mardi 25 juin 2013

Comment Areva laisse mourir ses travailleurs au Niger - http://www.

Comment Areva laisse mourir ses travailleurs au Niger -

opendemocracy.net/5050/karima-bennoune/algeria-twenty-years-on-words-do-not-die … culturicide by extremists in Algeria, resonates in Libya, Mali, Niger and Pakistan. Whats a people without culture

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Témoignage d’une Française établie au Niger (juin 2013): Suite aux alertes « Conseils aux voyageurs »

Témoignage d’une Française établie au Niger (juin 2013): Suite aux alertes « Conseils aux voyageurs » du minis...

La 3e dimension en un papier: Un complot au #Niger avec des détails foufou et des sms complotistes

Tentative d'attentat visant ENCORE Areva dejouée au Niger.

SINTEC I (Sahara Intelligence Consulting 1)/Arlit-Niger:arrestations de plusieurs personne.Elles sont soupçonnés de vouloir perpetrés des attentats visant la Cominak une filière d'Areva Leader mondial du nucleaire français dont une des societés sur place a deja fait l objet d'une prise d'otages et d'un attentat perpetrés par Aqmi et le Mujao.A suivre..

Azawad la tragédie berbère à répétition, ttes les rébellions noyées ds le sang avec la bénédiction de la France

Azawad la tragédie berbère à répétition, ttes les rébellions noyées ds le sang avec la bénédiction de la France

Les 3 constantes qui accompagnent toutes les occupations (The independent) -- Robert FISK:

Intéressant cet enregistrement de la chaine « France 2 » d’une discussion entre l’ambassadeur russe au Conseil de sécurité Vitali Tchourkine, le premier ministre du Qatar et le ministre qatari des affaires étrangères Hamed Ibn Jassem, où ce dernier s’est adressé à l’ambassadeur russe au Conseil de sécurité en lui disant


Intéressant cet enregistrement de la chaine « France 2 » d’une discussion entre l’ambassadeur russe au Conseil de sécurité Vitali Tchourkine, le premier ministre du Qatar et le ministre qatari des affaires étrangères Hamed Ibn Jassem, où ce dernier s’est adressé à l’ambassadeur russe au Conseil de sécurité en lui disant :

« Je vous préviens de toute utilisation du veto par la Russie sur la crise en Syrie, sinon elle perdra tous les pays arabes »

L’ambassadeur russe a répondu à Ibn Jassem en toute froideur : « Si vous me reparlez sur ce ton de nouveau, il n y aura plus une chose qui s’appelle le Qatar »

Ce dernier à poursuivi en s’adressant cette fois au Premier ministre du Qatar : « Vous êtes ici au Conseil de sécurité en tant qu’invité, respectez nous et reprenez votre taille initiale, d’ailleurs je ne m’adresserai plus a vous, je parle au nom de la grande Russie, et qu’avec les grands »

En effet, les mises en garde du ministre des affaires étrangères du Qatar n’ont eu aucun effet sur la décision Russe, où cette dernière avec la Chine ont utilisés le double droit de veto au Conseil de sécurité, pour annuler un projet de résolution qui condamne le régime Syrien.

France 2

Le chérif de Nioro appelle à boycotter le candidat du FDR à la présidentielle

MNLA-Mali:«Il faut aller vers une sorte de système fédéral»Hama Ag Sid Ahmed. Chargé des relations extérieures du MNLA

Hama Ag Sid Ahmed. Chargé des relations extérieures du MNLA

«Il faut aller vers une sorte de système fédéral»

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le 24.06.13 | 10h00 Réagissez

| © D. R.

Six jours après la signature de l’accord provisoire de cessez-le-feu entre les représentants des populations du Nord-Mali, en conflit avec le Sud depuis 2012, et le gouvernement malien de transition, Hama Ag Sid Ahmed, chargé des relations extérieures du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) et porte-parole du Conseil transitoire de l’Etat de l’Azawad (CTEA), a accepté de faire pour nous le point sur l’évolution de la situation sur le terrain dans la région de l’Azawad et de nous livrer la position de son mouvement par rapport à l’élection présidentielle qu’organisera le gouvernement provisoire malien au mois de juillet prochain. Il énumère également les attentes des populations du Nord. Des attentes qu’il espère,dit-il, voir se concrétiser à la faveur des négociations qui auront lieu après cette échéance électorale.

-Comment l’accord intérimaire, signé par le MNLA et le HCUA, avec Bamako, la semaine dernière à Ouagadougou, a-t-il été perçu par les populations du nord du Mali ?
L’accord de Ouagadougou a trois objectifs principaux. Le plus important pour la communauté internationale est la tenue d’une élection présidentielle au Mali, au plus tard fin juillet, pour qu’il y ait un gouvernement légitime, que la transition parte et que l’on ne puisse plus voir le capitaine Sanogo dans les rouages politiques. Deuxièmement — et cela est très important — le document signé instaure un cessez-le-feu, entre les deux mouvements MNLA/HCUA et le pouvoir transitoire de Bamako, pour créer les conditions de sécurité acceptables pour la tenue de l’élection, que je viens d’évoquer.
Enfin, il consigne les assurances de la communauté internationale concernant la tenue d’un dialogue sur le statut politique de l’Azawad,  entre les mouvements signataires et le futur gouvernement malien qui sera issu des urnes. Tout le reste est  poussière. Les populations qui vivent dans l’Azawad et les chefs de famille souhaitent qu’il y ait une paix. Ces mêmes populations ont toutefois peur que cette paix ne soit que précaire et de courte durée. Il faut dire qu’elles ont été habituées à des retournements de situation aussi dramatiques que spectaculaires. Par conséquent, elles sont dans le doute et se posent encore  et légitimement beaucoup de questions.
-Qu’en pensent les populations qui ont quitté la région ?
Celles qui ont été chassées, qui ont fui par  peur des exactions et qui ont tout laissé derrière elles n’applaudissent pas au protocole de cessez-le-feu signé à Ouagadougou. Elles disent qu’elles ont été trop humiliées, qu’elles ont enduré la famine et la soif. Bien évidemment, pour tous ces gens, on est encore très loin de la réparation attendue et espérée. Les populations disent qu’elles avaient cru en quelque chose, mais que maintenant cet espoir est en train de s’estomper. Les responsables des mouvements savent ce qu’il reste donc à faire : consentir plus d’efforts pour gagner «les cœurs» de ces réfugiés et de ces familles déplacées et leur redonner espoir. Au-delà, vous devez savoir que toutes ces populations du Nord ne veulent qu’une seule chose : une vraie paix qui prenne en compte leur souffrance et leurs aspirations.
-Craignez-vous que l’accord ne soit pas respecté ?
L’expérience le montre, les autorités maliennes ne savent pas ce que signifie un engagement. Cela ne fait pas partie de la culture des politiques de Bamako. Il se pourrait qu’il y ait des exceptions, mais nous n’arrivons pas encore à en trouver. S’agissant de l’accord signé dans la capitale burkinabè, il y a un élément nouveau qui n’existait pas dans les précédents accords. Il s’agit de la présence de la communauté internationale. Il n’est pas exclu que Bamako trouve des arguments pour remettre en cause le cessez-le-feu. Je pense qu’ils sont un peu piégés par la présence des forces françaises qui tentent, tant bien que mal, de faire le tampon entre les parties en conflit et d’éviter des dérapages. Mais tout peut venir de ceux qui pilotent la transition à Bamako, et cela avec un accord tacite du capitaine Haya Sanogo. Tous souhaitent prolonger la transition. Ils ont encore  «des courses à faire ».
-Pourquoi le MNLA et le HCUA ne fusionnent-ils pas ? Sur quels éléments s’opposent-ils encore ?
Ces deux mouvements partagent l’essentiel. Les divergences portent uniquement sur des questions de gestion et de méthodologie. Il est d’ailleurs prévu, dès que le contexte le permettra, une grande rencontre entre les deux organisations. Nous mettrons alors les choses à plat et tenterons de surmonter nos divergences et, pourquoi pas, jeter les bases d’une nouvelle formation. En tout cas, nous tenterons d’avancer dans le sens des aspirations des populations. Je ne dis pas que cela se fera dans l’immédiat. Il y a effectivement un petit souci de leadership. Les divergences, pouvant être qualifiées de subjectives, peuvent être assez facilement dépassées. Mais avant, chacune des organisations a un grand besoin de se restructurer et se reconstruire. A partir de là, une fusion sera effectivement possible. En tout cas, ce n’est qu’à cette seule condition qu’une nouvelle formation sera vraiment efficace.
-Commence-t-on à mettre en œuvre les dispositions de l’accord de Ouagadougou ? Y a-t-il une présence des pouvoirs publics maliens dans Kidal maintenant ?
Comme vous le savez, il y a une commission mixte de sécurité — dont les membres sont déjà connus — qui a commencé ces travaux. Certains séjournent à Kidal, en ce moment, pour établir des contacts avec les responsables militaires des deux mouvements. On parle de quelques policiers et gendarmes qui sont entrés dans la ville. Ils ne sont néanmoins pas opérationnels. Je dirais qu’ils ont été  «cantonnés». La ville est sécurisée par le MNLA et le HCUA.
Il est prévu également, dans les prochains jours, que des infirmiers militaires de l’armée viennent à Kidal. Tout cela doit se discuter. Les officiers, les cadres militaires des deux mouvements se concertent en ce moment sur la meilleure attitude à adopter, par rapport à cette nouvelle donne. Et vu ce qu’on leur propose, beaucoup  ne cachent pas leur irritation.
-L’accord ne parle pas uniquement que de commission mixte, n’est-ce pas ?
Effectivement ! Il est également question de la venue d’une section de l’armée malienne qui sera noyée dans les forces étrangères. Cette section devrait aussi se cantonner, prendre la même position que l’ensemble des troupes des mouvements présents. Dans le cas contraire, cela pourrait compliquer les choses. Seules les forces neutres feront en principe tampon pour éviter tout dépassement sur place. Il faut savoir qu’à Kidal, une toute petite étincelle peut provoquer très vite un grand incendie. Il faut éviter de prendre des risques. Les «pompiers» ne sont pas toujours présents au bon moment et là où il faut.
Dans cette région, personne n’en a jamais vu d’ailleurs. Concernant ce que vous appelez les pouvoirs publics, il y a déjà une présence symbolique d’Ag Albessati, l’ancien chef du protocole du gouverneur de Kidal, qui tente, tant bien que mal de faire fonctionner l’administration avec le soutien de l’ensemble des organisations présentes sur place et des chefs de tribu. Cela dit, nous ne pouvons vraiment pas parler du volet lié à l’administration tant qu’il n’y aura pas eu de vraies négociations sur le statut politique de l’Azawad. Là, nous verrons quel type d’administration il faudra mettre en place (un Parlement autonome qui légiférerait et qui aurait donc de vrais pouvoirs politiques et juridiques, etc.). C’est une grosse bataille qui n’est pas encore engagée, qu’il faudra mener le moment venu.
-A quoi le MNLA et le HCUA vont-ils s’atteler durant les prochains jours ?
Les responsables des deux mouvements vont surtout s’atteler à faire adhérer la population, les responsables politiques et miliaires et les combattants à l’accord provisoire. Ils vont leur expliquer l’intérêt et les perspectives qu’il offre. Ils auront une tâche très difficile. Il n’est pas aisé, en effet, de faire accepter la présence, par exemple, d’une section de l’armée malienne à Kidal. Il faudra aussi veiller à convaincre la nouvelle génération de la justesse de la démarche, car il se peut qu’elle perçoive la situation différemment. Il est important, également, d’aller à la rencontre des populations déplacées et refugiées en Algérie, en Mauritanie, au Burkina Faso, ainsi que tous les membres de toutes les cellules présentes à l’étranger. Cette mission de sensibilisation sera assurée par quatre commissions. Elles devraient être mises en place dans les jours qui viennent. Elles auront à assumer une lourde responsabilité.  
-Le gouvernement malien provisoire organisera le 28 juillet prochain une élection présidentielle. Le MNLA aura-t-il un candidat ? S’il ne présente pas de candidat, soutiendra-t-il quelqu’un d’autre ?
Oui, le gouvernement de transition organise, effectivement, une élection présidentielle en juillet. Elle sera bâclée, j’en suis convaincu. Mais, comme diraient certains, l’essentiel est «qu’elle se tienne et qu’on sauve les apparences», même si on sait qu’à Bamako on n’est pas prêts. Les Maliens, dans leur ensemble, n’accordent pas d’intérêt aux élections. Ils constatent que cela n’apporte rien à celui qui dort dans la rue et encore moins à celui ou celle qui termine ses études. Pour revenir à l’Azawad, à ma connaissance le MNLA n’a aucun candidat. Le contexte ne s’y prête pas. Il y a trois ans, nous aurions peut-être pu choisir un ou plusieurs candidats. Mais ce n’est pas le cas maintenant. Nous savons, par ailleurs, que les hommes politiques, en lice à Bamako, ne se préoccupent pas de ce qui se passe dans le Nord. Alors à quoi bon ? Nous avons notre idée pour les prochaines élections.
-Soixante jours après l’élection présidentielle, il est prévu l’ouverture de négociations entre Bamako et les représentants des populations de l’Azawad. Quelle serait, pour vous, la solution idéale à la crise que vit votre région depuis plusieurs mois ? Quels seront les principaux points que vous défendrez ?
Pour sortir durablement de la crise, il faut doter la région d’une vraie autonomie politique, aller vers une sorte de système fédéral «ouvert». Cela permettra assurément aux populations de prendre en main leur avenir. Faire autrement, c’est semer les germes d’une nouvelle escalade. Je pense qu’en ce moment personne ne souhaite cela. Ce qui est positif aussi, c’est que la communauté internationale commence timidement à prendre conscience de cette situation particulière qui prévaut dans la région. Ce n’est pas tout.
Les militaires maliens ont aussi assez donné de vies pour que survivent les politiques de Bamako. Car, il faut se poser la question : en contrepartie, que gagnent les familles de tous ces soldats morts ? La réponse est : rien ! Pis encore, elles sont oubliées, délaissées par les politiques. Récemment d’ailleurs, des militaires maliens ont préféré se faire radier que de revenir dans ces régions. Ils savent que ce n’est pas leur combat. Idem pour les populations de l’Azawad qui se font massacrer par l’armée et des miliciens noirs de Gao. Elles aussi finissent par être oubliées aux frontières des pays limitrophes. Cela pour dire qu’il est temps que la communauté internationale  — et c’est son devoir —  s’implique réellement pour aider à instaurer une paix définitive dans la région et faire en sorte que les nombreuses tragédies vécues par les populations ne se reproduisent plus.

 
Zine Cherfaoui

lundi 24 juin 2013

Agadez et Timia/Perles du Sahara



Mali / Processus électoral - Election présidentielle au Mali : les cartes d’électeurs sont arrivées

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Faire la guerre au Mali contre les terroristes islamistes et aller au Qatar qui les soutient!FH découvre la "réalpolitik"!

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#Sahel: "otages repérés au Mali et les négociations sont en cours avec AQMI"

: "otages repérés au Mali et les négociations sont en cours avec AQMI" (source sécuritaire)

Diplomates algériens enlevés au Nord-Mali ,Le chantage du Mujao

Rapt de touristes étrangers : Perpétuité pour l’un des complices d’El Para

5 h Arabie Saoudite : Le roi Abdellah appelle Netanyahu à bombarder la Syrie!

Cantonnement de quelques gendarmes maliens à l'aéroport de Kidal sous la protection de la France/

Cantonnement de quelques gendarmes maliens à l'aéroport de Kidal sous la protection de la France/

Trois non-dits sur le Moyen-Orient cette semaine…



1. La succession au Qatar: L'abdication ou du moins le retrait de l’émir du Qatar au profit de son fils Tamim (né en 1980) renforcera au plus haut point les relations très privilégiées entre la France et le Qatar. En effet, le jeune Tamim Ben Hamad Al-Thani, prince héritier, deuxième fils de l'émir Hamad avec Mouza Bint Nasser Al-Mousned et président du Comité olympique du Qatar, est également l'actionnaire majoritaire, à hauteur de 100%, du Paris Saint-Germain Football Club. Il est derrière la véritable OPA (ou razzia) du Qatar en France: palaces et bâtisses de prestige (L'hôtel Martinez à Cannes, le Palais de la Méditerranée à Nice, le Concorde Lafayette, l'hôtel du Louvre à Paris mais aussi le somptueux hôtel Lambert sur l'île Saint-Louis à Paris, les casinos Barrière Croisette et Les Princes, l'immeuble abritant le Figaro et le Carlton de Cannes, etc.); participations tentaculaires s'étendant de Total à Veolia Environnement; intérêt soutenu pour l'avion de combat Rafale de Dassault, pour les chantiers navals, pour EDF, ELF, Suez et la filière électronucléaire française. De fait, le tandem Paris-Doha fonctionne grâce au pragmatisme des dirigeants Qatari qui ne s’embarrassent d'aucun a priori idéologique comme le font les saoudiens. A Ryad, le gouvernement socialiste français fait grincer des dents et disqualifie ipso facto Paris en tant qu'allié sûr.
2. Hollande en Jordanie: En visite en Jordanie, un des pays clés de l'alliance régionale contre la Syrie, le Président français François Hollande a qualifié l'ASL ou l'armée syrienne libre, une des composante de la rébellion en Syrie, d'armée de libération nationale tout en l'appelant à "chasser les extrémistes des zones qu'ils ont occupés en Syrie". Or, les organisations extrémistes et surtout Jobhet Ennossra (Front des Partisans) sont les fers de lance de la rébellion syrienne. Hollande a également évoqué un accroissement de l'aide financière que la France octroie à la Jordanie pour faire face ou gérer les camps de réfugiés syriens. Annoncée à 100 millions d'euros, cette aide se renforcera de 50 millions supplémentaires. Outre le fait que ces lignes de financement proviennent du Qatar via le Qatar Investment Authority, l'aide de la France en Jordanie concerne surtout la gestion de trois camps militaires spéciaux où des militaires français supervisent l'entraînement d'unités rebelles et leur adaptation avec des systèmes d'armes antichar tels que le Milan. Les jordaniens apprécient: leur pays a failli être envahi en 1970 par une division blindée syrienne, au lendemain des événements connus sous le nom de "septembre noir"...
3. Afflux d'armes: la livraison des armes aux rebelles et aux volontaires étrangers venus combattre en syrie le "régime impie" du Président Bashar Al-Assad ne date pas du jour où l'Union européenne a décidé, sous impulsion franco-britannique- de les fournir. Ainsi, des fusils d'assaut FN FAL, AUG Steyr et G3 ou encore des fusils de précision Remington ont été introduits en Syrie depuis des mois. Idem pour les munitions venant d'Egypte, d'Israël, de Turquie et du Monténégro. Ce qui est nouveau est que désormais, des missiles antichar modernes comme le 9M113 Konkurs (fabrication russe), Milan (franco-allemands), Spike (israélien) venant de Turquie, des canons sans recul, des missiles SAM portables venant d'Arabie Saoudite et de Libye sont entre les mains des différents groupes rebelles. De l'autre côté, Moscou est prêt à fournir à Damas des BM30 Smerch et même des système S-400, plus sophistiqués que les S-300 dont des batteries ont bel et bien été déployées en Syrie.

By Strategika51 | 24 juin 2013 à 13h15

samedi 22 juin 2013

Comment Nicolas Sarkozy prépare son retour!!

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Eric Denécé«l’Amérique moderne est en train de réunir peu à peu toutes les pratiques d'1 Etat policier"

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Poutine : “Assad est combattu par des commandos, pas par le peuple”

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#Touaregs soutiennent l'UMP,car vu la gestion du dossier #Azawad par #Flamby c'est la cata pour nous les #socialos et je signe!!

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Leading female Libyan activist wins international prize

NIGER / PATRIMOINE: Niger: la porte du désert, Agadez, entre au patrimoine mondial de l’humanité

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