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TESHUMAR.BE est dedié à la CULTURE du peuple touareg? de ses voisins, et du monde. Ce blog, donne un aperçu de l actualité Sahelo-Saharienne. Photo : Avec Jeremie Reichenbach lors du Tournage du film documentaire : « Les guitares de la résistance Touaregue », à la mythique montée de SALUT-HAW-HAW, dans le Tassili n’Ajjer-Djanet- Algérie. 2004. Photo de Céline Pagny-Ghemari. – à Welcome To Tassili N'ajjer.
vendredi 4 novembre 2011
Libye : les Touaregs au secours des fils de Kaddafi
touareg(89) - Seif el Islam Kaddafi(82) - Saadi Kaddafi(21) - Mahamadou Issoufou(1)
04/11/2011 à 16h:24 Par Jeune Afrique
Seif el-islam s'est réfugié au Niger. © AFP
Avec l'aide de combattants touaregs proches d'ex-rebelles nigériens, Seif el-Islam et Saadi Kaddafi se sont réfugiés au Niger où le pouvoir en place leur accorde une protection de fait. Les fils de l'ancien "Guide" libyen envisageraient de fuir vers le Nord-Mali.
Seif el-Islam, le plus recherché des fils Kaddafi, a franchi la frontière entre la Libye et le Niger le 25 ou le 26 octobre, sous la protection de combattants touaregs proches des ex-rebelles nigériens Rhissa Ag Boula et Agaly Alambo – aujourd’hui conseillers respectivement de Mahamadou Issoufou, le chef de l’État, et de Hama Amadou, le président de l’Assemblée.
Fuite vers le Nord-Mali
Début septembre, déjà, Saadi, un autre fils du défunt « Guide », était passé au Niger avec l’aide d’Alambo, avant de se livrer aux autorités. Seif el-Islam est recherché par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité. Il chercherait à rejoindre Abdallah al-Senoussi, l’ancien chef des services secrets libyens, qui s’est réfugié dans le nord du Mali avec l’aide des combattants de l’ex-rebelle touareg Ibrahim Ag Bahanga, mort fin août dans un accident de voiture. « Pour eux, explique une source sécuritaire, le Nord-Mali est la meilleure cache possible, car le régime n’y contrôle rien. »
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Libye : les Touaregs au secours des fils de Kaddafi | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
touareg(89) - Seif el Islam Kaddafi(82) - Saadi Kaddafi(21) - Mahamadou Issoufou(1)
04/11/2011 à 16h:24 Par Jeune Afrique
Seif el-islam s'est réfugié au Niger. © AFP
Avec l'aide de combattants touaregs proches d'ex-rebelles nigériens, Seif el-Islam et Saadi Kaddafi se sont réfugiés au Niger où le pouvoir en place leur accorde une protection de fait. Les fils de l'ancien "Guide" libyen envisageraient de fuir vers le Nord-Mali.
Seif el-Islam, le plus recherché des fils Kaddafi, a franchi la frontière entre la Libye et le Niger le 25 ou le 26 octobre, sous la protection de combattants touaregs proches des ex-rebelles nigériens Rhissa Ag Boula et Agaly Alambo – aujourd’hui conseillers respectivement de Mahamadou Issoufou, le chef de l’État, et de Hama Amadou, le président de l’Assemblée.
Fuite vers le Nord-Mali
Début septembre, déjà, Saadi, un autre fils du défunt « Guide », était passé au Niger avec l’aide d’Alambo, avant de se livrer aux autorités. Seif el-Islam est recherché par la Cour pénale internationale pour crimes contre l’humanité. Il chercherait à rejoindre Abdallah al-Senoussi, l’ancien chef des services secrets libyens, qui s’est réfugié dans le nord du Mali avec l’aide des combattants de l’ex-rebelle touareg Ibrahim Ag Bahanga, mort fin août dans un accident de voiture. « Pour eux, explique une source sécuritaire, le Nord-Mali est la meilleure cache possible, car le régime n’y contrôle rien. »
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jeudi 3 novembre 2011
Libération de deux manifestants cet après-midi à Kidal
Nous nous excusons du retard de la notification dû au réassemblage de certaines informations sur les conditions de détention de nos frères. Mossa Ag Assikadaye et Baye Ag Hatan ont été arrêté suite à la manifestation organiser le 01 Novembre 2011 dans plusieurs villes et villages de l’Azawad, pour commémoré le premier anniversaire du MNLA (Mouvement National pour la libération de l’Azawad) et l’attachement au droit à l’auto-détermination de l’Azawad.
Ils ont été arrêtés vers la fin de la manifestation par des policiers maliens pour être ensuite conduit au commissariat de police de Kidal. Après quelques heures de détention au commissariat, ils furent transférés un peu plu tard dans la nuit vers le camp militaire 1 de Kidal située au quartier Agamali. Les deux manifestants furent questionnées toute la nuit par des militaires sur la manifestation de la dite journée. Les questions étaient entre autres : Qui vous a dit de manifester ? Qui est derrière cette manifestation ? Pourquoi avoir manifesté ? Que veut dire Azawad ? Nous notons avec peine qu’ils ont été harceler et menacer durant l’ensemble de l’interrogatoire. C’est avec peine que nous constatons qu’ils ont reçu des coups et blessures de la part des militaires armées de matraques. C’est ainsi que Baye Ag Hatan fut blessé à la tête.
Cet acte barbare contre des manifestants Azawadiens, démontre une fois de plus le non-respect par les autorités maliennes de certaines normes international dont, il s’est engagé à respecter en les ratifiant. La liberté de manifesté, la liberté d’opinion, le droit d’être Azawadien, le droit de s’autodéterminée, le droit de décider de son devenir politique, économique et culturel… font parties de ces devoir du Mali qu’il ne respecte pas. L’état Malien démontre une fois de plus les griffes de dictature par les quels il gouverne de force nos populations et occupe nos terres.
Un Etat qui se dit démocratique et respectueux des droits humains ne doit en aucune manière se comporter de la sorte contre des manifestants aussi pacifique qui non d’autres armes que des pancartes et des slogans légitime.
Nous remercions toutes les bonnes volontés qui se sont mobilisé notamment à Kidal (les jeunes, les femmes, les élus, les notables etc) pour la libération de nos frères.
Nous lançons un appel aux organisations de défense des droits humains, à l’instar d’Amnesty international, d’Human Right Watch, Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), le Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies (HCNUDH), la Cour Africaine des Droits Humains, la CEDEAO de ne pas resté muet face aux violations des droits humains dont font l’objet nos populations.
Un appel que nous renouvelons à l’encontre de toute les structures des Nations Unies, de l’Union Africaine, de la Ligue Arabe, aux puissances étrangères et sous régionale qui doivent d’avantage s’impliqué dans la résolution de cette crise entre le Mali et l’Azawad qui n’a que trop durée.
Nous rappelons de même aux autorités Malienne, à l’armée malienne ainsi qu’à tous ceux qui maintiennent cet état de fait d’occupation sur nos terres à la plus grande retenu contre nos populations par peur de ne pas voir la situation s’aggraver d’avantage. Nous avons des moyens et les persécutions ne pourront être tolérées contre nos populations civiles.
Cet acte barbare contre des manifestants Azawadiens, démontre une fois de plus le non-respect par les autorités maliennes de certaines normes international dont, il s’est engagé à respecter en les ratifiant. La liberté de manifesté, la liberté d’opinion, le droit d’être Azawadien, le droit de s’autodéterminée, le droit de décider de son devenir politique, économique et culturel… font parties de ces devoir du Mali qu’il ne respecte pas. L’état Malien démontre une fois de plus les griffes de dictature par les quels il gouverne de force nos populations et occupe nos terres.
Un Etat qui se dit démocratique et respectueux des droits humains ne doit en aucune manière se comporter de la sorte contre des manifestants aussi pacifique qui non d’autres armes que des pancartes et des slogans légitime.
Nous remercions toutes les bonnes volontés qui se sont mobilisé notamment à Kidal (les jeunes, les femmes, les élus, les notables etc) pour la libération de nos frères.
Nous lançons un appel aux organisations de défense des droits humains, à l’instar d’Amnesty international, d’Human Right Watch, Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), le Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies (HCNUDH), la Cour Africaine des Droits Humains, la CEDEAO de ne pas resté muet face aux violations des droits humains dont font l’objet nos populations.
Un appel que nous renouvelons à l’encontre de toute les structures des Nations Unies, de l’Union Africaine, de la Ligue Arabe, aux puissances étrangères et sous régionale qui doivent d’avantage s’impliqué dans la résolution de cette crise entre le Mali et l’Azawad qui n’a que trop durée.
Nous rappelons de même aux autorités Malienne, à l’armée malienne ainsi qu’à tous ceux qui maintiennent cet état de fait d’occupation sur nos terres à la plus grande retenu contre nos populations par peur de ne pas voir la situation s’aggraver d’avantage. Nous avons des moyens et les persécutions ne pourront être tolérées contre nos populations civiles.
Le MNLA
Le Mali s’en prend aux manifestants civils et pacifiques de l’Azawad
C’est avec consternation que nous avons appris que dans la nuit du Mercredi 2 Novembre 2011 à Jeudi 3 Novembre 2011, des hommes armées sont rentrés dans la demeure de la cousine de feu Ibrahim Ag Bahanga à Kidal. Après avoir braqués leurs pistolets automatiques sur elles et ses enfants, ils lui ont demandés de leur faire sortir Ahmoudou Ag Iliass, un autre cousin du défunt Ibrahim Ag Bahanga. Heureusement pour Ahmoudou, il avait quitté la demeure peu avant l’arrivée des hommes en armes. Sans cela, Ahmoudou aurait subi au mieux le même sort que Mossa Ag Assikadaye et Baye Ag Hatan qui ont passés plus de 24h entre le commissariat de police et le camps militaire 1 de Kidal où ils ont reçu assez de coups et blessures de la part des militaires, en témoigne la blessure à la tête de Baye Ag Hatan.
Notons que cette intimidation des hommes à la solde du régime de Bamako fait suite à la manifestation populaire dans l’Azawad qui a eu lieu le Mardi 1er Novembre 2011 à l’appel du MNLA (Mouvement National de Libération de l’Azawad) pour commémorer le premier anniversaire du MNA (Mouvement National de l’Azawad) un an plutôt. La cousine de feu Ibrahim Ag Bahanga avait pris part à la manifestation qui a eu lieu à Kidal et qui fut considéré comme étant un succès historique par des experts en société civile.
Ces intimidations illégales et illégitimes du Mali à l’encontre des manifestants pacifiques ne feront qu’augmenter le nombre et la conviction des manifestants et convaincre encore plus ceux qui ne l’étaient pas que le Mali n’est pas un pays démocratique qui accepte l’utilisation des armes démocratiques par le peuple pour faire entendre sa voix.
Au moment où les révolutions et les mouvements des indignés touchent le monde entier, le Mali nous montre qu’il n’est pas différent des régimes Ben Ali, Moubarak, Kadhafi, Saleh etc qui ont tous entravés la liberté de manifester de leur peuple. Si le Mali ne change pas, il finira par connaitre un sort similaire à ces régimes.
Depuis les préparatifs des manifestations dans l’Azawad, un nombre important de personnes nous ont reportés être suivi en permanence par des hommes à la solde du régime de Bamako. Nous appelons tous les manifestants dans l’Azawad et ailleurs de prendre encore plus de précautions pour leur sécurité.
Vidéos de la manifestation populaire à Kidal, le 1er Novembre 2011
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Veilleité indépendantiste au Nord Mali : Que doivent faire les autorités ? | ||||||||||||||||||
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