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- Tomorow May 3rd is the anniversary of women in our Tuaregs society according to the calendar of queens Amazigh-Berber already 2800 years. We want to take this opportunity in this Facebook group to tell to our sisters, our mothers, our friends, our companions, our aunts, our grandmothers, our little sisters, our confidantes:
Only to see the outline of your smile, we risk our lives.
to see that you participate in the destiny of your people and you grant the central place you come back we tattooed dawns and twilights defying all hardships and petty colonization and bloody chain us and deprive you of happiness.
We also tell you today that no woman deserves better than you the freedom, happiness and a smile after so many sacrifices.
We finally tell you that for you the Azawad will be a cradle where your freedom will be exercised without limit and where no polygamous or seller margins of freedom can not exist.
For you dear sisters we have changed the world and we are ready to challenge it for centuries to live and flourish your smile and your freedom.
To your happiness without limit we will defy the gods!
Ighregh chatma n'étila ighrim
sibdad fali alam dithkir!!
Que pour voir l'esquisse de votre sourire nous avons risqués nos vies.
que pour vous voir participer au destin de votre peuple et vous octroyer la place centrale qui vous y reviens nous avons tatouer les aubes et les crépuscules défiant toutes les épreuves et les colonisations mesquines et sanguinaires qui nous enchaînent et vous privent du bonheur.
Nous vous disons aussi aujourd hui qu'aucune femme mieux que vous ne mérite la Liberté,le bonheur et le sourire après tant de sacrifices.
Nous vous disons enfin que pour vous l'Azawad sera un berceau ou votre liberté s'exercera sans limite et qu'aucun polygame ou vendeur des marges à la liberté ne saurait exister.
Pour vous chères soeurs nous avons changé le monde et nous sommes prêt à le défier pour des siècles pour que vive votre grâce et s’épanouisse votre sourire et votre liberté.
Pour votre bonheur sans limite nous défierons les dieux!!
Ighregh chatma n'étila ighrim
sibdad fali alam dithkir!!
El Watan-30-04-2012
La conquête et la mainmise sur les richesses que recèle la région du Sahel vont servir aux grandes puissances occidentales de «prétexte pour s’y déployer» sous couvert de la lutte contre le terrorisme, pensent les chercheurs et autres spécialistes de la région.
Le 29 mars dernier, dans la foulée du coup d’Etat au Mali, Serge Michailof, chercheur associé a l’IRIS, professeur à Sciences Po, estimait dans le journal Le Monde qu’«une réponse militaire est nécessaire au Sahel et il faudra pour ce faire renforcer les armées nationales», en soulignant au passage que «le nord du Sahel a besoin d’un plan Marshal pour sortir de la violence».
La France est déjà bien avancée sur ce point, selon Mohamed Saleck, directeur du Centre mauritanien de recherches sur le développement et le futur, puisqu’elle a «des troupes positionnées dans la région du Sahel ou à proximité». Elle dispose de quatre bases militaires permanentes en Afrique : au Sénégal, au Gabon, à Djibouti et l’Île de la Réunion, selon l’état-major des armés français.
Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a indiqué dans un entretien à France 24 le 54 avril que son pays était prêt «à assurer la logistique» en cas d’intervention force d’attente de la CEDEAO au Mali.
La France est déjà bien avancée sur ce point, selon Mohamed Saleck, directeur du Centre mauritanien de recherches sur le développement et le futur, puisqu’elle a «des troupes positionnées dans la région du Sahel ou à proximité». Elle dispose de quatre bases militaires permanentes en Afrique : au Sénégal, au Gabon, à Djibouti et l’Île de la Réunion, selon l’état-major des armés français.
Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a indiqué dans un entretien à France 24 le 54 avril que son pays était prêt «à assurer la logistique» en cas d’intervention force d’attente de la CEDEAO au Mali.
Les Etats-Unis, quant à eux, avaient lancé dès 2002 l’initiative Plan Sahel et «organisent régulièrement les exercices militaires avec les armées des pays du Sahel». «Officiellement, il s’agit de renforcer les capacités des armées locales. Officieusement, c’est une manière d’affirmer leur présence militaire», pense Mehdi Taje, chercheur à l’Institut de recherche stratégique de l’école militaire de Paris, dans un entretien publié dans la presse mauritanienne.Pour M. Saleck, l’implication de la communauté internationale dans le renforcement des capacités du système régional de sécurité au Sahel prête souvent à «une tentation d’internationalisation de la menace Al Qaîda dans cette région».
Or, cette perspective est «souvent assimilée à une sordide connivence avec des agendas néo-colonialistes dont les objectifs inavoués visent le contrôle par des puissances occidentales (Américains et Européens notamment), de la route de l’ouest des flux énergétiques». Tout cela, dit-il, au détriment des autres puissances régionales ou internationales comme les Russes, les Chinois, les Brésiliens, etc.