lundi 31 mars 2014

QUI SOMMES-NOUS ?

  • Association TAMOUDRE,“Touareg, vie et survie”
    Informations, réflexions et actions ciblées autour du DÉVELOPPEMENT et des ... Lire la suite

TERRITOIRES ET ACTIONS

'SONGS FOR DESERT REFUGEES'
, compilation pour les réfugiés du nord-Mali

Appel aux DONS

  • Nous gardons notre dignité malgré une situation de plus en ... Lire la suite

NOUVELLES DE LÀ-BAS

  • Nouvelles de Tessalit – 22 MARS 2014
    « Rien, il ne se passe rien, il n’y a rien de neuf, ... Lire la suite

Comment survivre à la peur, à l’insécurité sans se mettre en danger soi-même?

Entre les frontières de Libye, de l’Algérie, du Nord-Mali et du Niger, dans les villes de Kidal, de Tamanrasset, de Djanet et d’Arlit se développe parallèlement à la guérilla un trafic de stupéfiants qui, contrairement au passé, est destiné à la consommation locale. Le marché est saturé de différents types de drogue et d’alcool, de provenance douteuse, donc doublement dangereuse de surcroît.Une jeunesse au chômage et sans espoir devient une cible parfaite pour ce business lucratif qui génère des énormes flux d’argent. Ainsi les jeunes qui acceptent de se prêter à ce jeu dangereux se détruisent à petit feu et sont les plus exposés. La prise de ces stupéfiants, tel le LSD par exemple, un hallucinogène puissant et dangereux, favorise les recrutements au sein des mouvements armés qui dominent en maître dans ce no man’s land. Comme s’il fallait exciter et anesthésier les combattants avant de les envoyer à la boucherie et les laisser mourir dans une totale inconscience ! 
Motivation à la consommation  du LSD
LSD (2)
Crédit photo: http://www.einslive.de/sendungen/plan_b/soundstories/2012/08/120814_hundert_nackte_kaengurus.jsp
« Durant quarante-huit heures, tu te fous de  tout. Ça motive, on peut te bastonner et ça te  fait rire… Mais certains ne s’en remettent pas et  on commence à en avoir peur… »
Les Etats  concernés ne parviennent pas à éradiquer ce  trafic et sont loin d’apporter un challenge à  cette jeunesse sacrifiée. Le développement de  cette économie mafieuse et destructrice ne fait  qu’amplifier un climat de violence et de terreur  chronique : taux de criminalité en hausse, vol,  prostitution, délinquance et folie deviennent monnaie courante.
Le LSD sous forme de comprimés, que les gens appellent le plus souvent « médicament » comme s’ils voulaient en minimiser le danger, transite du Niger via In Khalid, Tinzawatene à destination de  Tamanrasset. On en trouve également à Gao, Ménaka et à Kidal en provenance aussi du Niger. Ce sont des femmes, vendeuses ambulantes, qui vendent ces comprimés à Niamey. Selon des témoignages, elles se procurent ces comprimés dans des « pharmacies » de la sous-région. Le Burkina–Faso est devenu ces derniers temps le maillon fort de cette industrie.  On rencontre ces femmes aussi à Tamanrasset (elles parlent le zarma). Le LSD le plus fréquent se présente en  comprimés rouges de 7 à 10 ou de 10 à 12 comprimés par plaquette pour environ 1 000 francs CFA (1, 50 €) le comprimé. A Bamako, ces mêmes comprimés, il y a quelques années, coûtaient 250 francs CFA (moins de 50 centimes d’euro) l’unité. Présentement, il y a une forte demande de ces comprimés en Algérie, affirment des sources sérieuses. Certains groupes armés (sic MUJAO) introduisent ces comprimés dans les bidons d’eau que consomment leurs membres avant d’aller combattre.
Effets et dangers du LSD
« Le LSD est un hallucinogène puissant. Il fait partie des perturbateurs du système nerveux central. Il entraîne des modifications sensorielles intenses, provoque des hallucinations, des fous rires incontrôlables, des délires. Ces effets, mentalement très puissants, sont très variables suivant les individus et le contexte d’utilisation. Un trip dure entre cinq et douze heures, parfois plus longtemps.  Il arrive qu’un consommateur panique en cours d’intoxication : on parle alors de bad trip. Dans un tel cas, il faut rassurer et apaiser la personne dans une ambiance calme, sous un éclairage tamisé. Il faut être prudent, car l’individu intoxiqué peut être dangereux pour lui ou pour son entourage. L’administration d’alcool peut aggraver la situation. L’usage du LSD peut générer des accidents psychiatriques graves et durables. La redescente (down) peut être très désagréable : l’usager peut se retrouver dans un état confusionnel pouvant s’accompagner d’angoisses, de crises de panique, de trouble paranoïde, de phobies et de délire. »
« Personnellement, j’ai vu ces comprimés pour la première fois lorsqu’on est entré à In-Khali. Après avoir chassé les Arabes, nous avons saisi d’énormes quantités de toutes les qualités.
Les chefs ont tout regroupé, ils ont sûrement vendu le reste, mais il faut reconnaître qu’il y avait parmi nous de vrais consommateurs de ces choses-là, surtout ceux qui viennent de la Libye. Ils consomment le LSD, mais le truc est sous forme de médicament, je pense rouge. J’ai rencontré ces médicaments à mon arrivée en Libye. Là-bas, je me suis demandé si ce n’est pas toute la jeunesse qui les consomme. Car je les ai vus en quantité et leurs consommateurs sont agressifs et souvent très violents. Il y avait un véritable désordre qui y régnait à cause de la prise de ces comprimés.
Personnellement, je n’ai jamais eu la malchance d’en essayer et je rends grâce à Allah de m’avoir épargné. Mais AQMI (Al-Qaïda au Maghreb islamique) les utilise, bien sûr, pour le recrutement et pour pousser les enfants à combattre. En tout cas, l’Algérie lutte sérieusement contre ce fléau. En Libye, il n’y a pas d’Etat, et au Mali, rien de sérieux… Il paraît que ça coûte cher, mais je ne connais pas le prix exact. »
Où va-t-on ?
Depuis des millénaires, cet espace a été un marché à ciel ouvert, une zone où transitaient les esclaves et toutes sortes de marchandises, le sel de Taoudéni, les épices, les tissus et l’or. Aujourd’hui, les seuls biens qui transitent sont les armes, les clandestins et la drogue. Bientôt, ce sera le tour des camions et des citernes d’or noir et de « yellow cake » venant des exploitations du sous-sol, tant convoités par des multinationales, et des prédateurs sans états d’âme qui apporteront leur lot de malheur, de drame et de fausses illusions. Entre-temps, une génération n’aura plus d’autre choix que de se défoncer pour supporter la douleur du quotidien et la perspective d’un avenir d’autant plus sinistre que leurs aînés, responsables réellement ou autoproclamés, paraissent les avoir littéralement abandonnés.
Un peu comme si ces parents tant respectés et chéris avaient, en fait, renoncé à leur construire un avenir et préféraient la solution définitive du suicide collectif ! Il faudra au plus tôt éclaircir cette question…
http://assaleck.mondoblog.org/2014/03/29/comment-survivre-la-peur-linsecurite-sans-se-mettre-en-danger-soi-meme/

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vendredi 28 mars 2014

Algérie:«Le scrutin présidentiel se déroulera dans un contexte géopolitique inquiétant»

Letempsdz.com
«Le scrutin présidentiel du 17 avril prochain se déroulera dans un contexte géopolitique qui suscite des inquiétudes fondées», a estimé le politologue Abdelaziz Djerad.
S’exprimant sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale, M.Djerad a mis en exergue le contexte géopolitique actuel dans lequel va se dérouler l’élection présidentielle 2014.
«La situation géopolitique qui entoure l’Algérie, à savoir les tensions dans l’espace sahélo-maghrébin, les crises en Libye, en Tunisie et en Egypte représente une menace pour le bon déroulement du prochain scrutin et suscite par conséquent de vraies inquiétudes pour la stabilité de la région», a-t-il souligné, ajoutant que «la Libye est en pleine crise, car il n’y a pratiquement pas d’Etat. Ce pays est submergé par le tribalisme, le régionalisme et le séparatisme. Des groupes armés imposent leur diktat, des mafias veulent vendre le pétrole libyen en dehors du circuit et si ça continue ainsi, bientôt il n’y aura plus de Libye».
«Quant à la Tunisie, poursuit-il, le parti islamiste Ennahda tente de reconsidérer ses positions politiques car il a bien compris qu’un Etat théocratique n’est pas réalisable en Tunisie, mais en dépit d’une Constitution qui a fait un large consensus dans la société, la Tunisie n’est pas encore sortie de sa situation de crise».
Selon M. Djerad, la Libye représente un vrai danger pour l’Algérie. «La Libye est devenue un réservoir d’armes et une menace pour nous, tandis que la Tunisie est un pays qu’il faut suivre de très près, parce qu’il y a toujours des répercussions dans nos frontières par rapport à ce qui se passe dans la lutte contre les groupes terroristes», a-t-il soutenu.
Concernant le Mali, l’intervenant dira : «Il est clair qu’il reste un pays fragile, ce qui représente une menace persistante car nos frontières sont immenses avec ce pays».
A ce propos, l’intervenant a estimé que ces tensions menacent fondamentalement les intérêts stratégiques de l’Algérie.
«La sécurité nationale de notre pays est menacée», a-t-il martelé. «L’Algérie est en train d’éviter difficilement de vivre les soulèvements qui ont atteint les pays arabes. Surtout qu’il y a des puissances étrangères qui tentent par tous les moyens des actions à la fois politiques, diplomatiques, sécuritaires pour fragiliser la position de notre pays», a-t-il expliqué.
Pour préserver la stabilité sécuritaire du pays, le politologue préconise une vigilance accrue sur le plan sécuritaire, économique, politique et diplomatique.
«Il faut faire un travail de fond pour préserver la sécurité nationale et éviter un glissement vers un avenir incertain», a-t-il souligné. L’invité de la Chaîne III a, en outre, indiqué que la stabilité de l’Algérie dépend de la stabilité de toute la région arabe.
«L’Algérie est un pays central, s’il tombe, c’est toute la région qui va s’embraser», a-t-il assuré, arguant : «Nos partenaires étrangers ont bien compris, après la décennie noire et les attentats du 11 septembre 2001, qu’il ne s’agit pas d’une situation interne seulement».
Répondant par ailleurs à la question du rôle de la prochaine élection présidentielle dans la stabilité de l’Algérie, M.Djerad a fait savoir que le prochain scrutin est important dans le processus politique algérien, car selon lui, tous les candidats posent un certain nombre d’objectifs qui insistent sur la sécurité du pays.
«Le prochain scrutin présidentiel est important certes, mais pas une fin en soi, car le plus important, c’est ce qu’il adviendra du pays», a-t-il conclu.
Feriel Arab
http://www.letempsdz.com/content/view/118391/1/
27 mars 2014

Retrouvons Youssouf Ag Rhissa et ses collègues sains et saufs:48 ième jour que le MUJAO détient nos frères

48 ième jour que le MUJAO détient nos frères :
1) Ousmane Elansari
2) Youssouf Ag Rhissa
3) Amical Ag Handaka
4) P. Diarra
5) Sidi Albakaye Ag AhmeideIls nous manquent et nous pensons tout le temps à eux…Que Dieu les protège et leur donne la force de surmonter tout ceci.
otagesCicr
 

10-02-2014 Communiqué de presse

Genève / Bamako (CICR)

Mali : disparition d’un véhicule transportant une équipe du CICR

– Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) confirme avoir perdu le contact samedi 8 février avec l’un de ses véhicules entre Kidal et Gao, dans le nord du Mali. Quatre membres du personnel et un auxiliaire vétérinaire se trouvaient à bord.

« Ils étaient partis de Kidal pour regagner leur base à Gao lorsque nous avons perdu le contact, dans des circonstances que nous ignorons encore.  Il est important de ne pas faire de spéculation, bien qu’aucune piste ne soit écartée. », a declaré Christoph Luedi, chef de la délégation du CICR au Mali. « Extrêmement préoccupés par le sort de nos collègues, nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour les localiser au plus vite ».
Au Mali, le CICR travaille sans relâche pour fournir une aide humanitaire impartiale à la population affectée par le conflit. « Nous appelons au respect de nos équipes, pour qu’elles puissent accomplir leur travail », a ajouté M. Luedi.
Le CICR est en contact avec toutes les parties en présence afin de localiser ses collaborateurs. Tout sera mis en œuvre pour les retrouver.
Informations complémentaires :
Valery Mbaoh Nana, CICR Bamako, tél. : +223 76 99 63 75
Wolde-Gabriel Saugeron, CICR Genève , tél. : +41 22 730 31 49 ou +41 79 244 64 05
Alexis Heeb, CICR Genève, tél. : +41 79 218 76 10, @AHeebICRC
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https://www.facebook.com/pages/Retrouvons-Youssouf-Ag-Rhissa-et-ses-coll%C3%A8gues-sains-et-saufs/499518053503093
27 mars 2014

Désenclavement des régions du nord : près d’un milliard de franc CFA pour l’étude de faisabilité de la route transsaharienne Kidal-Timiaouine

Malijet - 
L’Assemblée nationale a adopté, au cours de sa session plénière de ce jeudi 27 mars, le projet de loi autorisant la ratification de l’accord de prêt d’assistance technique signé, en janvier dernier, entre le gouvernement du Mali et la Banque islamique de développement (BID) relatif au financement de l’étude de faisabilité de la route Kidal-Timiaouine ou «route transsaharienne» d’une longueur de 365 kilomètres. Cet important projet de loi a été adopté avec 128 voix pour, zéro abstention et zéro voix contre.
Le projet de construction de la «route transsaharienne» s’inscrit dans le cadre de la politique de désenclavement intérieur et extérieur de notre pays. Il permettra aussi de réduire le coût des transports et d’encourager le flux des échanges et des investissements au Mali. Mais aussi et surtout, il vise à promouvoir l’intégration entre le Mali et l’Algérie.
D’une longueur estimée à 365 kilomètres, cette route traversera de nombreux villages de la région de Kidal. Elle partira de la ville de Kidal à Timiaouine (frontière algérienne) en passant par Abeibara, Boureissa, etc.
Pour l’étude de faisabilité de ce projet, la Banque islamique de développement met à la disposition du Mali un prêt d’assistance technique d’un montant de 994 millions F CFA. Un prêt remboursable sur une période de 16 ans.
Il ressort de l’accord relatif à ce projet que l’assistance technique sera mise en œuvre sur une période de 24 mois, à partir de la date d’entrée en vigueur.
Au cours des débats, les députés ont insisté sur l’aspect sécuritaire. Car, il y a des craintes que ce projet ne soit tué dans l’œuf par des attaques, sabotages ou par des prises d’otages.
Rappelons que plusieurs autres projets de loi autorisant la ratification d’accords de prêt ou de financement relatif à des projets d’adduction d’eau potable à Bamako seront examinés par les députés au cours de cette session.
L’adoption de ces projets de loi vise à assurer l’approvisionnement en eau potable des populations de Bamako et environs.
A. Berthé  
Source: Malijet,http://www.malijet.com/la_societe_malienne_aujourdhui/97443-d%C3%A9senclavement-des-r%C3%A9gions-du-nord-pr%C3%A8s-d%E2%80%99un-milliard-de-franc-c.html
28 mars 2014

Algerie/Paralysie totale de la production des entreprises, notamment étrangères les Touaregs se sont élevés pour dénoncer le chômage


Mohamed Benarous pour Tamurt.info
ENSP,GSP et DTR ont été fermées depuis 4 jours par des groupes de chômeurs, empêchant ainsi les travailleurs de rejoindre leurs postes de travail. Les travailleurs sont toujours empêchés d’entrer ou de sortir, et les camions d’approvisionnement en carburant et autres denrées alimentaires sont également interdits d’accès.
25/03/2014 - 20:05 mis a jour le 25/03/2014 - 20:14 par Mohamed Benarous

Des dizaines d’habitants de la commune d’In Amenas, (située à 200 km au nord du chef-lieu de la wilaya d’Illizi) ont fermé trois entreprises ENSP,GSP et DTR pour protester contre leur situation socio-économique qui ne cessent de se dégrader à cause du chômage galopant dans le sud algérien qui nourrit l’Algérie avec son pétrole et son gaz.
ENSP,GSP et DTR ont été fermées depuis 4 jours par des groupes de chômeurs, empêchant ainsi les travailleurs de rejoindre leurs postes de travail. Les travailleurs sont toujours empêchés d’entrer ou de sortir, et les camions d’approvisionnement en carburant et autres denrées alimentaires sont également interdits d’accès.
La situation était toujours tendue et les activités de ENSP et GSP et DTR étaient entièrement paralysées dans plusieurs chantiers d’In Aménas. C’est la troisième fois en l’espace d’un mois que ces 3 bases d’In Aménas sont fermées par des chômeurs.
Le procureur de la République est intervenu en vain pour libérer les lieux toujours occupés par des jeunes chômeurs Touaregs qui réclament des emplois.
Le wali d’Illizi, Ali Madhoui, a déclaré à la presse que le recrutement de ces jeunes chômeurs doit passer par l’Anem, car, selon lui, l’instruction du Premier ministre est basée sur la « formation avant recrutement », ce que ces jeunes n’acceptent pas.
Mohamed Benarous, pour Tamurt.info

4 Messages de forum


  • le sud algérien qui nourrit l’Algérie avec son pétrole et son gaz ?en tant que kabyle,je ne me souvien pas d’avoir reçu quoique ce soit du sud ou du centre.les richesses du sud ont tjrs nourrit et nourrissent encore l’appetit vorace de la maffia qui a prit tout le pays en otage !
    • tu es menteur et tu le sais aussi bien que tout les kabyles, il faut dire qu on nous a donné peu par raport a ce qui est supposé nous etre donné.mais dire que rien nous a ete donné c est un pure mensonge, tu peu le remettre dans ta poche. par contre si tu di que itarguiyen ont ete marginalisé en dehors des ville du sud là je te suivrai. ce peuple normalement le desert lui apartient a lui seul, il y ete pendant des millenaire.et a cause de la colonisation ils ont ete coupé en plusieur morceau car la france ne se soucie pas des peuples mais de leur interets economique, puis ils se trouvent forcé de cohabiter avec d autres peuple et sous sa domination meme, c est le mm cas pr led curdes qui reclame leur pays qu ils avaient avant. itarguiyen sont des berberes et le desert normalment leur appartient, il faut que les choses reviennent à leur place d origine. pr la kabylie, il faut sauver ce q il faut sauver car elle va direct vers l arabisation totale. l etat possede les moyen pr en finir avec la kabylie, la propagande, la politique, la police, et surtout la religion celle qui a arabisé le reste des algerien dans le cours des 14 ciecles d islamisation. la faute est á nous c est sûr, nous avons negligé notre langue et culture au detriment d une autre par compassion á l islam.libre á tous de choisir sa religion, mais j ne vois pas prquoi sacrifier sa langue et culture encestral. deja, j aurai aimé faire ces commentaire en amzigh a la place d une langue etrangère.mais on a pas encore l alphabet sur les claviers, domage.
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Beyond The Yellowcake Roadhttps://www.blogger.com/blogger.g?blogID=8477145301341568962#editor/target=post;postID=392550663478696086

The yellowcake road winds from the port city of Cotonou, Benin, deep into the radiant Sahara, slowly disintegrating along the way. By the time trucks reach the mining town of Arlit, where high-grade uranium ore is mined from open pits and then processed into yellowcake, there are more potholes than pavement. The French for potholes is “nests of chickens”; the potholes on the remotest leg of the yellowcake road are so cavernous that locals call them “nests of camels”. Trucks thud along over thorny, sandy Saharan plains at sluggish speeds to deliver dynamite to the mines and return back to the port charged with barrels of yellowcake. Arlit and its mining installations form a hard-to-protect island of industry in the oceanic desert, which was rebel-run territory as recently as five years back. Saharan jihadis have struck at it three times since 2010.
It took two days and twenty hours of driving to cross the 600 miles of dilapidated road between the mining town and Niger’s capital city of Niamey. I rode in a green, mid-1990’s Land Cruiser with a team of southern Nigerien television journalists dispatched to report on the abysmal conditions of working in the open-pit mines and to cover the annual Festival of the Aïr, which celebrates Tuareg culture and tradition. The journalists grew cagey as we penetrated deeper into the northern desert. Sadou, the cameraman, frightened us with tales of Tuareg rebels and evil marabouts. The path cut across dried riverbeds with inclined banks. “This is the most dangerous part,” Sadou would say. “This is where the rebels would always ATTACK!” Thwap, his hand five-finger snapped. The stereo clattered with autotuned Haoussa-language mp3s from Maradi and Zinder. One singer was gangsta rap-style threatening to assault any artist that ripped off his songs. “He caused many divorces,” Sadou said. “Married women would leap over the walls of their houses to come see him sing. That’s why the marabouts prayed for him to die young.” Yards from the road, Tuareg nomads drove donkeys saddled with water bags and paid us no notice.
The LandCruiser slammed along the pitted path, passing burnt and freshly laid automobile carcasses. The uranium road runs parallel to the power lines, a reminder that this is the only state infrastructure for hundreds of miles in either direction. There are mining company airplanes that shuttle in and out the Europeans. Everything else is brought or sent by truck, including the refined uranium ore known as yellowcake. We passed by a broken-down truck filled with dynamite, guarded by a pickup mounted with a 12-7 mitrailleuse and 8 gendarmes. Other trucks bring everything from mangos to camels to food staples from southern Niger—nothing much grows near Arlit beyond the scrub that feeds the nomads’ beasts. Trucks from northern Nigerian cities like Kano and Kaduna bring Chinese-made consumer goods, stacks of cheap plastic chairs spilling out the back, contents stitched together with ropes and net. Transportation of chemical products used in processing and refining uranium is so poor that they spill out onto the road. We saw several little hills of yellow powder that the journalists said was sulfur. A coolant called pyralin is often left lying about—any earth it touches becomes barren for at least fifty years.
Nigerien yellowcake is shipped from Cotonou to France, where it amounts to 40 percent of the global supply of Areva, France’s public nuclear energy company. France derives 75% of its electricity from nuclear energy. But while this is considered “clean” power in Europe, extraction and transportation in Niger have proven disastrous for the environment.
Alhacen Almoustapha, a yellowcake factory mining operator and civil society leader recalls yellowcake spills on at least three occasions in the past 15 years. The first two resulted in yellowcake spilling into the streets. The highly radioactive processed ore, no longer simply transported in drums, is now triple wrapped and sealed before being loaded onto trucks. So when a yellowcake truck upended in 2011 in Tchirozerein, minerals did not escape into the environment.
We spent the night interviewing miners—some are ill from radiation exposure, others were fired for unionizing—and left Arlit early the next morning in a convoy bound for the Aïr massif, where the country’s largest annual Tuareg cultural celebration was about to begin. This time, there were no roads, and the 4x4s and mounted vehicles raced across the desert’s sandy plains and hauled themselves over piles of rock, kicking up monstrous mushroom clouds of dust.
Our destination, the tiny Tuareg oasis town of Iferouane, served as a rear-base for Tuareg rebels seeking political autonomy and shares of uranium receipts in the 1990’s. After that rebellion and another in 2007, the town was not only geographically Niger’s remotest—it was also the country’s most saturated with landmines. Today, with Tuareg leader (and Iferouane native) Brigi Raffini holding the office of Prime Minister, Niger is a regional paradigm of ethnic harmony and integration. If there is one key factor in Niger’s steadfastness while conflicts rage on three of its five borders—southern Libya, northern Mali, and northern Nigeria—it is the Sahelian country’s successful politics of decentralization, which has empowered local actors in far-flung areas. A massive de-mining campaign was launched in the lead-up to the festival, which was seen as a coming-out party to celebrate little, remote Iferouane’s importance on the national scale as a center of Tuareg culture.
The mood grew lighter and the landscapes more beautiful as our convoy of military officers, uranium miners, northern Nigerien elected officials—resplendent in grand boubous despite the crushing heat and clouds of dust—and southern camera crews made its way north from Arlit. There were frequent stops to quick-fix the seething vehicles or take photos of nomad girls with whips and skirts drawing water from wells. Tuaregs need nothing other than a large rock and a few air pumps to quick-fix anything that goes wrong with a four-wheel vehicle. My southern Nigerien co-passengers were not so skilled with the terrain. At around 11:00, we hit a large rock from a bad angle, bending the axle on the front-left tire. They decided to leave the Land Cruiser behind and bundled me into the first convoy vehicle with space for an extra passenger.

Front axle, victim of a desert boulder. Photo by Hannah Armstrong Sandwiched between two drunk uranium miners in the back seat of a stripped 1980s Land Cruiser, I struggled to get my bearings. “You live in Arlit?” I asked. “We live in Arlit, work in Arlit, and die in Arlit,” one shouted, as another replied, “Where’s the beer! Traveling without beer is haram.” They produced two cold Bière Nigers from somewhere behind us. They learned I am from Miami and yelled in my ears: “50 Cent!” “Rihanna!” “Ferrari!” Two beers in, both dropped suddenly and at the same time into a slumber so deep that even repeatedly banging their heads into glass windows as we climbed the rocky slope failed to rouse them. The driver, sober, described to me his job recycling and repurposing rainwater that collects in the mine-pits; contaminated, it is used in the treatment and processing of the ore.
By the time we finally arrived, filthy and weighed down by our road-battered bodies, at the idyllic oasis of Iferouane, I was conscious that neither the hapless camera crew nor the drunk miners could be relied on to procure shelter and a bucket-bath. “Guns and no booze,” I thought with weary approval, accepting an invitation into a nimble, air-conditioned Land Cruiser manned by gallant Tuareg ex-rebel customs officials. They commandeered four Tuareg tents near the festival site—baptizing the space “Cite Douaniere” and designating one for me—and then took me shopping for buckets and a sponge. We spent an extremely pleasant evening sipping tea as sheets of stars stretched out above us. I helped one reply to a romantic text in English from his girlfriend, whom he had met a few months back while searching a passenger bus for contraband. She was so beautiful that he asked her to step out and took her phone number. “I miss you my beloved,” she had texted him, flaunting her English. “I miss you too I can’t wait to see your beautiful face” I wrote back for him. She was due to arrive the next day—the customs officer had hired a driver to bring three of his girlfriends in the same vehicle to the festival. Another showed me a picture of his baby “Mujao” who was born on the very day last year that terrorists from the MUJAO (Movement for Oneness and Jihad in West Africa) al Qaeda splinter group attacked the Somair mines at Arlit, damaging them so badly they were forced to close for six months. The customs officials reclined like lords as the teinde beats floated in the air and subordinate artisans plied us with tea. They filled my head with stories of the rebellions, political corruption, customs banditisme, girlfriends, wives, and terrorists, all of which I was too tired to retain.
The Tuareg women of Gougaram were so fleshy and shimmery they drew extra applause.
Rested and fresh the next morning, I visited the de-mining stand at the festival site, speaking with ex-rebels and military who had conducted de-mining operations together. Large light-skinned noble women were shimmering in indigo and dripping with gold. Groups of women pounded on a drum and chanted poems immortalizing the brave deeds of warriors. Land Cruisers and Hiluxes drove onto the field and discharged voluminous turbaned men. During the opening ceremony, each of the communes of the Air massif paraded before a tribune of hosted leaders. There were the Tuaregs of Timia carrying oranges and grapefruits that grow in their Saharan oasis. The Tuareg women of Gougaram were so fleshy and shimmery they drew extra applause. It was announced that there would be camel races and la lutte traditionel—a West African form of nearly-naked wrestling that is the national sport of Niger, although Tuareg men are restricted by modesty from participating. This was peace; this was unity. It might be 104 degrees, the villagers might be made to stand too long in the sun, a number of vehicles might have fallen by the wayside on the perilous approach, but here we were, celebrating not only the beauty of Tuareg culture and land but its centrality to the country and state of Niger.
“Today we have peace. Peace has returned,” Mohamed Anoko, a leader of the ’90’s rebellion, said, before reading a list of what would nevertheless need to be done so as to consolidate and preserve this peace. First on the list was fixing the roads. The opening ceremony speeches dragged on as the sun climbed higher. A loud explosion suddenly rang out and the tribune, the speakers, and the crowd fell queasily silent. Mounted military pick-ups with special forces raced off in the direction of the boom. A pick-up, we later learned, had hit a landmine. Officially, it was left over from the old rebellion, although some well-placed security officials privately wondered if it hadn’t been freshly placed. The festival proceeded joyfully and with thousands in attendance, but some said a shadow had been cast.
Hannah Armstrong
Hannah Armstrong is a fellow of the Institute of Current World Affairs.
http://roadsandkingdoms.com/2014/beyond-the-yellowcake-road/

Lorp-Sentaraille. Plus de réconfort avec Partage handicaps

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Les membres de l'association./Photo DDM.
Les membres de l'association./Photo DDM.
Yves Carmouze ouvrait la réunion en faisant la rétrospective de 2013 qui a été une année riche. En effet, apporter plus de réconfort aux personnes pénalisées par le handicap, voilà le leitmotiv des membres de Partage handicaps. Grâce aux donateurs et partenaires, il se tisse un lien pour faire vivre la solidarité et le tissu social. Ils deviennent les soldats de l’écoute et du soutien. De nombreuses actions ont été menées avec des dons de matériel ou d’aides plus ponctuelles telles que des aménagements de logements, des aides pour des soins, la participation pour un monte-escalier, des visites à des personnes hospitalisées ou hébergées en foyer. Des dons de matériel (fauteuils, déambulateurs et autres) ont été faits, d’autres ont été envoyés au Niger à l’association Les Enfants de l’Aïr. Irène Pariot souhaiterait qu’il y ait un site Internet opérationnel qui permette de recueillir les différentes animations et informations relatives aux loisirs accessibles aux personnes en situation de handicap et qui pourrait tisser un lien social. Des réunions ont eu lieu avec le club de handball de Saint-Girons qui souhaiterait créer «Hand ensemble», projet avec ou sans fauteuil ouvert aux personnes en situation de handicap. Différents goûters et réunions ont été organisés en 2013. Le repas de Noël a rencontré un vif succès en collaboration avec la Croix-Rouge ; le Téléthon, avec les deux chorales, a rapporté 1 000 €, merci à C. Pariot et à Jean. Le budget est excédentaire. Yves remerciait la Caisse d’épargne, représentée par M. Chinchilla, pour ses dons et le Lions-Club pour sa générosité, le maire de la commune pour son aide.
Le bureau est constitué d’Yves Carmouze, Pierrette Mangin, Jean Biart, Anne-Marie Martinez ; André Balard est un nouveau membre du conseil d’administration. Les votes à l’unanimité validaient l’exercice 2013. Un apéritif rassemblait les participants.
La Dépêche du Midi

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