En annexe 2 du rapport d'Amnesty International sur le Mali figure la liste des militaires portés disparus au lendemain du contre-coup d'Etat du 30 avril 2012. Ils sont au nombre de 21.
C'est l'affaire pour laquelle le général Sanogo est actuellement aux arrêts. Dans le même document de 47 pages, on retrouve également une liste de neuf autres personnes arrêtées, selon Amnesty International, par l'armée malienne, et dont on n'a plus de nouvelles.
Pour tous ces cas de disparition, la prestigieuse structure internationale de défense des droits de l'homme demande qu'une enquête minutieuse soit faite. Et qu'en cas de crime commis, les auteurs soient traduits devant les tribunaux.
Violations des droits de l'homme au sud ; violations des droits de l'homme au nord du Mali également. Amnesty fustige les exactions perpétrées notamment par tous les groupes qui ont pris les armes : le MNLA, le Mujao, Aqmi, et d'autres.
L'ONG critique l’enrôlement d'enfants-soldats sur le sol malien. Certains sont actuellement détenus et doivent être libérés, martèle l'organisation. L’enquête minutieuse rendu publique porte sur deux ans. On y lit un message d’espoir : la possible renaissance malienne.
A noter néanmoins qu'au cours de leur conférence de presse, les responsables d'Amnesty International ont regretté de ne pas avoir été reçus par le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, malgré leur demande d'audience.
■ CONSULTER sur le site d'Amnesty International :
• L'article de présentation du rapport
• Le rapport, intitulé « Mali, agenda pour les droits humains » (pdf)
C'est l'affaire pour laquelle le général Sanogo est actuellement aux arrêts. Dans le même document de 47 pages, on retrouve également une liste de neuf autres personnes arrêtées, selon Amnesty International, par l'armée malienne, et dont on n'a plus de nouvelles.
Pour tous ces cas de disparition, la prestigieuse structure internationale de défense des droits de l'homme demande qu'une enquête minutieuse soit faite. Et qu'en cas de crime commis, les auteurs soient traduits devant les tribunaux.
Violations des droits de l'homme au sud ; violations des droits de l'homme au nord du Mali également. Amnesty fustige les exactions perpétrées notamment par tous les groupes qui ont pris les armes : le MNLA, le Mujao, Aqmi, et d'autres.
L'ONG critique l’enrôlement d'enfants-soldats sur le sol malien. Certains sont actuellement détenus et doivent être libérés, martèle l'organisation. L’enquête minutieuse rendu publique porte sur deux ans. On y lit un message d’espoir : la possible renaissance malienne.
A noter néanmoins qu'au cours de leur conférence de presse, les responsables d'Amnesty International ont regretté de ne pas avoir été reçus par le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, malgré leur demande d'audience.
■ CONSULTER sur le site d'Amnesty International :
• L'article de présentation du rapport
• Le rapport, intitulé « Mali, agenda pour les droits humains » (pdf)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire