samedi 13 avril 2013

Lettre Ouverte au Ministre des Affaires Etrangères de la France,


Lettre Ouverte au Ministre des Affaires Etrangères de la France,

par Sidi Mossa Ag (Articles), vendredi 12 avril 2013, 01:42
Permettez-moi Monsieur le Ministre, de m’exprimer par la présente missive et par la suite afficher l’irritation du peuple de l’Azawad quant à votre égard au Mouvement National de Libération de l’Azawad. Ce dernier portant fardeau de lutter pour reconquérir la dignité d’un peuple aussi meurtri dans sa peau que dans sa chaire par le Mali depuis que votre France le lui a de force légué et dont le droit universel et le respect de la dignité humaine vous impose d’en prendre forte considération.

C’est dommage que ces Touaregs ayant portée main forte àvotre armée durant les combats menés n’aient comme récompense qu’une méprisante déclaration. Si on en croit l’agence française AFP, lors d’une conférence depresse tenue à Bamako le 05 Avril 2013 vous auriez relatéceci  "le Mouvement National de Libération de l’Azawad devra désarmer, les moments venus, accepter d’être cantonné et renoncer à sesarmes’’.Votre arrogance vous mène même au Poste du Chef de la Suprématie malienne au point de promettre la tenue des élections en mois de juillet et queKidal occupé par le MNLA faisait bien parti du territoire du Mali.

Monsieur Fabius, si j’ose, dois-je vous rappelez que vous êtes le Ministre des Affaires étrangères de la république française et vous n’êtes mandaté que pour çà. Votre parti pris dans un milieu dont vous êtes‘’étranger’’ ne ferra qu’empirer de plus une diplomatie française déjà controversée dans le monde et en Afrique en particulier.

Etes-vous conscient du nombre d’azawadiens tués, calcinés,torturés par l’armée malienne sous votre voile ‘’Serval’’ ;

 N’êtes-vous pas touché par ces populations déplacées, qui transpirent, s’agenouillent,s’accroupissent, accouchent dans les camps des refugiés pour quémander justeune minable poignée de blé ;

Pourquoi cette populaire légitime volonté affichée vailleque vaille par ces vieux et jeunes, ces pauvres et chefs  de l’Azawadmalgré les tourbillons ne mérite telle pas pour une fois votre sensibilité ?

Le peuple de l’Azawad n’ayant délégué aucun  pays de ce monde ne s’attendait pas à une telle dérayure et surtout venant d’une puissance sur laquelle repose son espoir d’accéder enfin à sa liberté ne pourra qu’en approuver  que de la méfiance.

La remise des éléments Touaregs hier à Ménaka au four malienpar votre armée et votre récente méprise réaction qui son est suivie me rappeldes lignes historiques avérées. Ces dernières détaillent un parcours truffé des  félonies envers les Touaregs, comme le non-respect de la promesse faite par DeGaulle aux Touaregs préconisant la création de leur Etat lors des indépendances. Ainsi que l’assassinat  de l’Amenokal Fihroun par des éléments touaregs à la solde du colonisateur français le 25 juin 1916 , larépression dans le sang qui s’en est suivis suite à la révolte touareg au plus grand mépris des droits humains des populations autochtones  etj’en passe.

Monsieur Fabius faudra-t-il vous interpellez en plus des faits rapportés par Humann Right Watch ainsi que les observateurs, ce qu’a été le sort des azawadiens dans les zones contrôlées par l’armée malienne à cause de leur simple différence ethnique. Non, vous le saviez très bien. En disant vouloir désarmer le MNLA, aimeriez vous qu’il ait  le même fatum que ceux tués, torturés, exilés,terrorises par le Mali ?

Excusez-moi du peu Monsieurle Ministre, mais vos mots m’exalte et méritent bien le qualificatifd’irréfléchi et s’inscrivent dans l’ordre du répressif.

La réalité du terrain exige de toute évidence à la France ainsi qu’a tous, d’approuver le réel ou de semer le chaos, vu que l’Azawad restera à jamais la terre des Touaregs. 
  
Sidi Mossa Ag Souleymane.

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Alain Juppé, invité de RFI: «Au Mali, on voit difficilement pointer la relève»


FRANCE / MALI - 
Article publié le : vendredi 12 avril 2013 - Dernière modification le : vendredi 12 avril 2013

RFI

Alain Juppé, ministre français des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy.
Alain Juppé, ministre français des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy.
REUTERS/Charles Platiau

Par Christophe Boisbouvier
Très active au Mali, très discrète en Centrafrique, la politique africaine de la France fait débat. Jusqu'au mois de mai dernier, Alain Juppé était le ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy. Aujourd'hui, c'est l'une des figures de l'opposition française. L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac répond aux questions de Christophe Boisbouvier.

RFI : Au Mali, il y a actuellement quelque 4 000 soldats français. A la fin de l’année, il n’y en aura plus que 1 000. Est-ce que c’est un bon calendrier de retrait ou pas ?
Alain Juppé : C’est un nouveau calendrier puisqu’à l’origine le président de la République avait parlé d’un retrait total dans des délais beaucoup plus rapides. Cela dit, l’opération nécessite le maintien aujourd’hui d’une présence française. J’ai approuvé le principe de cette intervention parce que si nous n’avions rien fait, le risque de voir les terroristes s’emparer de Bamako avec les conséquences sismiques sur l’ensemble de la sous-région était très élevé. Mais qu’est-ce qu'il se passe à Bamako ? Comment va-t-on contribuer à rétablir un ordre constitutionnel ? Est-ce que les élections vont véritablement se tenir ? La France doit être active sur le plan diplomatique pour, avec les pays de la région, favoriser cette stabilisation du régime de Bamako.
La deuxième question, c’était la relève. On la voit difficilement pointer à l’horizon. Relève des pays africains, relève des Nations unies, aide de l’Union européenne... Ceci prend beaucoup de temps. C’est ce qui explique sans doute que le président ait annoncé le maintien de 1 000 soldats français jusqu’à la fin de l’année. Enfin, la dernière question, c’est quel type de contact prend-on au Nord ? Je pensais évidemment aux Touaregs, qui veulent leur indépendance. Nous avons toujours dit que l’intégrité territoriale du Mali pour nous n’était pas négociable. Mais l’autonomie et le développement économique des Touaregs est une question qu’il faut négocier.

Les 1 000 soldats français qui vont rester, ce sera au-delà de Noël. Votre successeur aux Affaires étrangères, Laurent Fabius, dit qu’ils constitueront une force permanente.

C’est un plan glissant.
Donc, vous êtes inquiet à l’idée qu’ils restent au-delà de Noël ? 
C’est dangereux, bien évidemment.
Vous craignez un scénario type Afghanistan ?
Non. Les conditions ne sont pas les mêmes. Notre déploiement sur le terrain n’a rien à voir avec ce qu'il était en Afghanistan. Mais il faut effectivement éviter un enlisement, parce que la bataille n’est en réalité pas gagnée. On nous a dit que les objectifs avaient été atteints. Les terroristes ont été dispersés, mais n’ont pas été éliminés. On voit bien périodiquement ressurgir des problèmes à Tombouctou, où des attentats-suicide ont lieu. On sait bien que l’armée malienne à elle seule n’est pas capable d’y faire face. Donc, je crains que nous ne soyons engagés pour longtemps.
« Il faut que les Maliens élisent leur nouveau président en juillet. Là-dessus je serai intraitable », dit François Hollande. Qu’en pensez-vous ?
Il a raison. Mais on va voir si cette déclaration ferme et définitive est suivie d'effets.
Le mot « intraitable » a choqué, non ?
Je ne vois pas très bien ce que cela veut dire. Comment pourra-t-il imposer qu’elles aient lieu si les autorités maliennes ne sont pas prêtes ou n’en veulent pas ? En tout cas, la diplomatie française a raison de mettre la pression pour qu’on sorte de la situation actuelle, qui est une situation de coup d’Etat non réglée.
En Centrafrique, la France n’a rien fait pour sauver le régime Bozizé. François Hollande a donc pris le contre-pied de Jacques Chirac en 2006. Est-ce qu’il a eu tort ou raison ?
Ça fait des années et des années qu’on nous dit qu’il faut rompre avec la Françafrique. Et nous avons rompu avec la Françafrique. La France ne déplace plus comme des pions des chefs d’Etat africains. Nicolas Sarkozy l’a montré : regardez ce qu'il s’est passé au Sénégal où nous avons tout fait pour que des élections aussi régulières que possible se tiennent. Ça a été le cas et la transition démocratique s’est bien faite. Donc, ce n’est plus nous qui nous substituons, comme on a pu le faire dans le passé, aux peuples pour désigner les dirigeants.
Donc, Jacques Chirac avait eu tort de soutenir François Bozizé en 2006 ?
Vous avez dit 2006 ? C’est presque la nuit des temps.
Jusqu’au dernier jour, l’Afrique du Sud a tenté de sauver le régime Bozizé. Cela vous a surpris ?
Pas vraiment. La diplomatie sud-africaine est parfois un petit peu difficile à suivre.
Est-ce que finalement, l’Afrique du Sud n’a pas essayé de chasser la France de l’une de ses anciennes chasses gardées ?
Ca me rappelle un souvenir - maintenant, je peux en parler parce que je ne suis plus en charge de la diplomatie française - d’un voyage à Pretoria où mon premier contact après douze heures d’avion avait été le secrétaire général de l’ANC, le parti qui est au pouvoir depuis que l’apartheid est tombé. Ce secrétaire général m’était rentré dans le chou - pardonnez-moi cette expression un peu vulgaire - en disant : « Nous ne laisserons plus la France recoloniser l’Afrique ». C’était la réaction de l’Afrique du Sud à notre intervention en Libye. Il y a une sensibilité très particulière en Afrique du Sud, très exagérée parce que la France n’a aucune intention dans ce sens. Cela peut expliquer la réaction que vous venez d’indiquer.
A Dakar, François Hollande est chaleureux. A Kinshasa, il est glacial. Que pensez-vous de François Hollande l’Africain ?
Il n’a pas véritablement apporté d’inflexion notoire à notre politique africaine. A Dakar, je vous ai dit le rôle que nous avions joué, il était exactement dans la lignée de ce que nous avons fait et qui a abouti à l’élection tout à fait satisfaisante de Macky Sall. Puis nous n’avons pas cessé de dire à Kinshasa que la situation, du point de vue des droits de l’homme et de la démocratie, n’était pas acceptable. Je n’ai pas vu de rupture de ce point de vue-là.
Il a donc eu raison d’ignorer Joseph Kabila lors de son discours devant la Francophonie en octobre dernier à Kinshasa ?
Il a eu raison de marquer notre insatisfaction devant la situation en République démocratique du Congo.

Au début de son mandat, François Hollande a souvent été accusé d’être trop « mou ». Est-ce qu’au Mali, il n’a pas montré au contraire qu’il avait les qualités d’un vrai chef d’Etat ?

Pardon, mais cette question ne m’intéresse pas trop. L’appréciation de l’intervention au Mali ne tourne pas autour du point de savoir si c’est bon pour l’image de monsieur Hollande ou pas. La question, c’est : est-ce bon pour la France, ou pas ?
Mais il y a un moment où c’est le chef d’Etat qui décide de l’envoi des forces...
Il a joué son rôle.
D’après les derniers arbitrages, la défense restera une priorité budgétaire. C’est un bon choix ?
C’est le choix minimum, si je puis dire. J’ai partagé l’émotion de beaucoup de responsables politiques, y compris des présidents socialistes des commissions de la Défense et des Forces armées au Sénat et à l’Assemblée nationale, qui ont indiqué très clairement que descendre en dessous des chiffres qui ont été atteints aujourd’hui, c’était obliger la France à renoncer à un certain nombre de ses ambitions. Cela n’a pas été le choix retenu et de ce point de vue-là, je m’en réjouis. L’institution militaire a gardé un niveau d’excellence parmi les meilleurs du monde et dans l’opération du Mali, elle l’a montré là encore. Nous avons des militaires extrêmement compétents, extrêmement courageux, extrêmement professionnels. Nous avons la chance d’avoir cette qualité de défense nationale.

vendredi 12 avril 2013

L'armée malienne épinglée après la mort de Touaregs en détention - Afrik.com : l'actualité de l'Afrique noire et du Maghreb - Le quotidien panafricain


L’armée malienne épinglée après la mort de Touaregs en détention

Deux Touaregs placés en détention après avoir été torturés par l’armée malienne sont décédés des suites de leurs blessures, selon Human Rights Watch. L’ONG exige l’ouverture d’une enquête.

L’armée malienne de nouveau mise en cause. Deux Touaregs sont morts en détention dans la prison centrale de Bamako après avoir été torturés, révèle ce jeudi Human Rights Watch (HRW). Les deux hommes avaient été interpellés avec cinq autres Touaregs, le 15 février 2013, dans la ville de Léré, près de Tombouctou. L’armée malienne avait repris la localité fin janvier, suite à l’engagement militaire de la France dans le pays pour reconquérir le nord-Mali, tombé aux mains des groupes armés en mars 2012.
Selon l’organisation de défense des droits de l’Homme, « les deux Touaregs seraient morts durant la nuit du 6 au 7 avril, à cause d’une chaleur accablante, et sans doute aussi des suites des blessures causées par les mauvais traitements subis auparavant ». Les tortures dont ils ont été victimes, « les avaient fragilisés, favorisant une détérioration rapide de leur état de santé. Alors qu’ils étaient détenus par l’armée », explique l’ONG. L’une des victimes se serait vu « injecter une substance corrosive et souffrait d’une côte fracturée et de brûlures dans le dos ». Toutefois, précise Human Rights Watch, « une personne qui les connaissait a affirmé que quand ils ont quitté la gendarmerie, leur santé était en amélioration ».
Mortelles tortures
Pas plus tard que le 26 mars dernier, l’organisation de défense des droits de l’Homme dénonçait déjà dans un communiqué des cas de tortures sur sept Touaregs âgé de 21 à 66 ans, dont deux sont décédés. Des supplices leur ont été infligés par des éléments de l’armée malienne qui les ont accusés de soutenir les groupes terroristes présents dans le nord du pays.
Selon l’ONG, ils ont d’abord été transférés le 5 mars au Camp de gendarmerie numéro 1 à Bamako, où ils ont reçu une assistance médicale avant d’être conduits fin mars à la prison centrale de Bamako. Ces derniers ont affirmé avoir été « roués de coups de poing et de coups de pied, brûlés et soumis à des injections forcées d’une substance corrosive, ainsi qu’à des menaces de mort, alors qu’ils étaient détenus par l’armée », précise l’organisation humanitaire. L’un d’eux a même raconté avoir subi une torture avec de l’eau comparable à la technique du « simulacre de noyade ». Un autre a perdu l’usage d’un œil après avoir reçu un coup de crosse de fusil au visage et un autre encore est devenu partiellement sourd du fait de nombreux coups de pied à la tête.
Massacres contre les peaux claires
Les sept hommes, qui se plaignaient également de la chaleur excessive qui régnait de jour comme de nuit, auraient été incarcérés dans une petite pièce dépourvue de ventilation, sachant que la période de mars à mai est la plus chaude au Mali, la température moyenne à Bamako étant de 38 degrés. D’après un témoin interrogé par l’ONG, l’un des détenus qui a finalement succombé à ses blessures lui avait dit : « Si on ne nous sort pas de cette pièce, nous allons tous mourir de chaleur ». Les cinq autres hommes qui ont survécu à ces conditions inhumaines de détention ont finit par être transférés le 9 avril dans une pièce mieux ventilée.
Humain Rights Watch exige du gouvernement malien l’ouverture d’une enquête sur les circonstances de la mort des deux Touaregs. « Le fait que le gouvernement malien se soit abstenu d’enquêter sur les tortures infligées à ces sept hommes prend une tournure encore plus tragique suite au décès de deux d’entre eux en prison », affirme Corinne Dufka, chercheuse senior sur l’Afrique de l’Ouest à Human Rights Watch. Elle a interrogé les sept hommes avant leur transfert à la prison centrale. Selon elle, « il s’agit là des cas les plus récents de décès en détention dus à l’insalubrité des prisons. Le gouvernement malien devrait prendre des mesures concrètes pour améliorer à la fois le traitement et les conditions de détention de tous ses prisonniers ».
Depuis le début du conflit au Mali, l’armée malienne est régulièrement accusée d’avoir commis des massacres contre les Touaregs et tous ceux qui ont la peau clair, assimilés aux groupes terroristes présents dans le pays. Plusieurs organisations de défense des droits de l’Homme ont tiré la sonnette d’alarme.

Tinariwen: NPR Music Tiny Desk Concert

Niger : Construction prochaine de deux tours servant de centre commercial et résidentiel à Niamey

Niger : Construction prochaine de deux tours servant de centre commercial et résidentiel à Niamey

Le président nigérien Mahamadou Issoufou a procédé jeudi à Niamey à la pose de la première pierre de construction de deux tours servant de centre commercial et résidentiel, dans le cadre de son ambitieux programme de faire de la capitale nigérienne une ville coquette. 

La cérémonie s'est déroulée en présence du président de l'Assemblée nationale du Niger, M. Hama Amadou, du Premier ministre, M. Brigi Rafini, des présidents des institutions du pays ainsi que du président du groupe de la Banque islamique de Développement (BID), Dr Ahmed Mohamed Ali.

Ce complexe financé à hauteur de 13 milliards de FCFA par la BID, sera construit sur une superficie de plus de 10 000 mètres carrés, en plein centre de la capitale nigérienne.

Selon le ministre d'Etat nigérien en charge du Plan, M. Amadou Boubacar Cissé, il s'agira des "immeubles haut de gamme", en 16 étages par tour, construits dans le respect des normes internationales.

Ce projet permettra également d'aider à résorber la demande de plus en plus forte d'immeubles en qualité par des personnes morales et une certaine catégorie de la population de Niamey.

http://maliactu.net/chronique-satirique-un-president-anti-ou-pro-junte/


http://www.liberation.fr/monde/2013/04/11/trafic-d-armes-l-onu-cible-la-libye_895559


Trafic d’armes : l’ONU cible la Libye

11 avril 2013 à 20:46

Rapport . Des experts des Nations unies pointent une dissémination inquiétante de l’arsenal du pays.

Le colonel Ali Chikhi, porte-parole de l’armée libyenne, n’a pas apprécié le dernier rapport des Nations unies traitant du trafic d’armes dans son pays. Il a qualifié hier d’«exagérées» les craintes du groupe d’experts du Conseil de sécurité qui pointent «le rythme alarmant» de la prolifération des armes libyennes dans plus de 12 pays, dont le Mali, la Syrie, l’Egypte et la Somalie. Selon le rapport publié mardi, le trafic se poursuit en dépit de l’embargo imposé à la Libye et concerne aussi...

Mali : sécuriser, dialoguer et réformer en profondeur - Issalane

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