dimanche 12 mai 2013

Le DRS prépare la succession de Bouteflika !

Le DRS prépare la succession de Bouteflika !

" Le DRS passe au scalpel les candidatures des successeurs potentiels de Bouteflika. Le plan B est en marche. (...)
" le général Mohamed Mediène -chef du DRS- secondé par le général Bachir Tartag, multiplie les réunions avec les principaux généraux de l’armée afin d’éplucher les CV des candidats. Les noms d’Abdelaziz Belkhadem et de Mohamed Ouyahya ont été rapidement écartés à cause de leur impopularité et aussi de leur manque d’aura à l’international. Ahmed Benbitour et Ali Benflis ne semblent pas bénéficier d’un préjugé favorable, même s’ils sont tout de même gardés en réserve. (...). Reste donc la génération des historiques élevés au sein du FLN et qui avaient affronté  Abdelaziz Bouteflika en 1999 avant de se retirer à la veille du scrutin.
Le premier d’entre eux est Ahmed Taleb Ibrahimi. Il présente l’avantage d’avoir une sensibilité arabo-islamique très prononcée qui est dans l’air du temps. Cela dit, il a l’inconvénient de l’âge – 81 ans-  (...). L’autre figure qui serait dans les petits papiers du DRS, est Mouloud Hamrouch. (...). Cependant, celui qui a dégommé le général Betchine de la Sécurité Militaire en 1990 quand il était premier ministre, fait peur. Comme c’est l’un des rares survivants ayant travaillé intimement avec Houari Boumediene, il serait tenté de devenir « l’homme fort » du régime. Ce qu’aujourd’hui les hommes influents qui gèrent l’Algérie d’une manière collégiale n’accepteraient sûrement pas. Cependant, il pourrait être une  carte transitoire pour le régime en préparation des élections présidentielles de 2019.
Le nom de Lakhdar Brahimi est lui aussi examiné. Le diplomate chevronné, âgé de 79 ans, connaît très peu l’Algérie et y dispose également de peu de relais, ce qui peut constituer paradoxalement un avantage. Cela dit, connu pour être « l’homme des Américains », sa candidature ne peut être validée par le DRS que si elle intervient dans le cadre d’un « marché de dupes » entre Alger et Washington. "

Source: http://www.maghreb-intelligence.com/les-editos/3278-exclusif-le-drs-passe-au-scalpel-les-candidatures-des-successeurs-potentiels-de-bouteflika-le-plan-b-est-en-marche.htmlLe DRS prépare la succession de Bouteflika !

" Le DRS passe au scalpel les candidatures des successeurs potentiels de Bouteflika. Le plan B est en marche. (...)
" le général Mohamed Mediène -chef du DRS- secondé par le général Bachir Tartag, multiplie les réunions avec les principaux généraux de l’armée afin d’éplucher les CV des candidats. Les noms d’Abdelaziz Belkhadem et de Mohamed Ouyahya ont été rapidement écartés à cause de leur impopularité et aussi de leur manque d’aura à l’international. Ahmed Benbitour et Ali Benflis ne semblent pas bénéficier d’un préjugé favorable, même s’ils sont tout de même gardés en réserve. (...). Reste donc la génération des historiques élevés au sein du FLN et qui avaient affronté Abdelaziz Bouteflika en 1999 avant de se retirer à la veille du scrutin.
Le premier d’entre eux est Ahmed Taleb Ibrahimi. Il présente l’avantage d’avoir une sensibilité arabo-islamique très prononcée qui est dans l’air du temps. Cela dit, il a l’inconvénient de l’âge – 81 ans- (...). L’autre figure qui serait dans les petits papiers du DRS, est Mouloud Hamrouch. (...). Cependant, celui qui a dégommé le général Betchine de la Sécurité Militaire en 1990 quand il était premier ministre, fait peur. Comme c’est l’un des rares survivants ayant travaillé intimement avec Houari Boumediene, il serait tenté de devenir « l’homme fort » du régime. Ce qu’aujourd’hui les hommes influents qui gèrent l’Algérie d’une manière collégiale n’accepteraient sûrement pas. Cependant, il pourrait être une carte transitoire pour le régime en préparation des élections présidentielles de 2019.
Le nom de Lakhdar Brahimi est lui aussi examiné. Le diplomate chevronné, âgé de 79 ans, connaît très peu l’Algérie et y dispose également de peu de relais, ce qui peut constituer paradoxalement un avantage. Cela dit, connu pour être « l’homme des Américains », sa candidature ne peut être validée par le DRS que si elle intervient dans le cadre d’un « marché de dupes » entre Alger et Washington. "

Source: http://www.maghreb-intelligence.com/les-editos/3278-exclusif-le-drs-passe-au-scalpel-les-candidatures-des-successeurs-potentiels-de-bouteflika-le-plan-b-est-en-marche.html
 
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