?Tamikrest sort un splendide premier album et habite celui de Dirtmusic.
Encore un peu de désert ?
politis.fr
l'hebdo independant et engagé
jeudi 15 avril 2010, par Jacques Vincent
Tamikrest sort un splendide premier album et habite celui de Dirtmusic.
Tous ceux qui ont découvert Tinariwen ces dernières années et n’ont jamais pu se résoudre à ranger leurs disques tellement ils les écoutent souvent vont se réjouir de l’arrivée de Tamikrest. Le groupe représente la nouvelle génération de musiciens touaregs qui revendiquent clairement l’héritage de leurs aînés. « Tinariwen a créé le chemin, et c’est à nous maintenant de le descendre et de créer le futur », résume simplement son leader, Ousmane Ag Mossa. On peut même dire (...)
politis.fr
l'hebdo independant et engagé
jeudi 15 avril 2010, par Jacques Vincent
Tamikrest sort un splendide premier album et habite celui de Dirtmusic.
Tous ceux qui ont découvert Tinariwen ces dernières années et n’ont jamais pu se résoudre à ranger leurs disques tellement ils les écoutent souvent vont se réjouir de l’arrivée de Tamikrest. Le groupe représente la nouvelle génération de musiciens touaregs qui revendiquent clairement l’héritage de leurs aînés. « Tinariwen a créé le chemin, et c’est à nous maintenant de le descendre et de créer le futur », résume simplement son leader, Ousmane Ag Mossa. On peut même dire (...)
SOIREE TOUAREG à RENNES - Jardin Moderne
Heure de début : samedi 29 mai 2010, à 20:00
Heure de fin : dimanche 30 mai 2010, à 01:00
Lieu : RENNES - Jardin Moderne
Description /Concert de musique Touareg avec Desert Rebel For Peace
précédé d'un repas du désert et du concert de Zimé
Les bénéfices seront reversés à l'association TAFLIST, qui vient en aide aux populations d' Afrique de l'Ouest
Reportage au coeur du festival Moonfest au Maroc.
PHOTO/Mohamed Bilalan, Desert Rebel For Peace
vendredi 07 mai 2010
1. Moonfest
(L. Aloir)Par Laurence Aloir
RFI
Reportage au coeur du festival Moonfest au Maroc.
C'est cette année, c'est la troisième édition du festival Moonfest qui se tient sur les bords du lac Lalla Takerkoust au sud de Marakech. En plus de la musique, les trois jours de fête sont ponctués d’ateliers artistiques de découverte et d’apprentissage. Du sport (séances de yoga et stretching), des randonnées et des improvisations musicales (jam sessions) seront également au planning des festivités. La programmation musicale qui constitue l’essentiel du festival, nous plongera dans les sonorités africaines, des rythmes berbères et du rock. Sont attendus entre autres, Ahmed Soultan, Raissa Fatima Tihihit Mzin, les groupes Ribab fusion, Haoussa, Mazagan qui représenteront le Maroc. Pour les étrangers, Mouss et Hakim (ex-Zebda) pour la France, les rockeurs touareg de Désert Rebel ainsi que Cheikh Sidi Bémol d’Algérie.
Nous passerons cette première partie en comapgnie de Desert Rebel for Peace qui voit se mélanger des musiciens nigériens et bretons, l'algérien Cheikh Sidi Bémol et le batteur français Sébastien Le Bon qui officie avec Ablaye M'Baye et avec le groupe Désert Rebel.
vendredi 07 mai 2010
1. Moonfest
(L. Aloir)Par Laurence Aloir
RFI
Reportage au coeur du festival Moonfest au Maroc.
C'est cette année, c'est la troisième édition du festival Moonfest qui se tient sur les bords du lac Lalla Takerkoust au sud de Marakech. En plus de la musique, les trois jours de fête sont ponctués d’ateliers artistiques de découverte et d’apprentissage. Du sport (séances de yoga et stretching), des randonnées et des improvisations musicales (jam sessions) seront également au planning des festivités. La programmation musicale qui constitue l’essentiel du festival, nous plongera dans les sonorités africaines, des rythmes berbères et du rock. Sont attendus entre autres, Ahmed Soultan, Raissa Fatima Tihihit Mzin, les groupes Ribab fusion, Haoussa, Mazagan qui représenteront le Maroc. Pour les étrangers, Mouss et Hakim (ex-Zebda) pour la France, les rockeurs touareg de Désert Rebel ainsi que Cheikh Sidi Bémol d’Algérie.
Nous passerons cette première partie en comapgnie de Desert Rebel for Peace qui voit se mélanger des musiciens nigériens et bretons, l'algérien Cheikh Sidi Bémol et le batteur français Sébastien Le Bon qui officie avec Ablaye M'Baye et avec le groupe Désert Rebel.
Hawad, poète libertaire touareg :Écrivain et poète, il a déjà publié depuis 20 ans une trentaine de livres et continue à écrire, lors de ses séjours au milieu du Sahara.
Hawad au côté de Thomas Fortuné, président de l'Internationale touarègue. photo d. c.
La médiathèque recevait ce mardi, en présence de Michel Hibon, premier adjoint, et de Maryse Doumax, sa directrice, Hawad, un poète touareg. Par sa prestance et son port de tête, on devine aisément que Hawad est un «Imajeghen », être noble et digne dans le langage touareg, mais c'est avant tout un écrivain et un poète.
Là encore, pas de confusion possible, il ne vient pas d'une famille d'enseignants et n'a pas passé de bac littéraire, il est né dans les sables du désert, quelque part entre Tombouctou et Tamanrasset. Jusqu'à l'âge de 20 ans, il a mené la vie des Touaregs, élevant chevaux et chameaux entre la Méditerranée et l'Afrique noire.
Le problème, il l'a très vite compris, c'est que la terre affectée à son peuple ne peut pas nourrir les 3 ou 4 millions de nomades (difficile à chiffrer car il n'y a pas de recensement). Départ donc vers la Lybie où il cumule travail et études avec quelques difficultés car il est sans papiers, puis exerce de nombreux métiers comme par exemple marin sur les bateaux voguant sur la Méditerranée.
Et aujourd'hui, où en est il ?
Fixé depuis de nombreuses années en France, il se consacre presque exclusivement à l'écriture. Depuis 20 ans, il a écrit une vingtaine d'ouvrages, du récit aux pièces de théâtre en passant par la poésie, à laquelle il consacre la totalité de son temps. On aurait pu penser que l'âge et l'expérience auraient tempéré ses idées, mais il n'en est rien, il reste un rebelle, un brin anarchiste, un libertaire comme il se définit lui-même.
Ses prises de position lui ont d'ailleurs valu de goûter au confort des geôles de plusieurs pays (Algérie, Libye, Niger). Mais ces déboires n'ont en rien modifié son point de vue qui lui fait dire « qu'à la politique pour qui il n'a aucune attirance, il préfère se tourner vers l'imaginaire des peuples ». D'ailleurs pour préserver ses idées, il retourne très régulièrement se ressourcer et écrire au milieu du désert.
Après la projection du film « Furigrafier le vide » réalisé par Hélène Claudot-Hawad, son épouse et Nathalie Michaud, consacré à la poésie touareg, Hawad a ensuite répondu aux questions du public en compagnie de Thomas Fortuné, président de l'Internationale touarègue, et qui milite pour la reconnaissance des droits des peuples autochtones.
Bassens · Bordeaux rive droite · théâtre · Gironde
La médiathèque recevait ce mardi, en présence de Michel Hibon, premier adjoint, et de Maryse Doumax, sa directrice, Hawad, un poète touareg. Par sa prestance et son port de tête, on devine aisément que Hawad est un «Imajeghen », être noble et digne dans le langage touareg, mais c'est avant tout un écrivain et un poète.
Là encore, pas de confusion possible, il ne vient pas d'une famille d'enseignants et n'a pas passé de bac littéraire, il est né dans les sables du désert, quelque part entre Tombouctou et Tamanrasset. Jusqu'à l'âge de 20 ans, il a mené la vie des Touaregs, élevant chevaux et chameaux entre la Méditerranée et l'Afrique noire.
Le problème, il l'a très vite compris, c'est que la terre affectée à son peuple ne peut pas nourrir les 3 ou 4 millions de nomades (difficile à chiffrer car il n'y a pas de recensement). Départ donc vers la Lybie où il cumule travail et études avec quelques difficultés car il est sans papiers, puis exerce de nombreux métiers comme par exemple marin sur les bateaux voguant sur la Méditerranée.
Et aujourd'hui, où en est il ?
Fixé depuis de nombreuses années en France, il se consacre presque exclusivement à l'écriture. Depuis 20 ans, il a écrit une vingtaine d'ouvrages, du récit aux pièces de théâtre en passant par la poésie, à laquelle il consacre la totalité de son temps. On aurait pu penser que l'âge et l'expérience auraient tempéré ses idées, mais il n'en est rien, il reste un rebelle, un brin anarchiste, un libertaire comme il se définit lui-même.
Ses prises de position lui ont d'ailleurs valu de goûter au confort des geôles de plusieurs pays (Algérie, Libye, Niger). Mais ces déboires n'ont en rien modifié son point de vue qui lui fait dire « qu'à la politique pour qui il n'a aucune attirance, il préfère se tourner vers l'imaginaire des peuples ». D'ailleurs pour préserver ses idées, il retourne très régulièrement se ressourcer et écrire au milieu du désert.
Après la projection du film « Furigrafier le vide » réalisé par Hélène Claudot-Hawad, son épouse et Nathalie Michaud, consacré à la poésie touareg, Hawad a ensuite répondu aux questions du public en compagnie de Thomas Fortuné, président de l'Internationale touarègue, et qui milite pour la reconnaissance des droits des peuples autochtones.
Bassens · Bordeaux rive droite · théâtre · Gironde
dimanche 9 mai 2010
Rahla,Amicale des Sahariens,Guerlédan,5 juin
Rahla,Amicale des Sahariens,Guerlédan,5 juin
dimanche 9 mai 2010
Chers Passionnés du Sahara,
Notre Comité a le plaisir de vous inviter à sa prochaine Rencontre Saharienne qui aura lieu au coeur de la verte Bretagne .
LE SAMEDI 5 JUIN 2010 à L’HOTEL-CLUB VACANCIEL DE MUR DE BRETAGNE (22) , dans un parc de 16 ha, en bordure du plus grand lac de Bretagne de Guerlédan.
Nous avons des possibilités d’hébergement à un prix attractif .
N’attendez pas le dernier moment pour vous inscrire . Je centralise les réservations et les inscriptions pour la Rencontre ..
Le prix de la journée est fixé à 25€ avec vin « à discrétion »... mais, à boire avec modération ! buffets pour les entrées, fromages et desserts, le plat chaud viande ou poisson … étant servi à table . Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire … et même... envoyer les chèques !!!
Les causeries sahariennes d’ Alain Morel sont prises en charge par notre comité .
Les entrées y sont libres, et ouvertes à TOUS les Passionnés
Chers Passionnés, soyez les bienvenus dans une ambiance saharienne planant au-dessus de la verdoyante et accueillante Bretagne .
Di Popolo Robert Président du Comité Grand-Ouest
Ben Mefthah Tahar Ben Ali, L’Univers mythique touareg dans l’œuvre d’Ibrahim Al Koni Pour une poétique du « Roman du désert »
Ben Mefthah Tahar Ben Ali, L’Univers mythique touareg dans l’œuvre d’Ibrahim Al Koni Pour une poétique du « Roman du désert »
dimanche 9 mai 2010
Auteur(s) : BEN MEFTAH, Tahar Ben Ali
Titre français : L’Univers mythique touareg dans l’œuvre d’Ibrahim Al Koni Pour une poétique du « Roman du désert »
Titre anglais : The Tuareg mythical universe in the work of Ibrahim Al Koni
Directeur : GONZALEZ DE QUIJANO, YVES
Discipline : Linguistique, littérature et civilisation arabes
Composante : Faculté des Langues
Diplôme : Doctorat Nouveau Régime
Soutenance : 21/05/2010
Résumé français : Ce travail tente de répondre à la problématique suivante : de quelle façon un écrivain, en l’occurrence Ibrahim Al Koni, peut-il témoigner de l’histoire et de la culture de son peuple, les Touaregs (en danger d’extinction), sans verser dans le discours ethnographique ou le manifeste politique ? La réponse qui vient immédiatement à l’esprit c’est : par l’écriture. Or l’oralité étant le mode d’expression et de transmission principal de la société touarègue, l’auteur va se trouver dans la nécessité d’user d’une langue « étrangère » (l’arabe), et d’une forme exogène (le roman) pour accomplir cette œuvre. Mais la gageure ne s’arrête pas là : Al Koni se propose de restituer à son peuple des valeurs et un mode de vie menacés par l’oubli et la dislocation de l’espace traditionnel nomade. Il lui faut alors inventer une matrice originale capable de véhiculer ces valeurs et de retrouver l’oasis perdue « Waw » baignant dans la parole première du livre des Ancêtres « Anhi ». C’est par l’investissement des mythes fondateurs touaregs dans la trame des intrigues romanesques qu’il réussira cette alchimie et parviendra à fonder un genre nouveau dans la littérature arabe et mondiale contemporaines : Le Roman du désert.
Mots clefs français : Littérature arabe ; Libye ; mythe ; roman du désert ; intertextualité ; Touareg ; oralité ; nomadisme
Résumé anglais : This work aims at answering the following question : how can a writer, in this case Ibrahim Al Koni, testify to the history and culture of his people, the Touaregs (endangered), without producing neither an ethnographic speech nor a political manifest ? The answer just immediately to mind is : by writing. However, the main mode of expression and transmission in the touareg society is orality. That is why the author will need to use a “foreign” language (arabic) and an exogenous form (the novel) to accomplish this mission. But the challenge does not stop here : Al Koni intends to give back to his people many values and a way of life threatened by oblivion and by the collapse of the traditional nomadic space. He than needs to invent an original matrix able to convey these values and find “Waw”, the lost oasis, bathing in the prime speech of the ancestors book, “Anhi”. By investing touaregs founding myths in the frame of romanesques intrigues, Al Koni manages to succeed this alchemy and builds a new genre in the arab and contemporary world literature : The Novel of the desert.
Mots clefs anglais : Arabic literature ; Libya ; myth ; novel of desert ; intertextuality ; Tuaregs ; orality ; nomadism
Imazighen à l'Instance Permanente des Peuples Autochtones des Nations Unies
Imazighen à l'Instance Permanente des Peuples Autochtones des Nations Unies
New York
Une délégation berbère participait cette année à la neuvième session de l’Instance Permanente des Nations Unies pour les Peuples Autochtones qui se déroulait à New York du 19 au 30 avril. Le Caucus mis en place en 2009 a eu de nouveau l'occasion de passer en revue pendant plusieurs jours la situation des droits des peuples amazighs. En voici quelques conclusions générales.
Au Maroc
Bien que la délégation se félicite du lancement de la chaine amazighe qui doit répondre aux attentes des Imazighens, les principales revendications amazighes ne sont toujours pas satisfaites par l’état marocaine en premier lieu l’officialisation de la langue amazighe et de l’identité amazighe depuis plus d' un quart de siècle de revendication du Mouvement amazigh.
Bien au contraire le MCA constate un double langage d’application des engagements du gouvernement Marocain au niveau du renforcement de la langue Amazighe dans la vie publique. L’expropriation et la spoliation des terres des Amazighs se poursuivent sans relâche, poussant les paysans Amazighs à la pauvreté et à l’exil. L’interdiction des prénoms Amazighs se poursuit malgré l’engagement du gouvernement Marocain devant les instances onusiennes de remédier à la situation. La délégation amazighe dénonce l’arrestation des militants Amazighs à Taghjijit, Er-Rachidia, Meknès et autres régions du pays.
En Algérie
La constitution du Haut Commissariat Amazighe (HCA), et la reconnaissance de la langue amazighe dans la constitution comme langue nationale ont été des actions positives entreprises par le gouvernement Algérien;
Cependant le pouvoir algérien n’a pas exprime sa volonté politique de mettre en œuvre l’application des ces engagements envers les mouvements identitaires et politiques des Imazighens en Algérie, ainsi les responsables du crime sauvage des événements du printemps noir ne sont jamais passés en justice et sont restés dans l’impunité.
La politique de l’arabisation idéologique de l’état ne cesse de continuer et risque d’éradiquer l’identité Amazighe. Tous les moyens politiques, administratifs et financiers de l’Etat visent le sabotage économique de la Kabylie, et la marginalisation de la région.
Le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie n’est pas reconnu. Les autres régions Amazighes de l’Algérie vivent dans la même situation.
En Libye, et en Tunisie
L’existence du peuple Amazigh est simplement niée par ces régimes totalitaires, les déclarations du chef de l’état libyen visent l’éradication du peuple amazigh.
En pays Touareg
Notamment du Niger et du Mali, les discriminations et la marginalisation de ce peuple et le non respect des accords signés entre les Touaregs et les gouvernements de ces Etats, poussent régulièrement les Touaregs à se révolter pour dénoncer les injustices et les menaces à leur survie. Cette répression amène les populations Touarègues à se refugier à l’extérieur de leur pays d’origine.
Par conséquent, le Caucus Amazigh demandait à l’Instance Permanente des Peuples Autochtones de prendre action sur les points suivants :
Encourager les Etats de la région a l’application de la déclaration des Nations Unies sur les Peuples Autochtones,
La reconnaissance constitutionnelle de la langue Amazighe comme langue officielle des Etats de Tamazgha (Afrique du Nord)
Créer des institutions Amazighes nationales et régionales chargées de la formation, de la protection et de la promotion de l’identité et de la langue Amazighe
La généralisation d’une manière sérieuse et crédible de l’enseignement de la langue Amazighe et son intégration équitable dans les medias publics
L’autodétermination des régions Amazighes dans des systèmes fédéraux, garantissant au peuple Amazigh le droit du partage du pouvoir des richesses et des valeurs dans le respect de l’unité nationale et l’intégrité territoriale des Etats respectifs
Soutenir la volonté du peuple Canarien dans son projet d’autodétermination.
Les organisations signataires :
- L’International Touarègue (Bordeaux)
- Association touarègue tidawt
- Association TUNFA (Niger)
- Association Tin-Hinan ( Burkina fasso)
- Association Bouskouda ( Cameroun)
- Collectif OAFA
- Congres Mondial Amazigh (Paris)
- Organisation TAMAYNUT (Rabat Maroc)
- Confédération des Associations Amazighes du sud marocain (Tamunt n Iffus) (Agadir Maroc)
- Association Tawssna ( Achtouken - Ait Baha- Maroc)
- Tamaynut- América,
- Association Tigmi ( Tizi Ouzou, Algerie)
- Association Ils Umazigh ( Tizi Ouzou, Algerie)
Soumis par Rédaction Kabyle.com le dim, 2010-05-09 04:30
New York
Une délégation berbère participait cette année à la neuvième session de l’Instance Permanente des Nations Unies pour les Peuples Autochtones qui se déroulait à New York du 19 au 30 avril. Le Caucus mis en place en 2009 a eu de nouveau l'occasion de passer en revue pendant plusieurs jours la situation des droits des peuples amazighs. En voici quelques conclusions générales.
Au Maroc
Bien que la délégation se félicite du lancement de la chaine amazighe qui doit répondre aux attentes des Imazighens, les principales revendications amazighes ne sont toujours pas satisfaites par l’état marocaine en premier lieu l’officialisation de la langue amazighe et de l’identité amazighe depuis plus d' un quart de siècle de revendication du Mouvement amazigh.
Bien au contraire le MCA constate un double langage d’application des engagements du gouvernement Marocain au niveau du renforcement de la langue Amazighe dans la vie publique. L’expropriation et la spoliation des terres des Amazighs se poursuivent sans relâche, poussant les paysans Amazighs à la pauvreté et à l’exil. L’interdiction des prénoms Amazighs se poursuit malgré l’engagement du gouvernement Marocain devant les instances onusiennes de remédier à la situation. La délégation amazighe dénonce l’arrestation des militants Amazighs à Taghjijit, Er-Rachidia, Meknès et autres régions du pays.
En Algérie
La constitution du Haut Commissariat Amazighe (HCA), et la reconnaissance de la langue amazighe dans la constitution comme langue nationale ont été des actions positives entreprises par le gouvernement Algérien;
Cependant le pouvoir algérien n’a pas exprime sa volonté politique de mettre en œuvre l’application des ces engagements envers les mouvements identitaires et politiques des Imazighens en Algérie, ainsi les responsables du crime sauvage des événements du printemps noir ne sont jamais passés en justice et sont restés dans l’impunité.
La politique de l’arabisation idéologique de l’état ne cesse de continuer et risque d’éradiquer l’identité Amazighe. Tous les moyens politiques, administratifs et financiers de l’Etat visent le sabotage économique de la Kabylie, et la marginalisation de la région.
Le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie n’est pas reconnu. Les autres régions Amazighes de l’Algérie vivent dans la même situation.
En Libye, et en Tunisie
L’existence du peuple Amazigh est simplement niée par ces régimes totalitaires, les déclarations du chef de l’état libyen visent l’éradication du peuple amazigh.
En pays Touareg
Notamment du Niger et du Mali, les discriminations et la marginalisation de ce peuple et le non respect des accords signés entre les Touaregs et les gouvernements de ces Etats, poussent régulièrement les Touaregs à se révolter pour dénoncer les injustices et les menaces à leur survie. Cette répression amène les populations Touarègues à se refugier à l’extérieur de leur pays d’origine.
Par conséquent, le Caucus Amazigh demandait à l’Instance Permanente des Peuples Autochtones de prendre action sur les points suivants :
Encourager les Etats de la région a l’application de la déclaration des Nations Unies sur les Peuples Autochtones,
La reconnaissance constitutionnelle de la langue Amazighe comme langue officielle des Etats de Tamazgha (Afrique du Nord)
Créer des institutions Amazighes nationales et régionales chargées de la formation, de la protection et de la promotion de l’identité et de la langue Amazighe
La généralisation d’une manière sérieuse et crédible de l’enseignement de la langue Amazighe et son intégration équitable dans les medias publics
L’autodétermination des régions Amazighes dans des systèmes fédéraux, garantissant au peuple Amazigh le droit du partage du pouvoir des richesses et des valeurs dans le respect de l’unité nationale et l’intégrité territoriale des Etats respectifs
Soutenir la volonté du peuple Canarien dans son projet d’autodétermination.
Les organisations signataires :
- L’International Touarègue (Bordeaux)
- Association touarègue tidawt
- Association TUNFA (Niger)
- Association Tin-Hinan ( Burkina fasso)
- Association Bouskouda ( Cameroun)
- Collectif OAFA
- Congres Mondial Amazigh (Paris)
- Organisation TAMAYNUT (Rabat Maroc)
- Confédération des Associations Amazighes du sud marocain (Tamunt n Iffus) (Agadir Maroc)
- Association Tawssna ( Achtouken - Ait Baha- Maroc)
- Tamaynut- América,
- Association Tigmi ( Tizi Ouzou, Algerie)
- Association Ils Umazigh ( Tizi Ouzou, Algerie)
Soumis par Rédaction Kabyle.com le dim, 2010-05-09 04:30
festival d'Agadez edition 2010
festival d'Agadez
vendredi, à 14:32
L’idée s'est de pouvoir faire déplacer entre 300 et 400 personnes(tout en étant modeste).et aussi c'est un festival qui se fait d'abord pour les peuples du Niger dans leur généralité pour qu'ils puissent se revoir :evenement prétexte a la rencontre.
Ainsi je viens vers vous mes mes amis pour vous informer et vous dire que toute aide de votre part pour la réalisation de ce projet est la bienvenue et faite passer l’information à vos amis et connaissances.
Pour ceux qui ont des agences des voyages,des sites internets, des blogs,etc... vous pouvez déjà mettre en ligne si possible le dépliant qui est mis en pièce jointe, pour faire passer l’information et Ainsi vous aurez un outil en plus a vendre à vos client.
Le festival se déroulera pendant une semaine en deux places :
La première : à Agadez.
Pour permettre la connaissance des cultures et des hommes de la région d'Agadez et du Niger en général, nous avons décidé de faire une escale découverte d' Agadez pendant trois jours. L’idée est de faire en quelque sorte que l’impact économique de ce festival aille directement aux populations d’Agadez. Ainsi :
* des visites guidées seront faites dans Agadez pour voir les différents sites historiques d'Agadez.
* Parades des chameaux aux rythme du tindé ,animation dans la ville au rythme du biannou ,guerewol , l'inzad ect...
* Des expositions et des ateliers dans l'univers de la photo, peintures, calligraphie, des arts du Sahara,
* des contes ,des recueils de poésies etc...
* Des nombreuses animations musicales avec les groupes locaux dans tous les restaurants,bars ,hôtel ,boite de nuit, etc...
* Des sports collectifs ( lutte, football, pétanque,ect…) contre des sportifs qui viendront de l'Europe (lutteur breton ,etc...)
* des conférences et débats avec des historiens ,des paléontologues, des astronomes etc...spécialistes du Sahara.
* des projections des films liés au sahara Sahara et aussi une nuit hommage à Jean Rouch.
Deuxième : Sur les falaises de Tiguidit : (ou l'on passera le nouvel an dans un hôtel à milles étoiles)
Un campement y sera fait pour accueillir les festivaliers et les invités. Une grande scène sera dressée pour les concerts du soir.sur cette grande scène nous feront se produire tous les artistes de renommée touareg (Tartite,Tinariwen,Takrist N’Akal etc…) et aussi des musiciens stars de l’international que nous aimerions faire venir (Tiken Jah Fakoly , Amazigh Kateb, Daby Touré ,Mouss et Hakim,Tryo etc...),et également des musiciens aussi du Niger comme les groupes Mali Yaro, Mamar Kassey,Dangana,Guez band etc…
Et aussi la scène découverte de jeunes talents nigériens pour des concerts en début d’après midi et qui seront noté par un juré qui le notera et qui leur donnera a la fin du festival "l'Inzad d'or".ce groupe sera pendant toute l'année suivi par l'association Emiskini pour sa promotion et son lancement au niveau national et international.
Des cours de chameaux,des cours des chevaux, parades (fantasia), des forums et débats, des expositions, des conférences, du Tindé, de l’Inzad, du Takay ,Biannou, guerowel ,poesies ect…
Un programme détaillé vous sera envoyé bientôt.
Pour ceux qui sont intéressé par plus dinfos n’hésitez pas à prendre contact avec moi.
Un site internet sera bientôt mis en ligne et un programme plus détaillé et en cours d’élaboration.
Espérant avoir de vos nouvelles à très bientôt.
Bilalan ag ganta moussa
Président de l’association Emiskini
http://www.facebook.com/?ref=home#!/notes/festival-dagadez/festival-dagadez/123961684286428
vendredi, à 14:32
L’idée s'est de pouvoir faire déplacer entre 300 et 400 personnes(tout en étant modeste).et aussi c'est un festival qui se fait d'abord pour les peuples du Niger dans leur généralité pour qu'ils puissent se revoir :evenement prétexte a la rencontre.
Ainsi je viens vers vous mes mes amis pour vous informer et vous dire que toute aide de votre part pour la réalisation de ce projet est la bienvenue et faite passer l’information à vos amis et connaissances.
Pour ceux qui ont des agences des voyages,des sites internets, des blogs,etc... vous pouvez déjà mettre en ligne si possible le dépliant qui est mis en pièce jointe, pour faire passer l’information et Ainsi vous aurez un outil en plus a vendre à vos client.
Le festival se déroulera pendant une semaine en deux places :
La première : à Agadez.
Pour permettre la connaissance des cultures et des hommes de la région d'Agadez et du Niger en général, nous avons décidé de faire une escale découverte d' Agadez pendant trois jours. L’idée est de faire en quelque sorte que l’impact économique de ce festival aille directement aux populations d’Agadez. Ainsi :
* des visites guidées seront faites dans Agadez pour voir les différents sites historiques d'Agadez.
* Parades des chameaux aux rythme du tindé ,animation dans la ville au rythme du biannou ,guerewol , l'inzad ect...
* Des expositions et des ateliers dans l'univers de la photo, peintures, calligraphie, des arts du Sahara,
* des contes ,des recueils de poésies etc...
* Des nombreuses animations musicales avec les groupes locaux dans tous les restaurants,bars ,hôtel ,boite de nuit, etc...
* Des sports collectifs ( lutte, football, pétanque,ect…) contre des sportifs qui viendront de l'Europe (lutteur breton ,etc...)
* des conférences et débats avec des historiens ,des paléontologues, des astronomes etc...spécialistes du Sahara.
* des projections des films liés au sahara Sahara et aussi une nuit hommage à Jean Rouch.
Deuxième : Sur les falaises de Tiguidit : (ou l'on passera le nouvel an dans un hôtel à milles étoiles)
Un campement y sera fait pour accueillir les festivaliers et les invités. Une grande scène sera dressée pour les concerts du soir.sur cette grande scène nous feront se produire tous les artistes de renommée touareg (Tartite,Tinariwen,Takrist N’Akal etc…) et aussi des musiciens stars de l’international que nous aimerions faire venir (Tiken Jah Fakoly , Amazigh Kateb, Daby Touré ,Mouss et Hakim,Tryo etc...),et également des musiciens aussi du Niger comme les groupes Mali Yaro, Mamar Kassey,Dangana,Guez band etc…
Et aussi la scène découverte de jeunes talents nigériens pour des concerts en début d’après midi et qui seront noté par un juré qui le notera et qui leur donnera a la fin du festival "l'Inzad d'or".ce groupe sera pendant toute l'année suivi par l'association Emiskini pour sa promotion et son lancement au niveau national et international.
Des cours de chameaux,des cours des chevaux, parades (fantasia), des forums et débats, des expositions, des conférences, du Tindé, de l’Inzad, du Takay ,Biannou, guerowel ,poesies ect…
Un programme détaillé vous sera envoyé bientôt.
Pour ceux qui sont intéressé par plus dinfos n’hésitez pas à prendre contact avec moi.
Un site internet sera bientôt mis en ligne et un programme plus détaillé et en cours d’élaboration.
Espérant avoir de vos nouvelles à très bientôt.
Bilalan ag ganta moussa
Président de l’association Emiskini
http://www.facebook.com/?ref=home#!/notes/festival-dagadez/festival-dagadez/123961684286428
samedi 8 mai 2010
Kel Essouf,Ottignies (Belgique),9 mai,un concert en aide à Tessalit
Kel Essouf,Ottignies (Belgique),9 mai,un concert en aide à Tessalit
samedi 8 mai 2010
Réservez le dimanche 9 Mai pour un bon moment partagé et assister à un concert pour soutenir un projet au village de Tessalit.
Bienvenue au Bois des Etoiles le dimanche 9 mai
À partir de 13 h,
Pour un concert du groupe kel essouf (Métissage de musique touareg, d’Afrique et d’Europe)
Et pour un moment de partage autour de notre projet de soutien à la communauté touareg du village de Tessalit (Nord du Mali).victime de la grande sécheresse qui sévit cette année au Sahel,
L’intégralité des bénéfices de ce concert soutiendra deux projets à Tessalit : - Premièrement, un projet d’urgence : Création d’une coopérative d’achat de nourriture pour le bétail. Il est primordial de sauver le bétail qui est la nourriture principale des Touareg. Or sans pluie pas de fourrage, sans fourrage plus de bétail et sans bétail les hommes meurent… La création d’une coopérative permettra l’achat de graines et de fourrage en plus grande quantité, afin de diminuer le prix et donc de permettre à chacun d’y avoir accès, même les familles les plus défavorisée-Deuxièmement, un projet à plus long terme qui comprend 3 volets :
1/ La création d’un jardin, qui permettra la culture sur plusieurs étages (Palmiers dattiers, arbres fruitiers, potager, fourrage pour animaux, et jardin médicinal..).
2/ La création d’un « hôpital nomade ».
3/ La création d’un centre d’accueil, qui permettra de recevoir dans le village, des personnes désireuses de venir à la rencontre de la culture Touareg et du désert pour un temps de partage, de pause, de ressourcement, d’aide aux projets dans le village… La situation est très préoccupante. Il est urgent d’agir. Pour que ces projets puissent voir le jour, votre soutien financier est essentiel.
Numéro du compte de l’A.S.B.L. KEL TINA. 068-2522218-51 (Avec la mention soutien au projet Tessalit)
N’hésitez pas à transmettre cette information à toute personne qui pourrait être sensible à cette situation et à ces projets.
Pour de plus amples informations, vous pouvez nous contacter au 065/724098
Prix du concert : 10 € (5 € pour les enfants). Il y aura un bar et de quoi prendre un goûter.
Lieu : Bois des étoiles, rue de Renivaux, 29 à 1340 Ottignies
Itinéraire : La rue de Renivaux est excepté circulation locale. L’entrée du Bois des Etoiles se trouve +- à 50m sur la droite. Une fois en haut de l’allée, la salle se trouve dans le bâtiment de droite. Les places de parking étant limitées, nous vous demandons de bien vouloir vous garer rue de Franquenies ou au parking de la gare de Céroux qui se trouve à 200m, un peu plus loin dans la rue de Franquenies et de laisser les places de l’allée du Bois des Etoiles pour les personnes à mobilité réduite.
Le projet est soutenu par : Souéloum Diagho (poète Touareg originaire du village deTessalit), Catherine Delaunoit, La Belle Verte asbl, Josiane De Ridder , Serge Deloos, Isabelle Graulich, Violaine Van Cottom, Christine Doyen, vincent Kuentz, Laurence vray, Noémie goldberg, Nicole Mabille, Françoise Bastin, Nathalie De Bock, Pascale Legrand, Isabelle Arnal.
Si vous désirez découvrir la culture touareg illustrée par la poésie de Souéloum Diagho, Rendez-vous sur le site : http://users.swing.be/swelum/
SAHARA ROCK'S .FESTIVAL DE LA CULTURE SAHARIENNE CONTEMPORAINE
SAMEDI 29 MAI 2010
14h00 : Présentation La culture saharienne actuelle, et projection du film « Teshumara, les guitares de la rébellion touareg », suivi d’un débat.
15h30 : Les touaregs racontés aux enfants, animation et projections + goûter.
17h00 : Concert de Sidi Ag Issa.
18h00 : Enregistrement en public de l’émission Ishumar Calling(1/2) « La génèse de la musique des ishumar (1980-2000) ».
19h00 : Le Théâtre contemporain au Sahara, projection d’extraits de films et présentation
19h30 : Sonores de Tessalit, montage son et projection.
23h00 : Disco-Tam, la Bande Son des nuits de Tamanrasset.
DIMANCHE 30 MAI 2010
15h00 : Projection des films « Imidiwan-Companions » et « Tinariwen back in Tam ».
16h00 : Enregistrement en public de l’émission Ishumar Calling (2/2), « La reconnaissance internationale (2000-2010) ».
17h30 : Concert du groupe Takrist N'Akal.
19h00 : Rencontre. Le web saharien versus le web des sahariens.
pour + de details:http://www.sahararocks.com/index.html
14h00 : Présentation La culture saharienne actuelle, et projection du film « Teshumara, les guitares de la rébellion touareg », suivi d’un débat.
15h30 : Les touaregs racontés aux enfants, animation et projections + goûter.
17h00 : Concert de Sidi Ag Issa.
18h00 : Enregistrement en public de l’émission Ishumar Calling(1/2) « La génèse de la musique des ishumar (1980-2000) ».
19h00 : Le Théâtre contemporain au Sahara, projection d’extraits de films et présentation
19h30 : Sonores de Tessalit, montage son et projection.
23h00 : Disco-Tam, la Bande Son des nuits de Tamanrasset.
DIMANCHE 30 MAI 2010
15h00 : Projection des films « Imidiwan-Companions » et « Tinariwen back in Tam ».
16h00 : Enregistrement en public de l’émission Ishumar Calling (2/2), « La reconnaissance internationale (2000-2010) ».
17h30 : Concert du groupe Takrist N'Akal.
19h00 : Rencontre. Le web saharien versus le web des sahariens.
19h30 : Projection-rencontre. La scène rap au Niger.
20h00 : Présentation du projet Nomad Camp.
Tarifs :
Samedi 29 mai 2010 : De 14h00 à 21h00 : 5 euros, goûter compris pour les enfants (4 à12 ans). À partir de 21h00, concert de Terakaft et Disco-Tam : 10 euros
Dimanche 30 mai 2010 : 8 euros
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