mercredi 19 juin 2013

Attentats terroristes à Agadez chronique d’un Jeudi noir

Attentats terroristes à Agadez chronique d’un Jeudi noir

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Une aurore de sang et des larmes.
Le calme revient petit à petit sur Agadez, la cité de l’Aïr et la ville d’Arlit, endeuillées par deux attentats terroristes simultanés le jeudi 23 mai 2013 aux environs de 5 h du matin.


L’attentat d’Agadez a causé la perte de 24 militaires dont un camerounais répondant au nom de Atteba Obara Marcisse et des dégâts matériels importants. Au finish, à Agadez huit terroristes ont été tués, sept armes de type AK47 dont une de marque 103-2 récupérées, trois ceintures d’explosifs fabriquées avec des grenades défensives et des charges de clous et mortiers de calibre 60 mm ont été aussi saisies. Un téléphone cabossé appartenant à l’un des terroristes et contenant un numéro orange a été trouvé sur le lieu. De même qu’une lettre dont Aïr Info s’est procuré copie a été également trouvée sur place.
A Arlit, on déplore la mort d’un ouvrier soustraitant de la Somaïr et d’importants dégâts matériels sur les installations de la société Somaïr. Deux terroristes ont trouvé la mort dans cette opération kamikaze. D’après nos sources, aucun indice probant n’a été trouvé par les enquêteurs sur place sauf le numéro du châssis du véhicule utilisé par les terroristes qui servira certainement comme celui du véhicule de la garnison d’Agadez à remonter la piste du ou des propriétaires. L’attentat d’Agadez restera longtemps gravé dans la mémoire des habitants de l’Aïr. Pour Akly Salihou, ce jour-là a été « le jeudi le plus long et le plus macabre de notre existence ».
«Un jeudi que nous ne voudrions plus jamais revivre», a til confié à Aïr Info. « Je n’oublierai jamais de ma vie cette journée ! J’ai tremblé des heures durant pensant que c’était la fin du monde. Je ne sais pas encore ce qui s’était réellement passé ! », confiait très apeurée Rabi Daré, une habitante d’Agadez, mère de sept enfants. Ce que ces deux habitants ignoraient, c’est que ce jeudi-là et le jour qui suivra, huit terroristes, la plupart des étrangers, s’étaient infiltrés dans la caserne militaire d’Agadez et ont tué 24 militaires nigériens. D’autres dans leur débandade pour chercher une position, D’autres, malades, dans leur dortoir d’élèves sous-officiers. Avec des balles pour certains et des explosifs pour d’autres.
En effet, le jeudi 23, il faisait encore sombre quand une énorme déflagration a retenti et a secoué toute la ville d’Agadez. Des familles entières du quartier Toudou accouraient vers le centre ville pour fuir les détonations et les balles qui sifflaient dans l’air. On entendait les pleurs à fendre l’âme d’enfants tétanisés par le vacarme. Aux cris de « On avance » des militaires répondaient des « Allahou Akbar » distincts des assaillants. Chose émouvante, dans le feu de l’action, des militaires venaient en courant de tous les coins de la ville d’Agadez pour porter assistance à leurs collègues attaqués. A la lumière du jour, le reporter d’Aïr Info arrivé sur place avec le Colonel-major Garba Maikido, Gouverneur d’Agadez, se rendra compte de l’horreur. Un véhicule 4x4 ou plutôt ce qui en restait jonchait les lieux du drame.
Des lambeaux de chair se mélangeaient au cambouis de l’huile moteur du véhicule du kamikaze. Plus loin, un bloc moteur qui semble intact trône au milieu de la scène. Tout autour, des restes humains, du sang et quelques traces de cervelle encore collée à un amas de chevelure. Tout autour, des toitures de bâtiments éraflés témoignent de la puissance de l’explosion. Du kamikaze, il ne restait que des lambeaux de chair à peine reconnaissables. Un cratère béant rempli d’eau mélangé à des matières huileuses donne l’emplacement exact de l’explosion du véhicule. Pendant plus de trente minutes, notre reporter va flâner sur les lieux du drame, ignorant totalement qu’à quelques dizaines de mètres, trois terroristes attendaient le moment propice pour frapper. Pour tuer encore comme si leur macabre boucherie ne les satisfaisait pas.
Mais ce moment propice, ils ne l’auront que le lendemain. C’est à dire le vendredi. Jour saint de l’islam. L’horreur va reprendre et déboucher sur la neutralisation des assaillants retranchés qui ont tué 23 militaires musulmans et ce au nom de l’islam . Oui, le vendredi, quand le dortoir des sous-officiers a été vidé des assaillants, on découvrit deux militaires morts en état de décomposition avancée. Ils ont été tués la veille sous leur lit par les balles des terroristes.
Qui a réellement tué le militaire Tchanga ?
Au cours de l’assaut du vendredi matin, un militaire nigérien répondant au nom de Tchanga est tué d’une balle dans la tête. Les circonstances de sa mort prêtent à plusieurs spéculations à Agadez. D’aucuns disent qu’il a été tué par une balle « amie », c’est à dire par un tir d’un sniper français parce que le militaire se serait pointé sans crier dans le champ de tir des forces spéciales. D’autres sources rapportent que Tchanga aurait été tué par un tir des assaillants. Vrai ou faux? L’histoire nous le dira.
Deux groupes ont revendiqué ces attaques.
Ce vendredi à neuf heures, Le Mujao et le groupe dit Les signataires par le sang ont revendiqué les attentats d’Agadez et d’Arlit pour fustiger disent-ils l’engagement des troupes nigériennes au nord Mali. On saura alors que le terroriste Belmoctar aurait supervisé lui-même les deux attaques. Même si d’après une source digne de foi, c’est son fils un certain Abdoulsalam Oussam, un jeune homme de dixhuit ans qui serait le planificateur du double attentat d’Agadez et d’Arlit. Il aurait dit-on passé par le Niger après la débâcle des jihadistes au nord Mali.
Comment ce drame a-t-il pu arriver ?
D’après nos sources, le service de renseignement a depuis plus d’une quinzaine de jours prévenu qui de droit de l’imminence d’une ou de plusieurs attaques terroristes à Agadez. Mais comble de malheur, rien n’a été fait pour y faire face. Et ce qui ne devait pas arriver arriva. En reconstituant et recoupant les faits des fois anodins mais chargés de sens, Aïr Info est arrivé à la thèse selon laquelle les assaillants ont eu tout le temps de peaufiner leur macabre complot sans y être inquiétés. Et pour preuves ! Ils ont pris leur puce orange portant le numéro 91186389 à Agadez. Ils ont émis plusieurs appels dont le premier fait le 15 mai à partir d’un quartier sis à l’est d’Agadez.
Ce qui explique qu’ils étaient à Agadez une semaine avant l’assaut. Ce même numéro a appelé plusieurs autres contacts tant à Agadez, qu’à l’étranger. Mais ce qui est révoltant, c’est le fait que ce même numéro ait appelé un autre contact orange notamment le N° 91186377 à 5H00, un contact qui se trouve à …..Akokan (Arlit). C'est-à-dire quelques minutes avant l’assaut simultané d’Agadez et d’Arlit. Les kamikazes d’Agadez ont échangé avec ceux d’Arlit pour la coordination de deux assauts. Bon Dieu ! Où étaient les drones ? Le système dit sophistiqué de surveillance des Occidentaux ?
D’après nos investigations, ce même numéro 91186389 a appelé d’autres contacts en Algérie et au Mali. Aucun numéro libyen comme le pense le politique nigérien n’a été appelé. Même s’il s’avère à en croire le président Issoufou qu’ils seraient venus de la Libye, ces assaillants n’ont établi aucun contact téléphonique avec ce pays voisin. D’autres faits vérifiés par Aïr Info attestent que ces assaillants étaient à Agadez depuis longtemps. Ils avaient eu le temps de comprendre tout le système sécuritaire d’Agadez. La veille de l’attaque par exemple, c'est-à-dire le 22 mai, un des kamikazes, celui qui parlait haousa, un bagobiri selon certaines sources, aurait été à plusieurs reprises dans l’enceinte de la compagnie et même ....prié à la mosquée de la caserne.
Pour tromper la vigilance, il portait un survêtement qui laisse croire qu’il est un militaire en transit vers son poste. Une autre source a confirmé à Aïr Info que la veille de l’attaque, un petit groupe de personnes étrangères à première vue s’étaient présentées aux habitants des taudis qui jouxtent l’aéroport d’Agadez. Elles ont alors procédé à une distribution de lait en boîte aux pauvres. Leur interprète, un jeune nigérien qui parle bien arabe, a alors soufflé à l’oreille d’une des habitantes que ces gens lui ont dit qu’ils vont brûler Agadez le lendemain. Pourquoi ni la femme ni le jeune homme n’ont informé de quelque manière que ça soit les forces de sécurité pourtant basées à quelques métres et qui sécurisent l’aéroport ?
Ils auraient eu peur de la réaction des militaires. Voilà un problème qui mérite d’être traité au plus vite à Agadez. Il faut que les rapports entre forces de défense et population se civilisent à Agadez. Si ces deux citoyens n’ont pas porté l’information, c’est à cause du climat de méfiance qui a toujours prévalu entre forces de défense et civils à Agadez.
L’enquête avance à grands pas.
A partir du numéro 91186389 retrouvé sur l’une des dépouilles des assaillants, plusieurs pistes ont été tracées. Des dizaines de contacts de part le monde. Idem pour la plaque d'immatriculation du véhicule 5654 RN8 qui a explosé à Agadez a permis de remonter au propriétaire. Il s’agit d’un nommé Haiballa Baba Ahmed qui a été interpellé. L’interessé, chef de garage dans une compagnie de transport de la place, aurait confirmé avoir acheté et revendu la voiture depuis 2004. Un autre homme répondant au nom de Moulaye Chérif a aussi été interpellé pour les causes de l’enquête grâce à ce numéro de téléphone. A Ingall, un autre présumé coupable a aussi été interpellé. Il s’agit de Sidi Zaydan. Mais la personne qui serait la clé de cette opération serait originaire de Tassara et se prénomme Adayna C. Elle est activement recherchée.
D’autres attaques kamikazes sont à craindre.
D’après certaines sources, d’autres jihadistes seraient encore présents à Agadez. Car après l’assaut de la garnison, quelques uns parmi eux ont pu prendre la fuite. Des habitants du quartier dit « Pays Bas » ont confirmé à Aïr Info avoir vu des hommes habillés en tenue militaire et qui ne parlant aucune langue du Niger demander apeurés qu’on leur donne des vêtements civils. Où est-ce qu’ils se terrent maintenant ? Qui sont leurs soutiens à Agadez ? Quelles seront leurs prochaines cibles ? Les mosquées ou les transports en commun ? Nul ne peut le prédire ! Mais la question la plus urgente est comment faire pour parer à toute éventualité ? C’est pourquoi les leaders de l’ex-rébellion touarègue, touboue et arabe s’étaient réunis autour de leurs élus régionaux et locaux pour sonner le tocsin.
« Il y a péril en la demeure et pour cela la mobilisation de tous est nécessaire », a dit en substance le communiqué de leur rencontre. D’ores et déjà, un comité a été désigné pour rencontrer le Président de la République et lui faire part de la franche disponibilité de ces populations à combattre le dangereux fléau qu’est le terrorisme. Ils savent tous que des précautions doivent être prises au plus vite et ce pas seulement par les forces militaires mais aussi par les citoyens d’Agadez. L’heure est grave ! La gangrène est déjà en nous, pour l’extirper, il faut du temps et aussi et surtout du tact.
Liste de victimes militaires tombeés lors des attentats :
- Adjudant-chef : Maman Sani
- sergent –chef : bachirou salifou
- sergent –chef : salifou boukané
- sergent : Issaka souleymane
- sergent : Mahamadou Nouredine
- sergent : Ousseini Kader
- Elève sous-officier 2ème Année : Halarou Djiboboubacar
- Elève sous-officier 2ème Année : Abdou Ousmane
- Elève sous-officier 2ème Année : Maman salifou
- Elève sous-officier 1ère Année : Atteba Obara Marcisse
- Elève sous-officier 1ère Année : Karimoune Djermakoye
- Caporal : Idé Hamani- 1ère classe : Alzouma Moussa
- 2ème classe : Issoufou Abdou souleymane
- 2ème classe : Ibrahim Moussa Midou
- 2ème classe bachir Ali- 2ème classe : Moussa Massali
- 2ème classe : Ali salifou boubakar
- 2ème classe : Abdoulaye seydou sinka
- 2ème classe Nassirou soumana Abarchi
- 2ème classe : Hassane Issoufou
- 2ème classe : rachid Idi
- 2ème classe : Abdoul rachid Hankaroua
- 2ème classe : Abdoul Aziz seini

mardi 18 juin 2013

L’accord de Ouagadougou entre Bamako et les rebelles touareg: Voici les principaux points de l’accord

L’accord de Ouagadougou entre Bamako et les rebelles touareg: Voici les principaux points de l’accord

Accord pouvoir/Touareg au Mali : Paris salue une "avancée majeure"http://www.malijet.com/actualite-politique-au-mali/flash-info/74420-accord-pouvoir-touareg-au-mali-paris-salue-une-avancee-majeure.

Négociations Touaregs-Etat malien: accord officiellement signé à Ouagadougou

MALI / BURKINA FASO - 
Article publié le : mardi 18 juin 2013 à 19:08 - Dernière modification le : mardi 18 juin 2013 à 19:13


Les leaders touaregs attendent le début des négociations, à Ouagadougou, le 7 juin 2013.
Les leaders touaregs attendent le début des négociations, à Ouagadougou, le 7 juin 2013.
AFP PHOTO / AHMED OUOBA

Par RFI
Après onze jours de négociations, les autorités de transition de Bamako et les groupes touaregs du nord ont paraphé ce mardi 18 juin un texte intitulé « Accord préliminaire à l'élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix au Mali ». Objectif : permettre un retour de l'Etat dans le nord, tout en considérant les revendications des groupes qui tiennent la zone.



L'objectif principal de cet accord est indiqué dès l'article premier : permettre l'organisation de l'élection présidentielle à Kidal et dans toutes les régions du nord. Pour y arriver, les deux camps acceptent, au sein d'une commission mixte, de travailler dès la signature du texte au retour de l'armée et de l'administration.
Le processus prévoit un cessez-le-feu immédiat, un cantonnement des combattants du nord du pays et un redéploiement des forces de sécurité du Mali dans la zone. Le tout sous l'encadrement de la Minusma et de la force française Serval, afin d'éviter le moindre débordement.
Dans un premier temps, la commission mixte pourrait décider du retour de gendarmes, de médecins mais surtout de membres de l'administration capables d'organiser l'élection présidentielle. Car le temps presse : le premier tour est toujours prévu le 28 juillet.
En contrepartie, les autorités de transition de Bamako s'engagent sur la seconde phase de l'accord. Soixante jours après son élection, le nouveau président du Mali aura la lourde tâche d'organiser des pourparlers de paix plus consistants, notamment pour définir le statut administratif de l'Azawad et les stratégies de développement de la zone.
Pour obliger les deux camps à tenir leurs engagements, l'ensemble de ce long processus qui s'engage sera encadré et suivi de près par les Nations unies.
TAGS: BURKINA FASO - DIONCOUNDA TRAORÉ - MALI - MNLA

#Bamako traine des pieds pr 1 accord avec les touaregs malgré l urgence d elections.Le chantage agace tt l'ONU,UE,UA et la France

traine des pieds pr 1 accord avec les touaregs malgré l urgence d elections.Le chantage agace tt l'ONU,UE,UA et la France.

Tant qu’il n’y a pas eu effusion de sang, ma lettre est morte...», a écrit l’un des terroristes tombés à Agadez

les enfants de l'Azawad refugier en #Mauritanie dans le camp de refugier de MBERE, on leurs mots a dire

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#Tchad |Makaila Nguebla : « Je suis indigné par le soutien de la France à Déby »

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Libye: Assassinat d'un juge - Le signe d'un Etat en décadence ..

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Niger - Al-Jazeera crew released after being held for three days http://

Niger - Al-Jazeera crew released after being held for three days

Niger# arrestations de 2 eleveurs à Arlit l'1 le 5/06/13,le 22em today a 9h o marché d'Arlit alors qu il rejoignait chez liu a tiguda#

Niger# arrestations de 2 eleveurs à Arlit l'1 le 5/06/13,le 22em today a 9h o marché d'Arlit alors qu il rejoignait chez liu a tiguda#

L'ordinateur le plus puissant du monde est chinois (33,86 millions de milliards de calculs par seconde, quand même)

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#Mali: l'accord sera signé cet après-midi avec les rebelles

: l'accord sera signé cet après-midi avec les rebelles

Enfin la signature d'un accord entre Touaregs et Etat malien à Ouagadougou?

MALI - 
Article publié le : mardi 18 juin 2013 à 01:20 - Dernière modification le : mardi 18 juin 2013 à 01:20

Enfin la signature d'un accord entre Touaregs et Etat malien à Ouagadougou?

Le président malien Dioncounda Traoré, le 16 janvier 2013 à Bamako.
Le président malien Dioncounda Traoré, le 16 janvier 2013 à Bamako.
AFP PHOTO /ERIC FEFERBERG

Par RFI
Les protagonistes maliens négocient le dernier virage sur la route d'un accord très attendu. La médiation burkinabè et les représentants de la communauté internationale sont à pied d'œuvre pour obtenir la signature des Touaregs et des autorités de Bamako. Elle pourrait être imminente.



Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ? L'ultime version de l'accord ? Selon nos informations, la présidence malienne, qui réclamait des modifications, a en partie obtenu gain de cause : le passage prévoyant un déploiement progressif des forces maliennes à Kidal dans les meilleurs délais devrait être remplacé par une expression plus ferme, un déploiement dès la signature de l'accord.
En revanche, la dernière partie du paragraphe, elle, demeure en l'état. Les premières unités maliennes déployées conjointement avec la Misma et la force française Serval s'effectuera sans délai. Pour la médiation et les représentants de la communauté internationale, qui suivent de très près les négociations à Ouagadougou, l'important c'est de conserver l'architecture de l'accord, qui prévoit plusieurs étapes (cantonnement des Touaregs du MNLA, déploiement de l'armée malienne avec la force neutre).
Ce processus a été conçu pour éviter le risque de confrontation violente à Kidal. Mardi 18 juin, peut-être irrités par « l'avalanche d'amendements » de la présidence malienne - ce sont les mots d'un diplomate -, Paris et Abidjan ont saisi leur téléphone pour s'entretenir avec Dioncounda Traoré et convaincre Bamako de ne plus formuler d'autres exigences, pour qu'enfin l'accord attendu par la communauté internationale puisse être signé dans les meilleurs délais.
Ces derniers jours, la médiation burkinabè, les représentants des Nations unies, de l'Union africaine, de l'Union européenne et de la Cédéao ne cachaient pas leur inquiétude. Ils se sont même déplacés à Bamako mercredi dernier pour s'entretenir pendant plus de sept heures avec la présidence malienne. « Nous pensions honnêtement, dit l'un d'entre eux, avoir donné satisfaction à toutes ses demandes. »
TAGS: BURKINA FASO - CÉDÉAO - DIONCOUNDA TRAORÉ - FRANCE - MALI - MNLA - ONU - UNION AFRICAINE - UNION EUROPÉENNE

lundi 17 juin 2013

le ministre de la comm du #Niger a fait une déclaration au CPJ sur l'équipe d'Al Jazeera

le ministre de la comm du a fait une déclaration au CPJ sur l'équipe d'Al Jazeera cc:

Le Monde en Face du 21 mai 2013 - Drones tueurs et guerres secrètes !

6.000 terroristes étrangers enterrés en Syrie dont :729 saoudiens 640 moudjahidines khalk (Opposition iranienne) 489 égyptiens 439 tchéchènes 435 libanais 301 afghans 291 pakistanais 263 libyens 208 irakiens 188 russes 167 turcs 117 somaliens 109 koweitiens 90 français 129 jordaniens 67 allemands 66 britanniques 53 algériens 62 tunisiens 52 yéménites 45 belges 40 ouzbeks 35 américains 30 Kosovards 21 azéris 29 qataris 13 maltais 7 mauritaniens 6 surinamiens


6.000 terroristes étrangers enterrés en Syrie dont 53 algériens

 
Par Mourad Arbani | 16/06/2013 | 12:44
Plus de 6.000 terroristes étrangers, dont 53 algériens, ont été tués et enterrés en Syrie en combattant, aux côtés des rebelles, l’armée et l’Etat syrien. La plupart d’entre eux ont agi sous la bannière de l’organisation terroriste Jabhat Al Nosra.
6.113 terroristes étrangers sont enterrés en Syrie selon les autorités syriennes: beaucoup de corps ont été brûlés pour éviter une identification alors qu’un nombre indéterminé ont été rapatriés vers leurs pays d’origine via le territoire turc.
Les terroristes tunisiens évacués au Liban après la défaite de Qusseir ont affirmé sur une vidéo que les corps des “combattants arabes blessés et morts en Syrie comme Abou Hamza Al Koweiti sont systématiquement brûlés.
Une liste de 4.600 mercenaires
Les forces armées syriennes ont publié une liste de plus de 4.600 mercenaires étrangers tués, originaires de 26 pays. La liste comporte le nom, la photo, la nationalité, le lieu et la date de la mort des terroristes étrangers en Syrie.
La même source précise que “les terroristes sont de toutes les nationalités et ils viennent aussi bien de l’Orient que de l’Occident”.
Après tant de vidéos postées sur la toile, les rapports des services de renseignement britannique et américain publiés, qui avancent des milliers de jihadistes présents sur le territoire syrien, personne ne croit George Sabra, chef de l’opposition quand il dit qu’il n’y a que quelques centaines d’étrangers en Syrie.
Pour rappel, les premiers chiffres sur le nombre de terroristes étrangers combattant en Syrie ont été dévoilés par Lakhdar Brahimi qui les a envoyés à l’ONU et qui faisaient état de la présence de 65.000 terroristes étrangers en Syrie, alors que le président syrien Bachar Al Assad avance, quant à lui, le chiffre de 100.000 combattants étrangers.
Liste dressée par les autorités syriennes :
729 saoudiens
640  moudjahidines khalk (Opposition iranienne)
489 égyptiens
439 tchéchènes
435 libanais
301 afghans
291 pakistanais
263 libyens
208 irakiens
188 russes
167 turcs
117 somaliens
109 koweitiens
90 français
129 jordaniens
67 allemands
66 britanniques
53 algériens
62 tunisiens
52 yéménites
45 belges
40 ouzbeks
35 américains
30 Kosovards
21 azéris 29 qataris
13 maltais
7 mauritaniens
6 surinamiens
Âmes sensibles s’abstenir :
Voici une énième vidéo montrant les atrocités des terroristes en Syrie. Un citoyen syrien aux mains de la secte des assassins qui va l’égorger et exhiber sa tête aux cris de “Allah Ou Akbar”. Images choquantes à plus d’un titre mais indispensables à publier pour dévoiler la cruauté des hordes barbares qui combattent en Syrie et que Laurent Fabius, le ministre français des affaires étrangères, affuble du titre de résistants.

#Niger Gen Abdou Kaza appointed to second Jean Bosco Kazura head of MINUSMA troops in #Mali - APA” Chad ain't gonna be happy.


: Gen Abdou Kaza appointed to second Jean Bosco Kazura head of MINUSMA troops in - APA” Chad ain't gonna be happy.

Mont Fuji et ville d' #Agadez, 2 sites qui devraient être inscrits au Patrimoine mondial Unesco (16-27 juin) ...

Mont Fuji et ville d' , 2 sites qui devraient être inscrits au Patrimoine mondial Unesco (16-27 juin) ...

Two dead in Dassault/Dornier Alpha Jet E accident, 37 miles (60 kilometers) west of Niamey, Niger

Two dead in Dassault/Dornier Alpha Jet E accident, 37 miles (60 kilometers) west of Niamey, Niger

#Niger -1 équipe d' #Al #Jazeera détenue près du #Nigéria depuis 3 jours. La chaine est perçue avec bcp de suspicion par le gvt de #Niamey

-1 équipe d' détenue près du depuis 3 jours. La chaine est perçue avec bcp de suspicion par le gvt de

L'Algérie, un pays au bord de la folie

Une ministre belge confirme : Al Qaïda est notre allié indirect en Syrie

Une ministre belge confirme : Al Qaïda est notre allié indirect en Syrie le gvt Belge est 1 danger pr les Belges !!

#Bamako fait du chantage aux negociateurs de Ouagadougou pour monter les enchères."ça lasse ENFIN"dixit un diplomate#Sahel

fait du chantage aux negociateurs de Ouagadougou pour monter les enchères."ça lasse ENFIN"dixit un diplomate#Sahel

NDLR/Poutine demonte les européens au sujet de la Syrie!! : "Est-ce ces gens que vous voulez soutenir"?