dimanche 11 mars 2012

Plusieurs drapeaux Azawadiens flottent dans le camp militaire Amashash

Combattants du MNLA, Février 2012 © Moussa Ag Assarid
Combattants du MNLA, Février 2012 © Moussa Ag Assarid

Chose promise par le MNLA, chose faite. C'est avec un cœur rempli de joie avec une joie énorme que nous venons d'apprendre que les combattants du MNLA sont en train de prendre leur thé à l'intérieur du camp Amashash de Tessalit. Cette victoire éclatante du MNLA signifie que la quasi-totalité de l'Azawad exception faite des villes de Tine-Bouctou (Tombouctou), Gao, et Kidal sont sous le contrôle du MNLA.
Dans notre parution de ce matin nous déclarions que l'assaut final contre le camp militaire d'Amashash avait été lancé à l'aube sous le leadership du Colonel Assalat Ag Habi. L'optimisme de notre source bien que mesuré ne laissait l'ombre d'aucun doute. Nous nous attendions à ce que cet ancien fort à la protection géographique sans égale dans l'Azawad tombe au plus tard le Dimanche matin.
La bravoure des centaines de valeureux combattants regroupés au tour des Colonels Assalat Ag Habi et Alghaïmar Ag Alhousseyni a fait le reste. La brièveté de l'appel ne nous a pas permis d'obtenir l'historique des évènements de la journée. Nous espérons cependant avoir le film des combats demain. Mais aujourd'hui, la seule chose à laquelle nous pensons c'est la célébration de cette grande victoire du MNLA et cette avancée stratégique du MNLA qui ne fait plaisir ni au Mali encore moins ses alliés de l'Algérie et des Etats Unis d'Amérique.
Malgré que ces puissants pays souhaitent empêcher une fois de plus l'avancée des Azawadiens, ils ne pourront stopper le rêve de tout un peuple qui a toujours voulu mettre fin aux colonisations Françaises et Maliennes. Pour permettre à nos lecteurs de voir à quel point la majorité de l'Azawad est sous le contrôle du MNLA, mettons en ligne la représentation des positions militaires tenues par le MNLA et par l'armée Malienne.
Nous reviendrons plus en détail sur cette victoire dans nos prochaines éditions, une fois l'émotion finie.


Mali Azawad

Nous reviendrons plus en détail sur cette victoire dans nos prochaines éditions, une fois l'émotion finie.

Par Ikhlou Ag Azzezen

Video ansarEddine


Tessalit sous le contrôle des touaregs du MNLA dans le nord du Mali - Azawad ازواد

RFI, Afrique soir, Paris, 12 mars 2012, 19.30 GMT | Des sources concordantes indiquent que la ville garnison de Tessalit, située dans le nord du Mali (http://g.co/maps/gxadz), est passée sous le contrôle des touaregs du MNLA (Mouvement National de Libération de l'Azawad).
AFP, Bamako, 12 Mars 2012, Les rebelles touareg ont affirmé dimanche avoir pris le contrôle d'un camp militaire à Tessalit (nord-est du Mali) (http://g.co/maps/gxadz), une information confirmée par une source sécuritaires régionale, mais démentie par l'armée malienne qui parle de poursuite des combats. "Nous avons pris le contrôle du camp militaire de Tessalit. Il n'y a pas eu beaucoup de victimes, nous avons fait quelques dizaine de prisonniers", a déclaré à l'AFP Moussa Salam, un responsable de la rébellion touareg contacté par téléphone depuis Bamako. "Nous avons renforcé notre position dans le secteur", a-t-il ajouté sans donner de bilan dans un premier temps. Selon une source sécuritaire régionale contactée par l'AFP depuis Bamako, "nos...
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Mali: les forces gouvernementales fuient attaquées par les Touaregs

 
11.03.2012, 19:35
© Фото: «Вести.Ru»
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Les rebelles de la tribu des Touaregs ont saisi une base militaire au nord du Mali, où des centaines de civils ont trouvé refuge, fuyant les combats qui se déroulent dans la région. Les soldats des forces gouvernementales se sont dispersés lors de l'attaque sur le camp Tessalit des rebelles. Le sort des réfugiés reste pour l'instant inconnu.

L’insurrection des Touaregs s'est intensifiée au cours de ces derniers mois. Les guerriers de la tribu ont réussi à s'emparer de plusieurs villes dans le nord du Mali. La plupart des rebelles faisaient partie des unités de l'élite de l'armée libyenne sous le pouvoir du colonel Kadhafi.


MALI - 
Article publié le : dimanche 11 mars 2012 - Dernière modification le : dimanche 11 mars 2012

Au Mali, les rebelles touaregs affirment avoir pris le camp militaire de Tessalit

Au Mali, les rebelles touaregs du MNLA ont affirmé ce dimanche 11 mars 2012 avoir pris le camp militaire de Tessalit, une localité stratégique.
Au Mali, les rebelles touaregs du MNLA ont affirmé ce dimanche 11 mars 2012 avoir pris le camp militaire de Tessalit, une localité stratégique.
Latifa Mouaoued/RFI

Par RFI
Après plusieurs jours de situation plus ou moins stationnaire au nord du Mali, les rebelles touaregs du MNLA ont affirmé, ce dimanche 11 mars 2012, avoir pris le camp militaire de Tessalit. Une information confirmée par une source sécuritaire régionale. Les rebelles touaregs ont aussi indiqué avoir fait des dizaines de prisonniers. La prise du camp était l'enjeu de combats depuis la fin février. D'abord démentie catégoriquement par une source militaire malienne, l'armée a finalement donné sa version des faits.
 

Dans les milieux officiels, on affirme que les soldats gouvernementaux ont effectué un repli tactique du camp militaire de Tessalit. Mais pourquoi faire un repli tactique en abandonnant cette position hautement stratégique ? Réponse d’un officiel : « En face de nous, il y avait des combattants touaregs et d’al-Qaïda au Maghreb islamique, alors nous avons voulu éviter un massacre parce que de nombreux civils pouvaient être des cibles à l’intérieur du camp et dans les environs ».
Côté rebelles touaregs, c’est une autre version : des combats auraient commencé dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 mars, le camp a commencé par se vider de ses hommes et il est tombé finalement après des combats ce dimanche matin dans les mains des rebelles, qui affirment avoir fait des prisonniers civils et militaires.

Une autre question se pose : y a-t-il eu des victimes et des blessés ? « Non », répond une source militaire malienne, alors que du côté de la rébellion, on affirme qu’on le dira plus tard.

Tessalit représente un verrou important. Sur place, il y a une piste d’atterrissage et cette localité est aussi un axe primordial du nord-est du Mali, qui mène notamment vers l’Algérie voisine.
TAGS: MALI - TOUAREG
FICHE PAYS :


Bonjour tous les amis et amies de ce groupe, nous vous confirmons que notre camarade de lutte Med Tinariwen, est en détention arbitraire à Tamanrasset en Algérie, pour des raisons que nous ignorons. Il est un jeune très engager pour cette cause, et un acteur actif du MNLA. Que justice triomphe. Une pensée à Toi Med Tinariwen



 ·  · Il y a 6 heures · 


Arrestation de notre frère de lutte Mohamed Tinariwen en Algérie; un internaute déterminé:

A TOI MON FRERE Med Tinariwen: 

Ils peuvent censurer l'expression mais pas la liberté.

Ils peuvent bâillonner nos bouches mais pas nos idées.

Ils peuvent contrer nos actions mais pas nos intentions.

Ils peuvent stopper la marche de revendication mais pas notre élan de contestation.

Ils peuvent emprisonner le résistant mais pas la résistance.

Ils peuvent enchaîner nos mains mais jamais nos consciences.

Ils peuvent appauvrir nos poches mais jamais nos cerveaux.

Ils peuvent asservir nos proches mais pas nos idéaux.

Ils peuvent effacer nos mémoires mais jamais notre histoire.

Ils peuvent nous prendre la victoire mais jamais notre espoir.

Ils peuvent nous enchaîner les mains et les pieds mais jamais notre liberté d'esprit.

Ils peuvent user les lois mais jamais user notre foi en l'humanité et la liberté!»
 ·  ·  · Il y a 9 heures

Flash Info/
Selon une source locale rejoint par téléphone satellitaire le camp d’Amachach qui a été pendant plusieurs jours le théâtre d’une guerre rigoureuse, qui d’après plusieurs experts est le deal de la victoire, a été libéré par les braves combattants du MNLA aux environs de 22h :30 heure locale et les couleurs de l’Azawad flottent en ce moment. Difficile d’établir un billant mais il est lourd du coté de l’armée ou on enregistre d’énorme pertes humaines et plus de 40 soldats seraient prisonniers, le contenu de ce camp ainsi que l’ensemble de ses éléments étaient sous contrôle du MNLA ; un important arsenal militaire saisi ainsi que les engins qui s’y trouvent, aucune perte n’est a déplorée au sein de nos combattants.
En avant toujours !!!

Victoire décisive sur les forces d'occupation maliennes,Le Camp Militaire Amachach de Tessalit libéré par Le MNLA





Le Camp Militaire Amachach de Tessalit libéré

Après  un mois de contrôle du camp militaire par nos combattants, et de rudes combats autour de Tessalit, ayant mis en déroute tous les renforts de l'armée malienne, et apres expiration du dernier appel aux militaires maliens pour se rendre et sauver leurs vies, ce jour samedi 10 Mars 2012, l’Etat Major du MNLA a donné l’assaut final en début de soirée pour libérer le camp d’Amachach  cerner par le MNLA depuis plusieurs semaines.
Cette base stratégique et l’Aéroport International de Tessalit sont sous le contrôle du Mouvement National de Libération de l’Azawad, qui a saisi un important arsenal militaire (blindés, camions de transport de troupes, armes lourdes et légères etc.).
Le bilan détaillé de cette prise déterminante sera communiqué ultérieurement .
Bakaye Ag Hamed Ahamed
Chargé de Communication, Informations et relais avec les Médias

samedi 10 mars 2012

Akli D - Malik





Le Président Malien pris en flagrant délit de mensonge





Ajoutée par  le  2 mars 2012
Le Président Malien pris en flagrant délit de mensonge
... comme à son habitude ...
Dimanche 26 Février 2012 sur RFI avec Alain Foka

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L'indépendance de l'Azawad c'est aussi la sécurité du monde face à l'émergence progressive de AQMI




par Ag Saad Mohamed Lamine, samedi 10 mars 2012, 19:00 ·


L'indépendance réclamée par le peuple  de l'Azawad à travers le mouvement politico-militaire MNLA, en dépit de l'inspiration de sa légitimité juridique du droit international, est et demeure aussi le seul moyen de briser le renforcement progressif d'AQMI.
Cette indépendance de l'Azawad est aussi la sécurité de Washington, de New York, de Berlin, de Paris, d'Alger et de tous ceux que AQMI prend ou pourrait prendre pour cible dans le monde.

Ce conflit vieux de plus de 50 années et qui a couramment porté le nom de "rébellion touareg",  prouve au monde que le fond du dossier ne résulte en faite que de la "délimitation des frontière par la France au moment les indépendances africaines".
Durant les deux premiers régimes du Mali indépendant, la répression et les plans divisions ethniques fut les méthodes utilisées par le pouvoir central de Bamako pour anéantir les révoltes. 
Des accords dont le pacte national  de 1992 signés à l'occasion à Tamaraset ne furent jamais respectées par Bamako.
Depuis près d'une quinzaine d'années,profitant de la vulnérabilité des populations à la base, le plan malien fut de permettre à des groupes extrémistes et de banditisme inter-frontaliers de s'installer et de se développer dans l'Azawad.
Cela dans l'objectif escompté de permettre un amalgame progressif de la population autochtone avec ce qui finira par constituer "un des ennemis communs du monde".

Des experts des mondes africains, spécialises du terrorisme dans l'espace sahélo-saharienne n'ont depuis quelques temps manqués dans leurs analyses, de faire d'une façon ou d'une autre état d'un lien de complicité entre le pouvoir de Bamako et AQMI.
Des responsables français s'exaspèrent de voir le gouvernement local, selon une bonne source, "au mieux passif, sinon complice" face à la présence des katiba dans une partie du pays.Des interceptions de communications ont montré que certains officiers maliens échangeaient par téléphone portable avec des interlocuteurs d'AQMI. Une manière d'éviter la confrontation, mais aussi, parfois, de fixer certains arrangements concernant la circulation de trafiquants sur des routes discrètes, qui montent vers le nord, en direction de l'Algérie et "où l'armée évite absolument de se trouver", assure la même source.
Ahmadou Ould Abdallah, ancien représentant des Nations unies en Somalie et actuel directeur du C4S (Centre pour les stratégies pour la sécurité Sahel Sahara), ose le rapprochement entre trafics et liberté d'action d'AQMI : "Il n'y aurait pas d'AQMI dans la région sans complicités avec les services de renseignement et de sécurité, et avec des responsables des douanes." Ces complicités s'étendraient au plus haut niveau au Mali. A Gao, dans le nord du pays, un quartier où s'érigeaient de luxueuses villas a été surnommé... "Cocaïne City".
Cette relative liberté de mouvement dont bénéficie AQMI dans le nord du Mali est bien douteuse. Le président malien, Amadou Toumani Touré (ATT), a toujours considéré que la "guerre" d'AQMI n'était pas la sienne.

Pourquoi et comment ce même Mali se donne t-il maintenant et à tout prix les moyens possible pour combattre le MNLA ?
Ou était donc cet arsenal de guerre qui ne sort que lorsqu'il s'agit de combattre un peuple qui revendique légitimement sa liberté?

Un peuple qui déclare son "rend-bols" au double jeu du pays qui l'instrumentalise depuis des décennies pour des fins purement criminelles ou politiques.
Pourquoi fallait-il entendre les ripostes du MNLA contre son armée pour que le Mali décide de faire figure d'ennemi d'Al-Qaida, susceptible d'être frappé par des attentats?

Le Mouvement National de Libération de l'Azawad (MNLA) a longtemps  déclaré au monde son rejet catégorique d'AQMI, accusant ce mouvement extremiste de complicité avec Bamako dans son plan de mascarade contre les azawadiens.
Des proches du MNLA trouvent que le peuple de l'Azawad pour sa majorité musulman est traditionnellement contre les aspirations et les appels d'AQMI.
"Nous sommes un peuple d'islam modéré et qui respect la liberté de culte des autres, notre culture de bon voisinage et d'hospitalité est citée par tous les connaisseurs de notre peuple dans les différends écrits tant historiques que poétiques" déclare un des responsables de l’État major militaire du MNLA, non moins chef des opérations militaires de la zone de Gao. 

Permettre au peuple de l'Azawad de défendre son droit à l'indépendance est un devoir pour les nations civilisées. Des campagnes mensongères véhiculées par le Mali ne doivent empêcher aux puissances qui se disent gardiennes de la "liberté" dans le monde de investir de près pour savoir que l’État malien ment.
L’Algérie, pays longtemps vigilant au dossier reconnait que la grande responsabilité dans l’échec des accords conclus dans le passé  ne saurait être que celle de Bamako.
La France en tant qu'ancienne métropole de toute la zone doit reconnaitre qu'il est temps pour elle de reprendre le dossier en main enfin de corriger sa responsabilité historique dans sa fixation des frontières.
C'est aussi le devoir à la communauté internationale de se prononcer sur ce qu'elle prétend le plus garantir au monde "la liberté".
Cette revendication claire et précise d'auto-détermination  des azawadiens est garantie par des lois et traités internationaux ratifiés par le Mali.
Cette partie de la bande sahélo-saharienne refuge d'AQMI à travers le gouvernement de Bamako et complices à besoin d'une auto-gestion par son peuple autochtone pour que l'ordre s'y installe pour de vrai et de façon durable.
Couper ce "pont libre" de transit pour AQMI, c'est lui marché directement dessus, c'est casser sa liberté de transit; c'est anéantir sa facilité de relais.
La naissance depuis quelque temps de ce qui porte désormais le nom "d'ALQAIDA en Afrique de l'Ouest " doit inquiéter le monde. Plus particulièrement le monde cible premier d'AQAIDA, dont les citoyens font l'objet de prise d'otage, de moyen de chantage, d'enrichissement pour l'émergence de cette criminalité.

C"est le moment pour beaucoup d'autres puissances occidentales de faire le choix entre des miettes d’intérêts économiques à sauvegarder avec le Mali ou celui de briser la "colonne vertébrale" d'un mal commun qui risque de devenir invulnérable au choc dans quelque années.

Apporter une aide ou un soutien ou même une simple neutralité qui ne saurait qu’être légitime au peuple de l'Azawad dans sa lutte pour l'indépendance en ce moment opportun de son histoire; c'est protéger le monde contre un extrémisme qui profite encore des peuples fragilisés par l'histoire et par leurs gouvernants dans le but se se faire des hommes de luttes pour intérêts encore moins religieux.

"C'est pas un chantage ou une exigence à l'encontre des autres mais juste pour dire direct ou se faire comprendre que; l'indépendance de l'Azawad c'est aussi quelque part la sécurité de Madrid, de Johannesburg, de washington, de Paris...

Limite géogrphique de l'Azawad revendiquée par le MNLA et la présence d'AQMI dans la zone

une manière de provoquer les Occidentaux ,le president malien amadou va voir son "copain"mamadou jihad d'iran pour lui fournir des missiles d'avions contre les Touaregs de l'Azawad!


http://maliactu.net/2012/mali-iran-le-president-ahmadi-nejad-recoit-lenvoye-special-du-president-de-la-republique-du-mali.html

Mali – Iran : Le président Ahmadi Nejad reçoit l’envoyé spécial du président de la République du Mal
maliactu.net
En évoquant les potentiels des pays africains et le rôle considérable de l’Afrique unie et indépendante dans les affaires internationales, le président Ahmadi Nejad déclare : les pays hégémons et arrogants ne supportent pas une Afrique unie et forte.





Mali – Iran : Le président Ahmadi Nejad reçoit l’envoyé spécial du président de la République du Mal

maliactu.net


En évoquant les potentiels des pays africains et le rôle considérable de l’Afrique unie et indépendante dans les affaires internationales, le président Ahmadi Nejad déclare : les pays hégémons et arrogants ne supportent pas une Afrique unie et forte.

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