Azaouadi
Posté le 26/01/2013 à 23H57 Tout a été cassé a Gao......
Pour ce qui est de mes sources, je ne pense pas que tu a besoin de les connaitres mais tu sais que je sais de quoi je parle!
Pour le reste je crois que le 21h3O d'aljazera a dejà montré les images des boutiques (des arabes) de l'immeuble Ben Bara au marché pillés et l'image du moujahid peulh qui a été lynché.
Celà etait previsible et fort heureusement que les citadins touaregs et arabes n'ont pas attendu les assassins appelé armée malienne et les charognards de Gao!!!!!
Toutes les maisons, toutes les boutiques appartenant a des Touaregs ou Arabes ont été pillés ou sont entrain de l'etre encore en ce moment!
Tout, absolument tout!!!!!!! Personne n'est épargné !!!!
C'est Sadou Diallo, maire fuyard de Gao qui dirige en personne l'organisation des pillages et saccages des biens des touaregs et arabes!!!!
La ville est laissé a elle meme, car les militaires cantonnés au camp et a l'aeroport n'assure pas encore la police ou des patrouilles en ville de peur bien sur d'etre pris pour cible!!!!!
Tout, absolument tout ce qui appartiens a des Touaregs ou Arabes est entrain d'etre pillés et volés meme s'il ne reste pas grand chose, car previsible!!!!
TESHUMAR.BE est dedié à la CULTURE du peuple touareg? de ses voisins, et du monde. Ce blog, donne un aperçu de l actualité Sahelo-Saharienne. Photo : Avec Jeremie Reichenbach lors du Tournage du film documentaire : « Les guitares de la résistance Touaregue », à la mythique montée de SALUT-HAW-HAW, dans le Tassili n’Ajjer-Djanet- Algérie. 2004. Photo de Céline Pagny-Ghemari. – à Welcome To Tassili N'ajjer.
dimanche 27 janvier 2013
samedi 26 janvier 2013
PERSONNALITÉS TOUAREG..../Wikipedia
Hamid Algabid, homme politique nigérien. Ancien secrétaire général de l'O.C.I et ancien premier ministre du Niger.
Mohamed Abdoullahi, homme d'État nigérien. Un des fondateurs du Front Populaire de Libération du Niger en 1981.
Mohamed Almokhtar ag Hawad, urran, sage et héros des légendes anciennes ;
Afellan, guerrier libre de l'Azawagh (milieu du 19 siècle), cavalier et poète ;
Allélé Elhadji Habibou, homme politique nigérien. Ancien ministre du Niger.
Kaocen Ag Gedda, chef de la résistance contre la colonisation française en 1916 ;
Alla Ag Albachir, résistant de l’Adrar des Ifoghas des années 1960 ;
Hadj Moussa Hakhamoukh, Aminokal du Kel ahaggar. Il fut militant du FLN pendant la guerre d’indépendance d’Algérie ;
Alladi Ag Alla, résistant durant la rébellion de 1963 au Mali;
Firhoun Ag Alanessate, Amenokal des Iwellemeden, a mené la lutte contre la colonisation française en 1916;
Khammed Moussa Amadou, premier député des Touareg Azawagh Niger, membre fondateur de la rébellion armée en Libye.
[Abdelmomomin], leader de la rébellion Touareg, assassiné par l'armée nigerienne en 1990.
Mohamed Moussa, ingénieur de l'aviation civile, il a été syndicaliste et très actif lors de la conférence nationale souveraine du Niger tenue en 1992. Il participa au gouvernement de transition comme ministre de l’intérieur et ministre des transports en 1992 et 1993 ;
Mohamed In-Alkher, dit Tazoughe, un des chefs Touareg des années 1990.
Mano Dayak, leader de la résistance des années 1990, dans l’Aïr ;
Hammed Attaher Abdelmomin, un des chefs de la résistance Touareg dans les annees 1990.
Alhadi Elhiji, principal fondateur du FLAA, président du FPLN des annees 1990. Il a mené le raid commando de Tchintabaraden 1985.
Sidi Ag Issa, auteur-compositeur-interprète ; leader du groupe Tiwitine, groove touareg.
Kedhou Ag Ossad, chanteur et guitariste ;
Abdallah Ag Oumbadougou, chanteur et guitariste de la résistance ;
Rhissa Ag Boula, chef de la principale rébellion armée du Niger des années 1990, il signa en avril 1994 des accords de paix qui permirent la fin de la rébellion, le retour de la paix au Niger. Il participa à plusieurs gouvernements
Moussa Ag Assarid, écrivain, journaliste, conteur et comédien habitant en France.
Hawad, poète;
Mohamed Ali Ag Attaher al Ansari, Amenokal, résistant, mort en exil au Maroc en 1994;
Ibrahim ag Alhabib, dit « Abraybone » (guitare, chant, composition) fondateur du groupe Tinariwen;
Abdallah Ag Alhousseyni, dit « Catastrophe », (guitare, chant, composition, au sein du groupe Tinariwen);
Alhassane Ag Touhami, dit « Abin-Abin », dit « Le lion du désert » (guitare, chant, composition, au sein du groupe Tinariwen);
Saïd Ag Ayad (percussions, chœurs, au sein du groupe Tinariwen);
Iyadou ag Leche (basse, guitare, chœurs, percussions, composition, au sein du groupe Tinariwen);
Abdallah Ag Lamida, dit « Intadao » (guitare, chœurs, composition au sein du groupe Tinariwen);
Ghousmane Ag Mossa, leader du groupe musical Tamikrest;
Wounou wallet Sidati (chœurs, claps au sein du groupe Tamikrest);
Sanou Ag Ahmed (Guitare, basse, chant au sein du groupe Terakaft);
Liya ag Ablil dit « Diara » (Guitare, chant, compositions au sein du groupe Terakaft);
Iyad ag Ghali, dirigeant de la rébellion de 1990 au Mali.
Ibrahim Ag Bahanga, ancien combatant de la rébellion de 1990 et de 2006 au Mali;
Oumara Almoctar dit "Bombino", musicien touareg d'Agadez.
Acharif Mohamed Mokhtar Alias "Asha" ancien vice-président du MNJ
FRANCE 24:Les forces française et malienne ont repris Gao
DERNIÈRE MODIFICATION : 26/01/2013
- ARMÉE FRANÇAISE - CÉDÉAO - MALI - UNION AFRICAINE
© AFP
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian a annoncé que la ville de Gao, située au nord-est du Mali, a été reprise samedi par les armées française et malienne et des "contingents africains, formés de militaires nigériens et tchadiens.
La ville de Gao (nord-est du Mali) a été reprise samedi par les armées française et malienne et des "contingents africains, formés de militaires nigériens et tchadiens, arrivent sur zone pour prendre le relais des forces" françaises, a annoncé le ministère de la Défense.
Dans un communiqué, le ministère a affirmé que "dès ce (samedi) soir, Sadou Diallo, le maire de Gao réfugié à Bamako, a pu regagner sa ville, accompagné par le colonel Dacko".
Le colonel Didier Dacko, qui commandait le groupement opérationnel malien à Sévaré, "a valeureusement combattu à Konna face aux djihadistes le 10 janvier", a souligné l'entourage du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. "Le rétablissement des pouvoirs réguliers à Gao suppose de mettre hors d'état de nuire les terroristes djihadistes et de permettre le bon fonctionnement des autorités locales", a-t-il fait valoir.
"Le dispositif militaire sur la zone de Gao se renforce aujourd'hui avec l'engagement de militaires maliens et d'une unité du sous-groupement tactique interarmes", a précisé le ministère. "Les armées africaines et malienne devront sécuriser la région de Gao et ses habitants, progressivement libérés du risque terroriste".
Il a rappelé que les forces françaises étaient parvenues à prendre, dans la nuit de vendredi à samedi, le contrôle de la zone de l'aéroport de Gao ainsi que le pont sur le fleuve Niger. "Plusieurs groupes terroristes ont combattu les forces françaises intervenant en soutien de l'armée malienne. Leurs moyens mobiles et plusieurs sites logistiques leur appartenant ont été détruits", a affirmé le ministère.
Le ministre de la Défense a adressé "ses plus vives félicitations aux militaires français ayant rempli ces dernières heures avec succès la mission qui leur a été confiée". "Leur détermination, leur courage et la qualité de leur préparation ont permis de mener à bien cette opération complexe au nord-est du Mali, décidée par le président de la République pour libérer Gao des groupes terroristes djihadistes", a relevé le ministère.
3 700 militaires français sont aujourd'hui engagés dans l'opération Serval, dont 2 500 sur le territoire malien. Les contingents africains de la Misma et des troupes tchadienniens atteignent désormais un effectif de plus de 1 900 militaires, a ajouté la Défense.
Réunions au sommet pour l'UA et la Cédéao
De leur côté, les pays membres de l’Union africaine (UA), réunis à Addis-Abeba jusqu’à lundi, ont entamé des discussions sur les renforts attendus par les forces françaises et maliennes sur le terrain au Mali.
En parallèle, une nouvelle réunion des membres du comité des chefs d’état-major d’Afrique de l’Ouest a lieu, également samedi, à Abidjan. Le but affiché : assurer "la montée en puissance de la Misma", selon des déclarations du général Soumaïla Bakayoko, le patron de l'armée ivoirienne, dont le pays préside actuellement la Cédéao.
Bien que des troupes en provenance du Niger, du Nigeria, du Tchad, du Togo et du Burkina Faso aient commencé depuis plusieurs jours à arriver à Bamako, Markala ou Sévaré, le déploiement ne se fait qu’au compte-goutte. Environ un millier de soldats africains sont actuellement engagés au sein de la Misma, la Mission internationale de soutien au Mali. Un chiffre qui est encore loin des 6 000 promis pour épauler les forces françaises et maliennes face aux islamistes.
"Il ne faut pas faire la politique de l'autruche. C'est une menace pour l'ensemble de la région et peut-être même au-delà. Il faut faire face à ses responsabilités. […] Il faut aider le Mali à se débarasser de ce fléau", a déclaré un ministre tchadien dont le pays, qui n’est pas membre de la Cédéao s’est engagé à envoyer 2 000 soldats.
Mais au-delà de l’organisation logistique, il faut également former, équiper, nourrir ces troupes et cela coûte cher. Au cœur des débats du sommet de l’UA devrait donc se trouver le financement, qui n’est toujours pas clairement établi, de la Misma.
FRANCE 24 avec dépêches
Dans un communiqué, le ministère a affirmé que "dès ce (samedi) soir, Sadou Diallo, le maire de Gao réfugié à Bamako, a pu regagner sa ville, accompagné par le colonel Dacko".
Le colonel Didier Dacko, qui commandait le groupement opérationnel malien à Sévaré, "a valeureusement combattu à Konna face aux djihadistes le 10 janvier", a souligné l'entourage du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian. "Le rétablissement des pouvoirs réguliers à Gao suppose de mettre hors d'état de nuire les terroristes djihadistes et de permettre le bon fonctionnement des autorités locales", a-t-il fait valoir.
"Le dispositif militaire sur la zone de Gao se renforce aujourd'hui avec l'engagement de militaires maliens et d'une unité du sous-groupement tactique interarmes", a précisé le ministère. "Les armées africaines et malienne devront sécuriser la région de Gao et ses habitants, progressivement libérés du risque terroriste".
Il a rappelé que les forces françaises étaient parvenues à prendre, dans la nuit de vendredi à samedi, le contrôle de la zone de l'aéroport de Gao ainsi que le pont sur le fleuve Niger. "Plusieurs groupes terroristes ont combattu les forces françaises intervenant en soutien de l'armée malienne. Leurs moyens mobiles et plusieurs sites logistiques leur appartenant ont été détruits", a affirmé le ministère.
Le ministre de la Défense a adressé "ses plus vives félicitations aux militaires français ayant rempli ces dernières heures avec succès la mission qui leur a été confiée". "Leur détermination, leur courage et la qualité de leur préparation ont permis de mener à bien cette opération complexe au nord-est du Mali, décidée par le président de la République pour libérer Gao des groupes terroristes djihadistes", a relevé le ministère.
3 700 militaires français sont aujourd'hui engagés dans l'opération Serval, dont 2 500 sur le territoire malien. Les contingents africains de la Misma et des troupes tchadienniens atteignent désormais un effectif de plus de 1 900 militaires, a ajouté la Défense.
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Réunions au sommet pour l'UA et la Cédéao
De leur côté, les pays membres de l’Union africaine (UA), réunis à Addis-Abeba jusqu’à lundi, ont entamé des discussions sur les renforts attendus par les forces françaises et maliennes sur le terrain au Mali.
En parallèle, une nouvelle réunion des membres du comité des chefs d’état-major d’Afrique de l’Ouest a lieu, également samedi, à Abidjan. Le but affiché : assurer "la montée en puissance de la Misma", selon des déclarations du général Soumaïla Bakayoko, le patron de l'armée ivoirienne, dont le pays préside actuellement la Cédéao.
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Bien que des troupes en provenance du Niger, du Nigeria, du Tchad, du Togo et du Burkina Faso aient commencé depuis plusieurs jours à arriver à Bamako, Markala ou Sévaré, le déploiement ne se fait qu’au compte-goutte. Environ un millier de soldats africains sont actuellement engagés au sein de la Misma, la Mission internationale de soutien au Mali. Un chiffre qui est encore loin des 6 000 promis pour épauler les forces françaises et maliennes face aux islamistes.
"Il ne faut pas faire la politique de l'autruche. C'est une menace pour l'ensemble de la région et peut-être même au-delà. Il faut faire face à ses responsabilités. […] Il faut aider le Mali à se débarasser de ce fléau", a déclaré un ministre tchadien dont le pays, qui n’est pas membre de la Cédéao s’est engagé à envoyer 2 000 soldats.
Mais au-delà de l’organisation logistique, il faut également former, équiper, nourrir ces troupes et cela coûte cher. Au cœur des débats du sommet de l’UA devrait donc se trouver le financement, qui n’est toujours pas clairement établi, de la Misma.
FRANCE 24 avec dépêches
PREMIÈRE PUBLICATION: 26/01/2013
EN SAVOIR PLUS
L’armée française face à des opérations « sporadiques » sur ses positions (armée)
26 January 2013
Des « éléments terroristes » menaient « sporadiquement » samedi des « opérations de harcèlement » dans la zone de Gao, où des forces françaises ont pris le contrôle de l’aéroport et du pont Wabary sur le fleuve Niger, a indiqué à l’AFP l’état-major des armées françaises.
« Il n’y a pas de combat à proprement parler » dans cette région du nord-est malien, a précisé un porte-parole de l’état-major, « mais sporadiquement, des opérations de harcèlement avec des éléments terroristes qui ouvrent le feu sur nos positions après s’être abrités dans des zones urbaines »L’armée française face à des opérations « sporadiques » sur ses positions (armée)
Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad
Liste des membres du Conseil de la Transition de l’Etat de l’Azawad
par أشامور محارب مجهول, samedi 26 janvier 2013, 08:07 ·
Unité – Liberté - Justice
Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad
C.T.E.A
Décret N° 0003/2013/P-CTEA
Le Secrétaire Général du Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA), Président du Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad (CTEA),
- Considérant la décision du congrès ayant porté son choix sur sa personne en qualité du Secrétaire Général du Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA) et Président du Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad (CTEA),
- Considérant la décision du congrès ayant élu Monsieur Mahamadou Djéri Maïga en qualité du vice-président du CTEA,
- Vu les textes organiques du MNLA, conférant au Secrétaire Général du Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA), Président du Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad (CTEA), les pouvoirs et prérogatives de nommer et mette fin aux fonctions d’un ou des membre (s) du CTEA,
Décrète :
Article 1er : sont nommées en qualité de membres du Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad (CTEA), les personnes ci-après :
1. Chargé de la Défense et des Relations Militaires : Colonel Mohamed Ag Najim
2. Chargé de la Sécurité Intérieure : Monsieur Sidi Mohamed Ag Saghid
3. Chargé de la Justice : Monsieur Assayid Ben Bella
4. Chargé des Affaires Etrangères : Monsieur Ibrahim Ag Mohamed Assaleh
5. Chargé de l’Administration du Territoire : Monsieur Alla Ag Elmehdi
6. Chargé de la Culture, de l’Artisanat et du Tourisme : Monsieur Mahmoud Ag Aghaly
7. Chargé de l’information et de la Communication : Monsieur Mossa Ag Attaher
8. Chargé de la Santé : Monsieur Abdoul karim Ag Matafa
9. Chargé des Droits de l’Homme : Monsieur Moussa Ag Acharatoumane
10. Chargé de la Prédication et de l’Orientation Islamique: Monsieur Mossa Ag Mohamed
11. Chargé des Anciens Combattants et des Familles des Martyrs : Monsieur Youssouf Ag Acheickh
12. Chargé de l’Energie et des Mines : Monsieur Ahmed Mohamed Ag Aguidy
13. Chargé des Affaires Juridiques : Monsieur Habaye Ag Mohamed
14. Chargé des Finances : Monsieur Altanata Ag Ebalagh
15. Chargée de la Femme, de l’Enfant et de la Famille : Madame Lalla wallet Mohamed
16. Chargé des Transports et des Routes: Monsieur Sidaghmar Ould Ahwaïssine
17. Chargé de l’Elevage et des Ressources Animales : Monsieur Ghabdy Ag Mohamed Ibrahim
18. Chargé de l’Environnement et de la Protection de la Nature : Monsieur Baye Ag Diknane
19. Chargé de la Jeunesse et des Sports: Monsieur Salah Mohamed Ahmed Abba
20. Chargé des télécommunications : Colonel Assalat Ag Haby
21. Chargé de l’Agriculture et des Ressources Piscicoles: Monsieur Abdoulaye Seydou Dicko
22. Chargé des Chefferies Traditionnelles et de l’Autorité Coutumière : Monsieur Mohamed Ousmane Ag Mohamedoune
23. Chargé des Domaines et Biens Publics : Colonel Hassane Ag Fagaga
24. Chargé du Plan et de la Statistique : Monsieur Ambeïry Ag Rhissa
25. Chargé de l’Eau : Monsieur Mohamed Zeyni Aguissa Maïga
26. Chargé du Commerce : Monsieur Akli Iknane Ag Souleymane
27. Chargé de la Cohésion Sociale et de la Réconciliation Nationale : Monsieur Mohamed Ag Intalla
28. Chargée de l’Action Humanitaire et des Réfugiés : Madame Nina Wallet Intalou
29. Chargé de l’Economie : Monsieur Zeïd Ag Kiri
30. Chargé de l’Emploi et de la Formation Professionnelle : Colonel Mohamed Rhissa Ag Mohamed Assaleh
31. Porte-Parole de la Présidence du CTEA: Monsieur Hamma Ag Sidahmad
Article 2 : Le CTEA est l’organe exécutif du MNLA, chargé de la mise en œuvre de la politique intérieure et extérieure de l’Etat de l’Azawad.
Article 3 : En fonction des besoins, le CTEA, peut être élargi à d’autres compétences de l’Azawad pour la prise en charge de certaines préoccupations.
Article 4 : le présent Décret prend effet à compter de sa date de signature.
Fait à Tinzawatane Azawad, le 15 Janvier 2013
Le Secrétaire Général du MNLA, Président du CTEA
Billal ag Shérif
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