TESHUMAR.BE est dedié à la CULTURE du peuple touareg? de ses voisins, et du monde. Ce blog, donne un aperçu de l actualité Sahelo-Saharienne. Photo : Avec Jeremie Reichenbach lors du Tournage du film documentaire : « Les guitares de la résistance Touaregue », à la mythique montée de SALUT-HAW-HAW, dans le Tassili n’Ajjer-Djanet- Algérie. 2004. Photo de Céline Pagny-Ghemari. – à Welcome To Tassili N'ajjer.
mercredi 6 janvier 2010
Le Botswana demande à Tandja de partir
mardi 5 janvier 2010
Le Botswana demande à Tandja de partir
Le Botswana invite le président nigérien à démissionner APA-Gaborone (Botswana) Le gouvernement du Botswana a exprimé mardi sa vive préoccupation au sujet de la dégradation du processus démocratique au Niger où le président Mamadou Tandja a prolongé de manière antidémocratique son mandat à travers un référendum anticonstitutionnel en août 2009.
Dans un communiqué de presse rendu public par le ministère des Affaires étrangères dans la capitale, Gaborone, le Botswana a également déclaré qu’il soutient pleinement l’appel lancé par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) invitant le président Mamadou Tandja à démissionner et laisser le processus démocratique suivre correctement son cours.
Cet Etat de l’Afrique australe qui a critiqué dans le passé le leadership politique du président Robert Mugabe, soutient que l’action du président compromet non seulement les avancées sociale, économique, politique durement acquises par le Niger, mais aussi celles du continent.
Selon le Botswana, les actions du président Tandja constituent un revers pour la démocratie basée sur la transition régulière et pacifique du pouvoir politique et l’adhésion fidèle à l’ordre constitutionnel.
“Nous demandons à toutes les personnes de bonne volonté de condamner de telles actions et soutenir ouvertement le peuple du Niger. Le gouvernement du Botswana soutient le droit légitime du peuple nigérien à choisir démocratiquement son propre gouvernement », indique le communiqué de presse.
Publié par MAINA à l'adresse 5.1.10
"Le trafic d’armes et de drogues compense le déficit des donateurs »
El Khabar - 03/01/10
"Le trafic d’armes et de drogues compense le déficit des donateurs »
Interview exclusif à El Khabar, M.DAGUZANdimanche 3 janvier 2010
Quelle lecture faites vous des événements qui se sont produits au sahel et précisément ceux liés aux rapts de ressortissants occidentaux et de leurs conséquences ?
Trois éléments sont à prendre en compte : d’abord créer une situation d’insécurité pour tous les Occidentaux dans la zone sahélienne contribuant à renforcer l’image de l’AQMI à l’extérieur et dans les pays concernés ; ensuite se financer en espérant obtenir d’avantageuses rançons de la part des pays des ressortissants enlevés ; enfin, influer sur les ressources touristiques des pays du Maghreb et du Sahel en tuant le tourisme dans cette zone et donc avoir un moyen de pression sur les gouvernements.
Est-ce qu’il y a, selon vous, un lien entre les salafistes et les contrebandiers locaux qui travailleraient pour le compte d’alqaida dans le rapt des étrangers ? La collusion entre les terroristes et les trafiquants d’armes et de drogue s’expliquerait-elle par quelque chose de particulier ?
Depuis une quinzaine d’années, la mondialisation a aboli les barrières entre terrorisme et crime organisé. Des criminels peuvent utiliser le terrorisme (comme les cartels de la drogue en Amérique latine) pour dissuader les Etats de les combattre. Les terroristes recherchent également tous les moyens de financement possibles. Le crime est l’un d’entre-eux. Le trafic d’arme et le trafic de drogue rapportent beaucoup et permettent de compenser le déficit de donateurs - mode de financement devenu de plus en plus difficile en raison de la mise en place du contrôle des flux financiers illicites aux niveaux national et international.
L’Algérie a réussi à faire adopter une résolution au conseil de sécurité criminalisant l’acte de paiement de rançons aux terroristes ravisseurs. Les gouvernements occidentaux sont particulièrement visés parce qu’ils ont, par le passé, donné de l’argent pour libérer leurs otages. Cette résolution peut elle être dissuasive et/ou persuasive ?
C’est une question très difficile. On comprend qu’il faut éviter de payer. Mais il y a aussi la question des familles et de l’opinion publique (qui ne supporte pas de voir des otages retenus des années ou assassinés et filmés en direct). Les Etats et les entreprises ne communiquent que peu sur ce sujet sauf quelques pays qui admettent de payer. La France, d’une part ne communique jamais sur ce sujet et surtout cherche à éliminer les preneurs d’otages et récupérer la rançon si celle-ci a été versée (ex : l’intervention en Somalie après l’affaire du Ponant). Etablir une situation à priori comme le propose l’Algérie (appliquée aussi par d’autres pays) peut certes couper l’herbe sous le pied aux terroristes ; mais elle ne facilite pas les négociations potentielles qui peuvent s’engager et permettre de gagner du temps pour préparer une intervention armée. Le flou et l’incertitude semblent être des armes utiles dans ce domaine.
Pensez vous qu’on assiste ? une mutation de groupes terroristes organisé, ce que les américains appellent le "loup solitaire ; c’est-à-dire un courant de pensées d’individus extrémistes liés idéologiquement à Ben Laden et qui ont des comptes ? régler avec "les croisés" et les juifs ?
Depuis toujours, des individus ont des comptes à régler dans la société dans laquelle ils vivent ou résident. Le terrorisme a suivi des voies idéologiques différentes suivant les époques. Après le terrorisme politique puis pro palestiniens et proche oriental des années 1970-1980, on assiste à une autre développement avec des individus ou des groupes qui s’appuient sur une vision tronquée et déformée de l’islam dont ils se servent à des fins politiques ou sectaires (souvent les deux). Ils utilisent les images de situations où des Musulmans sont en situation de souffrance (Bosnie, Tchétchénie, Irak, Palestine, etc...) pour proposer le DJIHAD global. L’Algérie, plus que tout autre pays a souffert de cette dérive sectaire et apocalyptique et continue d’en payer le prix avec Al Qaida au Maghreb islamique. Le problème, d’une part de la mondialisation et de la "toile" Internet et, d’autre part, de l’affaiblissement de la structure initiale d’Al Qaida depuis 2001, est que des individus ou des cellules familiales ou amicales s’autoproclament membres d’Al Qaida et se lancent dans la voie du terrorisme en s’appuyant sur les serveurs radicaux du web qui proposent à la fois formation idéologique et, le cas échéant, technique.
Maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique à Paris, dernier ouvrage : terrorisme(s), abrégé d’une violence qui dure, CNRS éditions. Paris 2006.
03-01-2010
mardi 5 janvier 2010
MALI-les Touareg se réunissent à Alger
Lundi 4 janvier 2010 1 04 /01 /2010 18:24 MALI-les Touareg se réunissent à Alger
Alliance démocratique pour le changement au nord du Mali :
Une trentaine de cadres se réuniront à Alger à partir de mardi
Plus d’une trentaine de cadres de l’Alliance démocratique pour le changement du nord du Mali se réuniront à Alger, du 5 au 10 janvier, apprend-on de source proche du mouvement. Une rencontre qui devra aboutir à l’adoption d’un calendrier pour la tenue d’un congrès réunissant tous les représentants touareg du nord du Mali, dans un avenir très proche.
Initialement prévue à Tamanrasset, avant la fin de l’année 2009, la conférence des cadres de l’Alliance démocratique pour le changement au nord du Mali, se tiendra à Alger du 5 au 10 janvier. Au moins une trentaine de cadres de ce mouvement prendront part à cette manifestation « pour mettre à plat les divergences internes afin de mieux consolider l’unité et l’intégrité nationales », a déclaré à El Watan, Hama Ag Sid Ahmed, porte-parole de l’Alliance. Selon ce dernier, « la conférence est devenue une nécessité pour exprimer la volonté de tous à dégager une solution juste et durable dans le but résoudre les différents problèmes récurrents qui affectent la région de Kidal ».
Durant les cinq jours, probablement plus, il est question également de faire le bilan de la situation au nord et faire le point sur les dispositions de l’accord d’Alger, signé au mois de juillet 2006, entre le gouvernement malien et l’Alliance sous l’égide de l’Algérie, dans le but de mettre fin à la rébellion touareg à Kidal. « Nous allons débattre tous les points de cet accord actuellement en panne, pour aboutir à une solution pacifique négociée, juste et définitive. Le débat portera aussi sur la situation au nord du pays, notamment le volet sécuritaire, avec l’implantation des groupes de l’Aqmi (Al Qaîda au Maghreb islamique) », a expliqué le porte-parole de l’Alliance.
Hama Ag Sid Ahmed a affirmé par ailleurs que cette conférence pourrait être prolongée, si les débats l’imposent du fait de la complexité de la crise. « Nous comptons nous préparer pour un congrès de réunification et pourquoi pas aller vers un nouveau parti politique. » Tout le monde est conscient de la difficulté que traverse la région de Kidal et de l’urgence d’une solution pour faire revenir la paix et la stabilité. Lors du forum qui s’est tenu à Kidal à la fin du mois d’octobre 2009, les notables touareg des régions de Kidal, Tombouctou et Gao, la population locale a voulu sceller l’unité et réitérer son attachement au dialogue. Une lettre de soutien à ce forum a été transmise par Ag Bahanga, le fondateur du mouvement. Elle a été lue par ses plus proches collaborateurs.
Un groupe de contact a été désigné pour faciliter les voies du dialogue avec l’Etat malien dans le but de créer un climat d’apaisement nécessaire à la reprise des pourparlers et à l’instauration de la paix. Une délégation du mouvement est venue à Alger solliciter l’implication des autorités dans les efforts de réactivation de l’accord d’Alger. « Nous n’avons jamais abandonné nos engagements. C’est la partie gouvernementale qui n’a pas respecté ses engagements. Nous avons interpellé tous les partenaires du Mali, dont l’Algérie en tant que facilitateur, pour faire pression sur Bamako afin que l’accord d’Alger soit mis en œuvre », a relevé le porte-parole de l’Alliance démocratique.
sur Elwatan
Protéger les pays pauvres contre les fonds vautours
Afrique en Ligne - 04/01/10
lundi 4 janvier 2010Dans son rapport autorisant la ratification de l’accord de création de la facilité africaine de soutien juridique adopté par la Bad et signé par le Mali, la commission des Affaires étrangères, des Maliens de l’extérieur et de l’intégration, au cours de la séance plénière du 12 novembre 2009 avait mentionné : ‘’ les pauvres, ça rapporte ! Cet axiome paradoxal recouvre pourtant une réalité cynique de la finance internationale.
Reprenant la pratique des sociétés d’investissement américaines spécialisées dans le rachat d’entreprises endettées pour les dépecer avant de les revendre, les fonds d’investissement se sont orientés à partir des années 90 sur le rachat des dettes des pays pauvres, très pauvres, les pays fragiles et ceux en situation de post conflit. Ce sont des fonds vautours. ‘’ Le rapport a ajouté que l’Afrique est depuis quelques années la proie préférée des fonds vautours. Ces fonds d’investissement privés, a-t-il signalé, extorquent en toute légalité des ressources financières vitales pour le développement des pays.
Le rachat se fait à bas prix, jusqu’à 80% de décote sur le montant initial, auprès de créanciers (très souvent des banques commerciales) qui souhaitent se délester d’une dette jugée irrécouvrable. Dans un second temps, a soutenu le rapport, le fonds vautour porte plainte contre l’Etat débiteur devant une ou plusieurs cours de justice afin d’obtenir le remboursement de la dette initiale, augmentée d’intérêts, de pénalités et de divers frais de justice. Cette pratique aurait rapporté plusieurs milliards de dollars à une quarantaine de fonds vautours, majoritairement anglo saxons.
Face à ce constat, a expliqué la commission, plusieurs voix se sont élevées pour trouver une parade définitive contre les fonds vautours. Il fallait, a-t-il mentionné, attaquer le droit par le droit à travers les facilités juridiques. La commission a indiqué que la création d’une facilité africaine de soutien juridique a été la seule réponse face à ce fléau. Le rapport a fait savoir que la facilité se concentrera essentiellement sur les litiges avec les fonds vautours et les transactions commerciales complexes dans des domaines ciblés.
Dans ce cadre, a-t-il ajouté, parmi les activités choisies figurent l’identification d’une expertise juridique, la mise à disposition d’une expertise autre que les services de recours en justice actuels, la création et la mise à jour d’un listing de cabinets juridiques et d’experts disponibles pour représenter les pays membres dans les litiges et la négociation de transactions commerciales complexes, sur la base de tarifs préalablement négociés, le renforcement des cadres juridiques, le développement de base de données et la mise à disposition des Etats de ressources financières en vue de les soutenir dans le procès.
La commission affirme que la facilité a le statut juridique d’institution internationale dont l’organisation et le fonctionnement sont régis dans l’Accord de création. Ce nouveau dispositif est destiné aux pays africains membres de la Bad qui en feraient la demande.
Baba Dembélé
Le Républicain du 04 Janvier 2010
Le médiateur de la CEDEAO propose un gouvernement de transition au Niger
APA - 04/01/10
Le médiateur de la CEDEAO propose un gouvernement de transition au Niger
lundi 4 janvier 2010
Le médiateur désigné de la CEDEAO pour la crise politique au Niger, l’ancien Chef d’Etat nigérian Abubakar Abdul Salami, a déroulé sa feuille de route, qui propose notamment le Président Mamadou Tandja comme chef de la transition à la tête d’un gouvernement d’ouverture, a appris APA lundi de sources proches du médiateur à Niamey.
Une source ayant requis l’anonymat a confié à APA que cette proposition sera examinée à partir de jeudi à Niamey, avec la reprise des pourparlers inter nigériens, interrompus, en raison de l’absence du médiateur Abdul Salami, rentré au Nigeria pour diriger les obsèques de l’épouse de l’ancien Président Ibrahim Babanguida, décédée fin décembre dernier.
Les deux parties, pouvoir et opposition, sont en possession de cette feuille de route, précise-t-on de sources proches de la médiation. La durée de cette transition, qui n’a pas été précisée, fera l’objet de débats à la reprise du dialogue le 7 janvier prochain.
L’opposition nigérienne, indique-t-on, proposerait également la création d’un organe législatif dénommé Conseil national de transition et une Commission des textes fondamentaux, qui aura pour tâche la rédaction d’une nouvelle Constitution, d’un code électoral ainsi que d’un nouveau statut de l’opposition.
Selon toujours l’opposition, les personnalités ayant dirigé la transition ne seront pas candidats aux élections qui seront organisées.
Pour le moment, pouvoir et opposition, se refusent de commenter la proposition du médiateur de la CEDEAO, qui espère ainsi rallier les forces politiques et les syndicats en vue de dénouer cette crise née de la décision du Président Tandja de se maintenir au pouvoir, alors que son second quinquennat devait expirer théoriquement en décembre dernier.
La tension politique au Niger a provoqué sa suspension en octobre dernier des instances de la CEDEAO, qui a également constater la « fin légale » du mandat du Président Tandja, lequel l’avait vivement critiquée.
Le 23 décembre dernier, Washington qui s’oppose au maintien au pouvoir du dirigeant nigérien, a officiellement suspendu son aide financière au profit de Niamey, imposant une interdiction de séjour aux USA aux hautes personnalités du pays.
L’UE, premier partenaire au développement du Niger, a aussi coupé son aide non humanitaire et invité Niamey à ouvrir un dialogue tendant à restaurer la démocratie.
DS/of/APA 04-01-2010
Spain negotiates with Abu Zeid a ransom of Five million Euros
Ennahar - 01 January, 2010
Spain negotiates with Abu Zeid a ransom of Five million Euros
Saturday 2 January 2010
Al-Qaeda in Islamic Maghreb (AQIM) claimed seven million dollars and the release of several of its members detained in Mauritania against the release of the three Spanish aid workers held hostage in Mali, said yesterday the newspaper El Mundo.
The Spanish Ministry of Foreign Affairs declined to comment on this information.
"AQIM seeks seven million dollars (4.8 million Euros, editor’s note) ransom for the three Spanish aid worker kidnapped on November 29" in Mauritania while delivering humanitarian aid in West Africa on board a convoy, wrote the Spanish newspaper, without citing sources.
El Mundo says the kidnappers of three Spaniards (Roque Pascual, 50, Albert Vilalta, 35, and Alicia Gamez, 35 years) also require "the release of a specified number of" AQIM activists held in Mauritania.
One of the Spaniards, Albert Vilalta, shot in leg during his abduction, "is well cared for" and his sate is "evolving positively," said on Wednesday the director of the NGO Barcelona Accio Solidaria Francesc Osan.
According to El Mundo, the Spanish government was informed of the kidnappers’ demands and the President of Mali, Amadou Toumani Touré, is "a fundamental role in the negotiations."
The President of Mali have sent in northern Mali, where the hostages were held in a desert region bordering Algeria, its consul in Saudi Arabia, Iyad Ag Gali, a former Tuareg rebel.
This would be in contact with a tribal leader from northern Mali to negotiate the release of three hostages in Spain, but also those of the French hostage, Peter Camatte, captured on November 26, and Italian Sergio Cicala and his wife Philomena Kabouree captured on December 18 by AQIM.
Based on information cross-checked a few days ago by AFP, at least three intermediaries try to secure the release of European hostages.
Ennaharonline/ M. O.
Niger rights group appeals for international aid to fight terrorisme
Afrique en Ligne - 01/01/10
Niger rights group appeals for international aid to fight terrorism
Saturday 2 January 2010
Niger’s group for human rights and democracy on Thursday appealed to the West African country’s partners, particularly France and the US, to help it fight terrorism.
The appeal comes three days after an attack against six Saudi tourists and their Malian guide in the west of the country, near the Malian border, left four dead and two wounded.
The injured, including Saudi Prince Zaid Al-Sheikh, were taken to Niamey national hospital.
In a statement issued in Niamey, the human rights group urged foreigners who use dangerous areas in Niger to inform the authorities about their movements for security to be provided to them.
The group ’strongly’ condemned the attack and asked ’the Niger government to take specific measures to tighten the security for the people and goods’, urging it to make all arrangements to identify and arrest the murderers of the tourists and their accomplices.
Niger’s security forces arrested three suspects at the border station located in the village of Yassane, and handed them over to the national gendarmerie for investigations.
Niamey - Pana 01/01/2010
Le conseil des MAE de l’UMA et la sécurité au Sahara à la Une en Libye
Afrique en Ligne - 03/01/10
Le conseil des MAE de l’UMA et la sécurité au Sahara à la Une en Libye
dimanche 3 janvier 2010
Les journaux libyens ont largement commenté cette semaine plusieurs dossiers régionaux et internationaux dont la 29ème session du conseil des ministres des Affaires étrangères des pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA) et le trafic des stupéfiants dans la bande saharienne.
La presse libyenne s’est également intéressée aux travaux de la conférence sur le rôle de la presse agricole dans la réalisation de la sécurité alimentaire en plus des effets des changements climatiques sur la planète.
Dans ce cadre, Al-Chams souligne que la 29ème session du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’UMA (Libye, Tunisie, Algérie, Maroc et Mauritanie) a permis de convenir du lancement en 2010 de la Banque maghrébine d’investissement et du commerce extérieur qui aura sont siège en Tunisie.
Le journal estime que cette décision est un grand pas sur la voie de la consolidation du processus de l’UMA eu égard aux répercussions positives qu’elle aura sur les pays membres.
Sous le titre "Est-ce que la situation en Afghanistan se répétera dans la bande saharienne ?", le journal Oyia évoque l’intervention du directeur du Bureau des Nations unies chargé de la lutte contre la drogue, Antonio Maria Costa, qui a mis l’accent sur les itinéraires suivis par les trafiquants de drogue qui agissent en Europe à travers l’Afrique, notamment par le Tchad, le Niger et le Mali.
Oyia indique que se sont les organes de renseignement occidentaux, notamment la CIA et le Mossad israélien, qui commandent ces réseaux de trafic qui utilisent actuellement des moyens plus solides et plus rapides vu qu’ils ont évolué en passant des chameaux à celui des avions à réacteurs et utilisent ces réseaux pour acheter les consciences et renverser les régimes qui refusent de graviter dans l’orbite des Etats-Unis d’Amérique.
Le même journal souligne que ces organes occidentaux oeuvrent à trouver un lien entre trafic de drogue et les groupes terroristes baptisés par les occidentaux les groupes extrémistes islamiques pour trouver un prétexte d’intervenir militairement dans la région.
De son côté, Al-Fajr Al-Jedid s’est intéressé aux travaux de la conférence scientifique sur le rôle de la presse agricole dans la réalisation de la sécurité alimentaire et l’activation de la complémentarité entre pays arabes et rapporté les recommandations de cette rencontre qui ont mis l’accent sur la nécessité d’activer le rôle de la presse agricole et environnementale spécialisée et de leur donner une place dans le système médiatique arabe et augmenter leurs tranches de temps.
Al-Fajr Al-Jedid ajoute que les participants à cette conférence ont souligné aussi l’importance d’accorder davantage d’intérêt aux cadres agissant dans le domaine de la presse spécialisée et de leur donner l’opportunité à travers le renforcement de leurs capacités aux niveaux académique et professionnel afin de leur permettre de jouer leur rôle.
De son côté, Al-Jamahiriya écrit, sous le titre "Tous voisins sur le balcon cosmique", que les changements climatiques et leurs effets négatifs qui menacent la terre ne concernent pas une direction ou un continent déterminé, mais menacent toute la planète.
Le même journal précise que tous les habitants de la planète font face au danger environnemental qui la guette et il n’y aura pas de différence entre occidental et oriental, entre pauvre ou riche et que pour cela "il est nécessaire de penser de façon rationnelle que nous sommes tous les habitants de cette maison cosmique unique".
Tripoli - Pana 03/01/2010
dimanche 3 janvier 2010
Une semaine de combats dans la région de Tahoua
Niger - Article publié le : dimanche 03 janvier 2010 - Dernière modification le : dimanche 03 janvier 2010
Une semaine de combats dans la région de Tahoua
Par RFI
Dix personnes, dont sept soldats de l'armée gouvernementale, ont été tuées lors d'accrochages dans la région de Tahoua à plusieurs centaines de km au nord-ouest de Niamey. Les assaillants, qui ont perdu deux hommes dans les combats, se sont enfuis vers le Mali.
Tout a commencé le 30 décembre 2009 dans le village de Telemcès. Une rumeur persistante se répand : il y aurait des hommes armés qui rôdent autour du village. La nouvelle se confirme et le chef du village alerte les militaires en poste à 80 km de là.
Les militaires arrivés la nuit se dirigent vers la zone où sont signalés les bandits. Une fusillade éclate : les soldats sont tombés dans un guet-apens.
01/01/2010 - Niger
Affrontements meurtriers dans le nord du Niger
C’est le début d’un affrontement qui a duré des longues heures et qui a fait 4 morts dont un civil qui accompagnait les militaires.
L’un des deux véhicules occupés par les assaillants a réussi à s’enfuir vers la frontière malienne proche. L’autre, endommagé suite aux violents combats, a été abandonné par ses occupants qui ont pris la fuite à pieds avec leurs armes en se cachant dans les arbres le long de la vallée.
Arrivée de renforts et nouveaux combats vendredi. Bilan, six morts : 4 soldats et deux bandits. Des bandits qui, suivant la description des villageois, ressemblent fort bien à des combattants islamistes : ils ont des longues barbes, et combattent aux cris d’Allahu Akbar.
Niger : sept militaires, deux assaillants et un civil tués à la frontière malienne
Le Monde - 02/01/10
samedi 2 janvier 2010
Sept militaires, leur guide civil et deux assaillants armés ont été été tués entre mercredi et vendredi dans la région nigérienne de Tahoua, frontalière du Mali, a-t-on appris samedi de sources sécuritaires.
Un premier bilan avait fait état de la mort de trois militaires et de leur guide civil dans la nuit de mercredi à jeudi lors d’une attaque menée contre une petite localité frontalière du Mali.
Selon une source sécuritaire à Niamey qui a requis l’anonymat, des hommes lourdement armés avaient attaqué à bord de véhicules tout-terrain la localité de Tlemsess, dans la région de Tahoua, à plusieurs centaines de km au nord-ouest de Niamey.
Les agresseurs, dont les motifs ne sont pas connus, ont été poursuivis alors qu’ils prenaient la direction du Mali.
Mais selon une source sécuritaire de la ville de Tahoua, l’un de leurs véhicules est tombé en panne. De nouveaux affrontement ont alors fait 4 morts du côté des militaires tandis que deux des assaillants ont été tués. Une personne aurait été arrêtée, selon la même source.
Par ailleurs, dans le véhicule en panne, les militaires ont trouvé un passeport européen, a ajouté cette source sans donner plus de précisions.
mercredi 30 décembre 2009
le groupe Atri N’Assouf qui signifie "Etoile du désert".
L'artiste révélation de l'année 2008-2009 :Rissa WANAGHLI
http://www.myspace.com/rissaagwanaghli
Rissa ag Wanaghli, touareg du Niger a commencé la musique dans la cité minière d’Arlit, avec ses amis Alouseini et Ibro.
Dans les années 90 en Algérie et en Libye, où de nombreux touareg étaient exilés, il perfectionne sa guitare, c'est Abdallah Oumbadougou qui le forme à Tamanrasset. Là-bas les « ishumars » touareg s’approprient cet instrument, ils chantent l’exil, les combats, les souffrances de leur peuple. Rissa est alors membre du groupe emblématique Takrist Nakal.
En 1994, il crée son propre groupe en Libye, puis rentre au Niger quelques années après. C'est en 2006 que Rissa rejoint le collectif Désert Rebel.
Aujourd'hui il crée le groupe Atri N’Assouf qui signifie "Etoile du désert". Sa musique est largement inspirée de la musique traditionnelle tamasheq, des sonorités amazigh et plus largement de la musique d'Afrique de l'Ouest
Titres du premier album de Atri N'assouf "Akal", en écoute sur: http://www.myspace.com/atrinassouf
http://www.myspace.com/rissaagwanaghli
Rissa ag Wanaghli, touareg du Niger a commencé la musique dans la cité minière d’Arlit, avec ses amis Alouseini et Ibro.
Dans les années 90 en Algérie et en Libye, où de nombreux touareg étaient exilés, il perfectionne sa guitare, c'est Abdallah Oumbadougou qui le forme à Tamanrasset. Là-bas les « ishumars » touareg s’approprient cet instrument, ils chantent l’exil, les combats, les souffrances de leur peuple. Rissa est alors membre du groupe emblématique Takrist Nakal.
En 1994, il crée son propre groupe en Libye, puis rentre au Niger quelques années après. C'est en 2006 que Rissa rejoint le collectif Désert Rebel.
Aujourd'hui il crée le groupe Atri N’Assouf qui signifie "Etoile du désert". Sa musique est largement inspirée de la musique traditionnelle tamasheq, des sonorités amazigh et plus largement de la musique d'Afrique de l'Ouest
Titres du premier album de Atri N'assouf "Akal", en écoute sur: http://www.myspace.com/atrinassouf
mardi 29 décembre 2009
tract circulant a niamey :République en danger
L’hécatombe se poursuit dans le rang des vaillants officiers supérieurs. Ils continuent à tomber comme des mouches sous le puissant poison Ukrainien. Le dernier assassinat en date est celui du Lieutenant colonel Chaibou Mouza, que son âme repose en pais. Pendant ce temps, les ressources du pays sont dans le processus de transformation en patrimoine personnel de Tandja, sa famille et ses proches. Aux dernières nouvelles, un lot de camion vient d’être acheté selon la répartition ci-après :
- Le fils Tandja : 60 camions
- Foukori S/C son gendre Mayaki : 32 camions
- Albadé et Haiballa : 28 camions
Il faut noter qu’à ce lot s’ajoute un premier composé de :
- 30 camions achetés par Tandja
- 25 camions achetés par Lamine ZEINE, qui sont déjà en activité
Le coût unitaire de camion est de soixante dix millions (70.000.000) FCFA sans tous les autres frais.
Ce subit intérêt pour les camions s’explique par le fait que le clan Tandja a décidé de liquider la SNTN à son profit exclusif à ce moment d’intenses activités minières. Les malheureux agents de la SNTN doivent commencer à faire le deuil de leur société car Tandja la reprend et y a déjà nommé un PCA.
D’autre part, beaucoup de nigériens se demandaient pourquoi l’empoisonneur national Albabé ABOUBA a choisi de se taire ces derniers temps. Eh ! bien parce qu’il a bénéficié d’un milliard deux cents millions (1.200.000.000) FCFA que le négro mauritanien lui a donné pour corrompre et réduire au silence leurs alliés rebelles après le tazartché. Albadé avait estimé que c’était trop pour les mercenaires et a fait main basse sur le milliard. Voyez en temps de sécheresse de trésorerie comment les Tandja jonglent avec nos sous.
L’actualité de ces derniers jours a également mis en évidence un grand complice dans les différents vols organisés par Tandja, le ministre de l’économie et des finances Lamine ZEINE, son travail informel et opaque sert à couvrir des grosses magouilles au sommet de l’Etat et la main levée sur les deux milliards Quatre cent millions (2.400.000.000) du hadj 2009 n’est que la face visible de l’iceberg. Comme par magie, son nom n’est pas cité et l’on veut faire porter le chapeau à des exécutants ou des collègues innocents. Ce n’est pas de la magie, mais la main protectrice de notre Président étranger. Malheureusement pour eux, le délit flagrant impose à la justice de faire la lumière sur ce dossier qui cache des gros poissons comme hadjia Larba Tandja et Albadé ABOUBA, le plus grand voleur de tous les temps que nous n’ayons jamais connu dans notre pays.
Tous les fruits des vols de Tandja sont investis dans les sociétés de pêche de sa Mauritanie natale.
Nous espérons que vous avez fait le tour au CCOG pour constater « le grand chantier » de Larba sur le domaine public pour vendre ses voitures de luxe.
Faites vous donc une idée de ce à quoi est réduite la République.
Conférence sur le terrorisme au Sahel : Combiner la riposte militaire et l’action de développement pour venir à bout du fléau
El Moujahid - 28/12/09
Conférence sur le terrorisme au Sahel : Combiner la riposte militaire et l’action de développement pour venir à bout du fléau
lundi 28 décembre 2009
Le terrorisme au Sahel est le thème de la conférence organisée hier par le Centre Echaâb des études stratégiques avec, au menu, trois communications présentées par MM. Somayno, Adamo Rabani et Lies Boukraâ respectivement ancien ministre de la Défense et directeur de la sécurité du Mali, juriste enseignant-chercheur, du Niger et docteur en sociologie (algérien). Les interventions ont mis en relief le fait que le vaste espace du Sahel soit devenu une des plaque-tournante pour toutes sortes de trafics (drogue, armes...) mêlés au banditisme (kidnappings, rackets...). Précarité, marginalisation, effondrement de l’autorité de l’Etat, conflits éthniques, rebellion Touareg sont cités comme facteurs ayant favorisé la propagation de ces fléaux. D’où l’impératif pour l’ensemble des Etats de la région de conduire la riposte. M. Somayno relève que les américains ont mis en place différents dispositifs de sécurité dans le cadre de leur stratégie de protection avancée et d’approvisionnement en énergie pour contrôler la région du Sahel. Pour M. Boukraâ les groupuscules terroristes qui ont été défaits en Algérie tentent de se redéployer au Sahel. Cependant l’orateur met en garde contre toute tentation de négliger l’ennemi qui est un acteur géo-politique, qui a une stratégie et des objectifs. Le Djihadisme n’est pas un acteur national, l’arc Djihadiste s’étend de l’Afghanistan à la Somalie en passant par le Pakistan, le Yemen, l’Egypte... Pour M. Somayno la montée de l’insécurité dans la région est liée au radicalisme islamique qui constitue une menace pour les Etats et nos sociétés. Soulignant la nécessité d’une riposte collective à la mesure du danger, les intervenants estiment indispensable de réunir un certain nombre de conditions à même de garantir le succès dans la lutte contre ce fléau. La volonté politique au sein de chaque Etat et une volonté partagée par les différents Etats sont nécessaires. Il faut également s’assurer de la cohérence dans l’action de gagner l’adhésion et la participation des citoyens, vaincre la pauvreté et la misère, estime M. Boukraâ. M. Somayno considère, pour sa part, qu’il faut une convergence dans la caractérisation de la menace. Or à ce niveau il y a des difficultés aujourd’hui ce qui constitue un handicap constate-t-il. “Tant qu’il y a des suspicions c’est un élément retardataire” dira M. Somayno. L’orateur préconise la mise en place d’une force collective coordonnée pour faire du Sahel un espace commun de défense et de sécurité, de stabilité et de développement. Parmi les éléments positifs apparus dans le cadre de l’action collective de lutte contre ce fléau il y a lieu de noter l’adhésion des différents Etats de la région aux conventions régionales et internationales en matière de lutte contre le terrorisme. “Tous les Etats sont parties à ces conventions, c’est un acquis. Il faut traduire ces conventions en réalité”, souligne M. Adamo Rabani. L’orateur notera qu’avec l’accord concernant la rebellion Touareg la situation s’est améliorée au Niger. On note, également, des initiatives qui font avancer les choses à l’exemple de la résolution sur les transactions relatives au paiement de rançons. “Je pense que c’est un pas en avant dans la lutte contre le terrorisme. Ça peut-être dissuasif”, dira M. Somayno. Au sujet de la participation étrangère on s’accorde à dire que si cette participation avec l’apport des moyens qu’elle suppose est bénéfique, il convient de prendre garde à l’ingérence. Les interventions ont mis en évidence le fait qu’une expérience appréciable a été capitalisée dans la lutte contre le terrorisme. Les choses avancent dans la bonne direction. “Je pense qu’il y a une volonté réelle de mettre en commun les capacités”, dira l’ancien ministre de la Défense du Mali. Il y a lieu de noter également le rôle majeur joué par l’Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région, comme l’a relevé un haut responsable américain de l’Africom lors de sa récente visite à Alger. M. Brahim
Conférence sur le terrorisme au Sahel : Combiner la riposte militaire et l’action de développement pour venir à bout du fléau
lundi 28 décembre 2009
Le terrorisme au Sahel est le thème de la conférence organisée hier par le Centre Echaâb des études stratégiques avec, au menu, trois communications présentées par MM. Somayno, Adamo Rabani et Lies Boukraâ respectivement ancien ministre de la Défense et directeur de la sécurité du Mali, juriste enseignant-chercheur, du Niger et docteur en sociologie (algérien). Les interventions ont mis en relief le fait que le vaste espace du Sahel soit devenu une des plaque-tournante pour toutes sortes de trafics (drogue, armes...) mêlés au banditisme (kidnappings, rackets...). Précarité, marginalisation, effondrement de l’autorité de l’Etat, conflits éthniques, rebellion Touareg sont cités comme facteurs ayant favorisé la propagation de ces fléaux. D’où l’impératif pour l’ensemble des Etats de la région de conduire la riposte. M. Somayno relève que les américains ont mis en place différents dispositifs de sécurité dans le cadre de leur stratégie de protection avancée et d’approvisionnement en énergie pour contrôler la région du Sahel. Pour M. Boukraâ les groupuscules terroristes qui ont été défaits en Algérie tentent de se redéployer au Sahel. Cependant l’orateur met en garde contre toute tentation de négliger l’ennemi qui est un acteur géo-politique, qui a une stratégie et des objectifs. Le Djihadisme n’est pas un acteur national, l’arc Djihadiste s’étend de l’Afghanistan à la Somalie en passant par le Pakistan, le Yemen, l’Egypte... Pour M. Somayno la montée de l’insécurité dans la région est liée au radicalisme islamique qui constitue une menace pour les Etats et nos sociétés. Soulignant la nécessité d’une riposte collective à la mesure du danger, les intervenants estiment indispensable de réunir un certain nombre de conditions à même de garantir le succès dans la lutte contre ce fléau. La volonté politique au sein de chaque Etat et une volonté partagée par les différents Etats sont nécessaires. Il faut également s’assurer de la cohérence dans l’action de gagner l’adhésion et la participation des citoyens, vaincre la pauvreté et la misère, estime M. Boukraâ. M. Somayno considère, pour sa part, qu’il faut une convergence dans la caractérisation de la menace. Or à ce niveau il y a des difficultés aujourd’hui ce qui constitue un handicap constate-t-il. “Tant qu’il y a des suspicions c’est un élément retardataire” dira M. Somayno. L’orateur préconise la mise en place d’une force collective coordonnée pour faire du Sahel un espace commun de défense et de sécurité, de stabilité et de développement. Parmi les éléments positifs apparus dans le cadre de l’action collective de lutte contre ce fléau il y a lieu de noter l’adhésion des différents Etats de la région aux conventions régionales et internationales en matière de lutte contre le terrorisme. “Tous les Etats sont parties à ces conventions, c’est un acquis. Il faut traduire ces conventions en réalité”, souligne M. Adamo Rabani. L’orateur notera qu’avec l’accord concernant la rebellion Touareg la situation s’est améliorée au Niger. On note, également, des initiatives qui font avancer les choses à l’exemple de la résolution sur les transactions relatives au paiement de rançons. “Je pense que c’est un pas en avant dans la lutte contre le terrorisme. Ça peut-être dissuasif”, dira M. Somayno. Au sujet de la participation étrangère on s’accorde à dire que si cette participation avec l’apport des moyens qu’elle suppose est bénéfique, il convient de prendre garde à l’ingérence. Les interventions ont mis en évidence le fait qu’une expérience appréciable a été capitalisée dans la lutte contre le terrorisme. Les choses avancent dans la bonne direction. “Je pense qu’il y a une volonté réelle de mettre en commun les capacités”, dira l’ancien ministre de la Défense du Mali. Il y a lieu de noter également le rôle majeur joué par l’Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région, comme l’a relevé un haut responsable américain de l’Africom lors de sa récente visite à Alger. M. Brahim
Mauritanie : des avancées importantes dans les négociations pour la libération des otages espagnols
AfriScoop - 27/12/09
lundi 28 décembre 2009
Des avancées importantes ont été réalisées dans les négociations pour la libération des otages espagnols enlevés depuis fin novembre sur l’axe reliant Nouakchott et Nouadhibou et acheminés vers le désert malien, apprend-t-on de source sécuritaire à Nouakchott.
Cette source n’a pas pu se prononcer sur les délais et le lieu de la libération prochaine des trois humanitaires espagnols dont le rapt a été revendiqué par Al-Qaïda pur le Maghreb islamique ( AQMI).
Par ailleurs, un responsable malien, proche des négociations avec AQMI, a souligné que des avancées importantes ont été réalisées dans les pourparlers menés avec les ravisseurs, sans toutefois avancer de date sur la libération des otages.
Des sources sécuritaires ont indiqué que Iyad Haj, ancien rebelle touareg, actuellement consul malien à Jeddah, en Arabie saoudite, participe aux négociations.
Iyad Haj est connu pour avoir obtenu, en 2003, la libération de plus de 30 otages occidentaux dans le nord malien.
Selon les spécialistes, AQMI pourra demander la libération de certains des membres d’Al-Qaïda détenus dans les prisons espagnols et mauritaniennes en échange des otages espagnols. (Xinhua)Share
lundi 28 décembre 2009
Des avancées importantes ont été réalisées dans les négociations pour la libération des otages espagnols enlevés depuis fin novembre sur l’axe reliant Nouakchott et Nouadhibou et acheminés vers le désert malien, apprend-t-on de source sécuritaire à Nouakchott.
Cette source n’a pas pu se prononcer sur les délais et le lieu de la libération prochaine des trois humanitaires espagnols dont le rapt a été revendiqué par Al-Qaïda pur le Maghreb islamique ( AQMI).
Par ailleurs, un responsable malien, proche des négociations avec AQMI, a souligné que des avancées importantes ont été réalisées dans les pourparlers menés avec les ravisseurs, sans toutefois avancer de date sur la libération des otages.
Des sources sécuritaires ont indiqué que Iyad Haj, ancien rebelle touareg, actuellement consul malien à Jeddah, en Arabie saoudite, participe aux négociations.
Iyad Haj est connu pour avoir obtenu, en 2003, la libération de plus de 30 otages occidentaux dans le nord malien.
Selon les spécialistes, AQMI pourra demander la libération de certains des membres d’Al-Qaïda détenus dans les prisons espagnols et mauritaniennes en échange des otages espagnols. (Xinhua)Share
lundi 28 décembre 2009
Niger: Trois Saoudiens abattus
JDD.fr International | Afrique | 28/12/2009 - 15:25Le gouvernement nigérien a annoncé lundi que trois ressortissants saoudiens ont été abattus au Niger par des inconnus alors qu'ils voyageaient non loin de la frontière malienne. Trois blessés, grièvement blessés lors de l'attaque, ont été transférés à l'hôpital de Niamey. "Le gouvernement nigérien déplore ces agissements barbares qui sont malheureusement perpétrés sur son territoire, et présente ses condoléances au gouvernement saoudien", a souligné le ministre des Transports, Kassoum Moussa sur les ondes de la radio nationale.
Niger/ la nuit de noces Lauvergeon-Rhissa ag Boula
Lundi 28 décembre 2009 1 28 /12 /2009 10:59 Niger/ la nuit de noces Lauvergeon-Rhissa ag Boula
Rhisa ag Boula a déposé "les armes" à Arlit.
Ci-dessous les explications de ce lieu stratégique et symbolique.
Les "(ir)responssables" d'Imouraren commencent enfin à respirer.
Anne Lauvergeon te remercie mon ami Rhissa !
source occitan touareg
Uranium: partenariat Areva-Kepco sur un gisement au Niger
PARIS - Areva a signé avec l'électricien sud-coréen Kepco un partenariat sur l'exploitation du gisement d'Imouraren, la mine d'uranium la plus importante d'Afrique, au nord du Niger, a annoncé jeudi le groupe nucléaire français dans un communiqué.
Cet accord prévoit notamment une entrée à hauteur de 10% de Kepco dans le capital d'Imouramen SA, la société d'exploitation du gisement, détenue à 66,65% par Areva et à 33,35% par l'Etat du Niger.
Le groupe coréen pourrait également enlever 10% de la production de la mine sur sa durée de vie, est-il écrit encore.
"L'entrée d'un industriel majeur dans le projet minier apporte un soutien significatif aux partenaires déjà investis dans le développement de la mine d'Imouraren", se réjouit le groupe public dans un communiqué.
L'exploitation de la mine démarrera en 2013 avec une capacité de production initiale de 5.000 tonnes par an sur une durée de plus de 30 ans, affirme Areva.
Ce gisement fera, selon le groupe nucléaire, l'objet d'un investissement initial de plus de 1,2 milliard d'euros et engendrera près de 1.400 emplois directs.
Areva exploite des mines d'uranium principalement au Canada, au Niger et au Kazakhstan. Le groupe nucléaire exploite depuis quarante ans deux gisements au Niger, l'un à ciel ouvert à Arlit et l'autre souterrain à Akokan, près d'Arlit, qui ont produit en 2006 près de 2.260 tonnes d'uranium.
AREVA
dimanche 27 décembre 2009
Tinariwen @ Summerjam´09
Unsubscribe mondpalast
July 09, 2009
Legendary poet guitarists and soul rebels from the southern Sahara desert
Niger/Tribal Beauty Pageant -- for Men
The Wodaabe women of Niger judge their men in a tribal beauty contest.
http://channel.nationalgeog...
Tuareg Jeweler of the Desert
christianpeacock
August 05, 2009
A documentary about Ehadji Koumama, a Tuareg jeweler of the desert, brief history and demonstration of making silver jewelry in the lost wax method.
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