dimanche 31 juillet 2016

Selon les traditions orales des Kel Adagh, l'ancêtre fondateur des Imadadaghen est In Tasawalt dont le tombeau se trouve à Taghlit. In Tasawalt serait le descendant d'Aitta, au même titre que les Ifoghas.

Almou Ag Mohamed
5 hrs
L'anthroponymie Imadadaghen provient du toponyme Adagh, autrement dit ceux de l'Adagh, Kel Adagh. L'Adagh serait le point de départ du groupe des Imadadaghen avant leur installation dans le Gourma actuel.
Selon les traditions orales des Kel Adagh, l'ancêtre fondateur des Imadadaghen est In Tasawalt dont le tombeau se trouve à Taghlit.
In Tasawalt serait le descendant d'Aitta, au même titre que les Ifoghas.
Dida Badi.
Archéologue.

L'éducation en milieu nomade, voici le défi à relevé très cher CMA/Plateforme et non privé ces enfants de toute discipline et moralité. À bon entendeur salut.

Rhissa Ag Mohamed
8 hrs
L'éducation en milieu nomade, voici le défi à relevé très cher CMA/Plateforme et non privé ces enfants de toute discipline et moralité. À bon entendeur salut. 
‪#‎TarGui‬

‪#‎Urgent‬ Communiqué du GATIA

Journaldumali.com - Officiel
20 hrs
‪#‎Urgent‬
Communiqué du GATIA
Le GATIA informe l’opinion publique nationale et internationale et l’Algérie en tant que chef de file de la médiation, qu’il s’est impliqué avec une réelle volonté dans la normalisation des relations entre les communautés et entre les mouvements depuis la signature des différents accords d’Annefis en septembre et octobre 2015.
Le GATIA constate avec un grand regret que certains responsables du HCUA qui sont de très mauvaise fois n’ont pas cessé de détériorer cette bienheureuse décrispation. Le HCUA qui tente de réduire la CMA à ses objectifs inavouables à tout mis en œuvre pour empêcher les acquis du processus d’Annefis, notamment la libre circulation des personnes et des biens. Il est de notoriété publique que le HCUA tout fait pour empêcher la réconciliation entre les Idnanes et les Arabes par le blocage du déverrouillage du village d’Inhalid aux arabes, espérant ainsi entretenir le conflit Arabes-idnanes pour en tirer de sordides profits. Dans la même logique, les responsables du HCUA n’ont pas souhaité la réconciliation IDNANE-Imghads qu’ils voulaient torpiller.
Les responsables du HCUA de Kidal n’ont jamais accepté l’ouverture de la région aux mouvements et aux communautés qu’ils ne dominent pas, c’est ainsi qu’ils se sont constamment opposés aux mouvements du GATIA à Kidal, Inhalid, Tinzawatene, etc. Le HCUA, dont l’agenda est bien connu, s’évertue à garder la région de Kidal dans une espèce d’autarcie taillée sur mesure. C’est ainsi qu’il monopolise tous les organes chargés de la gestion de la ville, les autres mouvements n’étant que des faire-valoir ; dans ce contexte, on comprend bien que le HCUA très accapareur s’oppose à l’arrivée à Kidal du GATIA réfractaire à toute forme d’embrigadement.
Le GATIA précise que la crise actuelle de Kidal tire ses origines du conflit intercommunautaire qui oppose les Imghads et les Ifoghas que ces derniers tentent de nier en public, empêchant sa prise en charge dans toutes les discussions.
Le GATIA constate avec regrets toutes les manœuvres déployées par certains responsables Ifoghas, qui, au lieu de reconnaitre la réalité de la crise et s’engager à lui trouver une solution juste et équitable, tentent d’étendre ce conflit à certaines communautés de la région de Kidal, elles-mêmes victimes de leurs activités prédatrices.
Le GATIA informe l’opinion nationale et internationale de sa disponibilité à tout mettre en œuvre pour trouver une solution juste et équitable à la crise.
Appelle le gouvernement de la République du Mali, les pays voisins et amis, la MINUSMA et Barkhane à s’impliquer dans la résolution de la crise intercommunautaire Imghads-Ifoghas sur la base des principes d’équité et de démocratie.
Le GATIA réaffirme son attachement à l’Accord de Paix et Réconciliation au Mali issu du Processus d’Alger, à la Déclaration d’entente de Niamey et à tous ses autres engagements.
Le GATIA, conscient de la justesse de sa cause, réaffirme qu’aucun sacrifice ne le déviera de son combat qui se poursuivra jusqu’à la résolution juste et équitable de la crise.
Bamako, le 30 juillet 2016
Fahad Ag Almahmoud

Interview Adjoint Commandant du Secteur Nord KIDAL

Bilan Aujourd'hui: 02 véhicules brules 17 prise et 35 prisonniers et beaucoup de morts côté Gatia, et leur allier MAA ils viennent de fuir ils sont poursuivie

Coalition du Peuple pour l’Azawad added 3 new photos.
Bilan Aujourd'hui:
02 véhicules brules 17 prise et 35 prisonniers et beaucoup de morts côté Gatia, et leur allier MAA ils viennent de fuir ils sont poursuivie

La CMA comme le GATIA sont composés de filles et fils de TOOMUST(en voie d'edification).Toomust englobe n importe quel touareg-Amazigh du Maghreb au Sahara jusqu'au Sahel et ses diasporas

En hommage à tous nos frères et soeurs de KidalAzawad qui meurent par la faute de certains leaders instrumentalisés par des interêts mesquins et egoïstes. La CMA comme le GATIA sont composés de filles et fils de TOOMUST(en voie d'edification).Toomust englobe n importe quel touareg-Amazigh du Maghreb au Sahara jusqu'au Sahel et ses diasporas.Toomust c'est tous les Kel Tamasheq independamment de leurs appartenances idéologiques ou partisanes. toomust c 'est l'ensemble du monde Amazigh de l'Algérie, la Libye, la Mauritanie, le Maroc, la Tunisie, l'egypte, le soudan, le Niger, le Mali, le Sahara, et l'azawad.Elle se resume pas à ceux qui font de la politique ou de l'opposition armée ou des revolutions, encore moins aux intellectuels francophones, anglophones, arabophones, amazighophones, ou Bambaraphones..mais aussi à l'ensemble des couches sociales actives dans leurs espaces à travers leurs droits et devoirs. La triste guerre de Kidal est et reste avant tout une course de positionnement géostratégique au sein d'une même famille²qui intervient dans un contexte d'accords signés en Trilogie : Bamako, Cma, Gatia. La condamner ou l'encourager n'est plus à l'ordre du jour, sauf pour l'enemi des deux camps qui se frotte les mains. Le temps est plus pour une recherche de solution concréte et definitive en encourageant les belligerants à se retrouver à Niamey à nouveau pour relancer les accords decidés sous la médiation nigerienne. L'accord prevoyait un partage équitable de ressource et du pouvoir politique et securitaire au niveau des régions de l'azawad. Toomust est federatrice de plusieurs forces centrifuges qui doivent aider pour son Unité. C'est l'enjeu du présent. Car, une fois de plus, c'est Toomust qui enterera ses morts dans l'indifference médiatique et le silence saharien...Les victimes seraient classées dans la rubrique "realpolitik" et "dommages collateraux"...Ainsi vont les choses, loin des caméras et proches des sentinelles des multinationales que sont la Minusma et Barkhane.Pendant ce temps les belligerents belliqueux jouent aux idiots utiles d'une géopolitique qui les depassent et les écrasent sans distinction. Mafal?
Imarhan N'tinezraf LAILAHA ILLA LLAH 2016
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Mouvement Démocratique pour le Renouveau - MDR-Tarna added 3 new photos.
Le président du MDR Tarna, Dr Adal Rhoubeid, rencontrant la diaspora nigérienne a Caen (Normandie), France

Agadez, la contrebandière du Sahara

Au nord du Niger, Agadez, depuis toujours, est le carrefour de toutes les routes commerciales et contrebandières. A la porte du Sahara, la belle endormie accueille, depuis toujours, des caravaniers descendant du Nord avec des dattes ou du sel et des marchands venus du Sud avec de la cola, des esclaves. Aujourd'hui, les touristes fuient la ville qui n'est pas sure, mais les contrebandiers sont maitres chez eux
http://www.mondafrique.com/carnet-de-route-agadez-la-contrebandiere-du-sahara-viii/
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Le ciel d’Agadez est plombé, poussiéreux, opaque.  Et chaud bien sûr. La pluie menace mais ne vient pas. Les routes, larges, sont vides de 11h00 à 16h00. On fait la sieste à l’intérieur des bâtiments. La nuit, les discussions, la télévision et la musique font le tour de la ville, tandis que chacun profite de la fraîcheur du soir. Dormant sous les étoiles, comme il se doit en milieu nomade où la maison sert surtout de garde-meuble.
“Money, money”
En ville, en ces premiers jours du mois d’août, voici  la dernière histoire qui fait peur: un jeune homme s’est fait attaquer récemment par deux hommes noirs, parlant anglais, criant « money, money ». Il a dit qu’il n’avait pas d’argent et les hommes se sont jetés sur lui, à la faveur de l’obscurité. Ils lui ont arraché ses vêtements et ont commencé … à le manger, tels des zombies, arrachant de leurs dents des pans de sa chair, à la poitrine et sur les épaules. Le jeune homme a été sauvé par l’arrivée d’un véhicule.La vérité, c’est que le jeune homme a échappé de peu à un viol. Ses agresseurs ont entrepris de lui ôter ses vêtements et il a été mordu dans le feu de la bagarre. Mais à Agadez, un viol homosexuel est chose encore plus difficile à imaginer qu’une attaque de zombies.« Tout est possible à Agadez. Il y a de tout », confie une habitante, inquiète de ces dangers étrangers…
Agadez, depuis toujours, est le carrefour de toutes les routes commerciales et contrebandières. Au tournant du dbut du XVIeme siècle, Askia Mohamed Touré, le puissant empereur de Gao, s’attarde à Agadez sur la route de la Mecque, comme le font d’autres pèlerins avant et après lui. Avec la chute de l’empire songhaï, l’axe Ouest s’éteint progressivement tandis que le commerce venu du pays haussa, plein sud, bat son plein : céréales, esclaves, artisanat, contribuant au développement de la ville au XVIe siècle. La grande mosquée de terre crue d’Agadez, typique des constructions soudanaises, s’élève  au tournant des années 1510.La légende raconte que pour tenter de dépasser leurs  incessantes querelles, les Touaregs décidèrent de se donner un sultan étranger, noir de teint. Mais ce dernier ne régnait que partiellement sur un vaste territoire souvent contrôlé par des chefs de tribus.
Contrebante toute
Aux XVIIIe et XIXe siècles, les batailles entre tribus font rage. Beaucoup de Touaregs fuient la région, vers l’Ouest ou vers le Sud. A la veille de la colonisation, les explorateurs qui la découvrent décrivent une ville éteinte, en partie détruite et abandonnée. Aujourd’hui, Agadez se développe, comme tout le Niger, à grande vitesse. Le désert tout autour de la ville ancienne se construit de bâtisses ocre, se confondant avec les routes et l’horizon. Parmi elles, des villas de rêve, à étage, avec colonnes et décoration improbable : les palais des trafiquants.
Car la contrebande bat toujours son plein, malgré ou à cause de la crise sécuritaire qui a, depuis longtemps, eu raison du tourisme. Les plus visibles, à part les maisons de luxe, ce sont les pick up Hilux blancs tout neufs, volés en Libye, et dotés discrètement de cartes grises nigériennes avant d’être vendus une dizaine de millions de francs CFA. Il y a quelques années, on croisait aussi pas mal de Honda venues d’Algérie, mais c’était avant la fermeture de la frontière.  Il y a deux ans, les voitures sans plaques pullulaient mais elles ont disparu ces derniers mois.
Le deuxième trafic très visible, ce sont les migrants. Ces fameux zombies ghanéens ou nigérians qui font peur aux braves gens. Ils vivent dans des « ghettos » bien organisés et financent toute une économie sous-terraine. En échange d’un forfait dont le montant varie avec les contrôles, le migrant venu de la côte est nourri, logé puis transporté à la frontière libyenne. Là-bas, une autre aventure commence, plus risquée encore, pour les candidats à l’immigration clandestine exposés au racket, à l’extorsion de fonds et aux violences.D’autres choisissent l’Algérie, plus à l’Ouest. Ceux-ci partent d’Arlit, tout près. Ils empruntent les voitures et les pistes des fraudeurs.
Trafic de “moutons” 
Ce business ne se paye pas d’humanité ou de droits de l’Homme. Il est fréquent que les chauffeurs abandonnent leurs passagers dans le désert, à la faveur d’une panne ou d’un contrôle. Non sans les avoir délestés préalablement de tout leur argent. Localement d’ailleurs, on surnomme les migrants des « moutons ».
92 migrants, en majorité des femmes et des enfants venus de la région de Zinder, au sud du pays, sont morts de soif début octobre dernier en se rendant à Tamanrasset pour y chercher fortune dans la mendicité. Suite à l’expression de l’émotion internationale, les autorités ont décrété trois jours de deuil national, arrêté quelques intermédiaires, fermé temporairement les ghettos et remplacé les policiers d’Agadez. Heureusement pour le commerce, tout est rentré dans l’ordre depuis. Mais, pour éviter les contrôles, les « moutons » empruntent des routes plus discrètes et, bien sûr, payent plus cher qu’avant.
La cocaïne reine 
La cocaïne, à l’origine des réussites les plus spectaculaires, est plus discrète qu’avant Serval. La route du nord Mali est coupée, dit-on, par les militaires français. Désormais, elle remonte du Nigeria, tout droit, pour poursuivre ensuite son trajet vers le Nord-Est : Libye, Egypte. Depuis l’arrivée de la cocaïne d’Amérique latine, il y a six ou sept ans, certains habitants, et pas les mieux réputés, ont construit des fortunes immenses. Ils sèment la corruption, un peu partout, y compris dans les rangs des forces de sécurité et des cadres de commandement, invités à ne pas trop fouiller les véhicules.
Le haschisch, lui, c’est l’ancêtre de toutes les routes modernes, le père de la transaharienne ralliant l’Atlantique à l’Egypte. C’est au volant des camions de haschich que beaucoup de jeunes bandits ont appris à conduire et à se repérer sur les pistes des fraudeurs, bien avant l’invention du GPS et du djihadisme au Maghreb.
Lors d’une grande manifestation d’éleveurs de la région nord, la cure salée, il y a deux ans, un douanier et un trafiquant touareg se sont affrontés à coups de billets de banque devant un public amusé et séduit. Métaphore parfaite de la vie clandestine de la ville.
En ce début août, la cocaïne, le haschisch, les migrants et les voitures font pâle figure à côté du nouveau délice d’Agadez : la ruée vers l’or du Djado, à plus de 700 km au nord-est, en plein désert. Restaurateurs, anciens rebelles, élus, militaires, fils de dignitaires étrangers : l’or du Djado brille dans leurs yeux. C’est le nouveau commerce d’Agadez

Mali : Nina Wallet Intalou, la Touarègue et les scorpions

Au Mali, cette figure du MNLA a été nommée ministre de l’Artisanat et du Tourisme. Dans les milieux les plus nationalistes, ce choix du président IBK n’est que modérément apprécié…
«Apatride », « incompétente », « sans diplôme ». Depuis que Nina Wallet Intalou a été nommée ministre de l’Artisanat et du Tourisme, le 7 juillet, les insultes diffamatoires – voire franchement racistes – fusent dans la presse malienne. C’est dire l’ire que suscite chez certains la nomination de celle que Tiébilé Dramé, président du Parti pour la renaissance nationale (Parena), était allé jusqu’à considérer, en 2012, comme « l’homme fort » du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA).
La cause touareg à coeur
Il est vrai que, sur le papier, le profil de la ministre, née en 1963 à Kidal et toujours présidente des femmes du MNLA, a tout pour déplaire dans les milieux bamakois les plus nationalistes. Certains n’ont pas oublié sa déclaration polémique au plus fort de la crise malienne, en avril 2012, alors qu’elle était en exil à Nouakchott : « Nous voulons notre indépendance ou une fédération avec un référendum dans cinq ou dix ans, pas l’autonomie. Ce serait revenir en arrière, et nous sommes fatigués. »
Mais face à l’adversité, cette femme de caractère originaire de la très respectée tribu des Idnane est revenue à plus de retenue, sans doute héritée de sa jeunesse saharienne. « Mon père m’a appris à ne pas avoir peur des scorpions, mais au contraire à les affronter sans les tuer, confie-t-elle en riant. Je suis malienne et, en étant au gouvernement, je vais pouvoir davantage œuvrer pour la paix. Ce ministère est très important car il est vecteur d’emploi et de création de richesses. C’est le meilleur rempart contre le fanatisme. »
« Cavalier seul »
En imposant personnellement une femme engagée dans la cause touarègue, le président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) a d’abord voulu garantir un équilibre ­politico-ethnique au sein du gouvernement, tout en calmant l’impatience des cadres de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) face aux lenteurs de la mise en place de l’accord d’Alger du 20 juin 2015. « C’est une bonne décision… pour elle, minimise cependant Hama Ag Sid Ahmed, représentant du MNLA en France. Elle n’a pas prévenu les cadres de notre mouvement, elle fait cavalier seul. On prend acte, mais on est déçu. »
En effet, Nina Wallet Intalou semble avoir pris ses distances vis-à-vis de la sphère indépendantiste depuis qu’elle a accepté, en octobre 2015, de devenir vice-présidente de la commission Vérité, Justice et Réconciliation mise en place par les autorités. « J’ai toujours eu beaucoup d’estime et de respect pour IBK, car c’est quelqu’un qui a des convictions et qui tient parole », argue-t-elle.
La fierté et la liberté sont les piliers de notre culture
Ce caractère solitaire, pugnace et légèrement ambitieux ne date pas d’hier. En 1984, la fille de l’infirmier-major de la gendarmerie de Kidal part étudier chez une cousine en Côte d’Ivoire. Elle y épouse un neveu de Félix Houphouët-Boigny – avec qui elle aura trois enfants – et, à 26 ans, fonde une société de construction et d’assainissement. Puis elle divorce et revient au Mali pour se lancer en politique. Élue maire de Kidal en 1999, elle est aussitôt écartée de ses fonctions par les plus religieux.
Depuis, farouchement anti-islamiste, elle s’était peu à peu imposée comme l’un des principaux porte-drapeaux du MNLA. « La fierté et la liberté sont les piliers de notre culture », revendique-t-elle. À l’image de cette photo de profil sur Google+, où on la voit poser dans le désert à côté d’un dromadaire, Nina Wallet Intalou compte bien profiter de ses nouvelles fonctions pour porter haut les couleurs touarègues

samedi 30 juillet 2016

#IyadGamou et si la paix n'est #POSSIBLE que sans EUX dans l' #AZAWADMALI?

  1. et si la paix n'est que sans EUX dans l' ?
  2. -Azawad: 2) further claims the killing of 3 & wounding 5 others amid destroying 3 CMA vehicles
  3. :Affrontement en cours entre CMA et Plateforme à Tassik au sud de depuis ce matin.Source locale.
  4. : Combats entre et : pris par la . Bilan CMA plusieurs blessés..combats continuent
  5. Libye : le chef de guerre Barka Wardougou vaincu par la maladie -