dimanche 13 janvier 2013

Mali: un haut responsable d'Ansar Dine tué dans les combats à Konna

Par AFP - Date: il ya 3 heures 50 minutes 32 réactions
BAMAKO - Un haut responsable du groupe islamiste armé Ansar Dine (Défenseurs de l'Islam), Abdel Krim dit Kojak, a été tué dans les combats ces derniers jours au Mali entre l'armée, appuyée par des troupes françaises, et les jihadistes, a-t-on appris dimanche de source sécuritaire régionale. Les combattants islamistes ont subi un véritable revers avec la mort d'Abdel Krim dit +Kojak+, a affirmé cette source sécuritaire régionale. Selon elle, ce lieutenant du chef d'Ansar Dine, Iyad Ag Ghaly, a été tué dans les combats qui ont opposé vendredi et samedi l'armée malienne et ses alliés français aux jihadistes à Konna, dans le centre du Mali. Ces combats ont fait 11 morts et une soixantaine de blessés dans les rang de l'armée malienne, selon le président malien Dioncounda Traoré. Un officier français, pilote d'hélicoptère, a aussi été tué. Aucun bilan n'a été communiqué pour le camp des jihadistes, mais l'armée malienne a évoqué une centaine d'islamistes tués à Konna. Ansar Dine est l'un des groupes islamistes armés occupant le nord du Mali depuis juin, avec les jihadistes d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). Tous prônent l'application de la charia, au nom de laquelle ils commettent de nombreuses exactions. Ansar Dine est surtout composé de Touareg maliens, comme son chef Iyad Ag Ghaly et Abdel Krim, membre de la tribu des Iforas (nord-est du Mali), âgé d'une quarantaine d'années. Abdel Krim avait rejoint Ansar Dine après avoir été le numéro deux du groupe du chef rebelle touareg Ibrahim Ag Bahanga, en lutte contre les autorités de Bamako, mort en août 2011 dans des circonstances non élucidées dans un accident dans le nord-est du Mali. (©AFP / 13 janvier 2013 10h48) Source: AFP

Non au genocide des civils Touaregs

vale Posté le 12/01/2013 à 23H10 sur Kidal info Non au genocide des civils Touaregs L'ONU doit mettre en place une force d'interposition entre les Touaregs de l'Azawad et le Mali du sud le plustot possible. Le langage genocidaire des responsables du sud Mali ne presage rien de bon.

Pourquoi la France entre en guerre au Mali

Pascal Riché | Redchef Rue 89
Manifestation au Mali pour une intervention militaire internationale, le 8 décembre (Harouna Traore/AP/SIPA) La France, craignant que le nord du Mali ne devienne, au cœur de sa sphère d’influence en Afrique, un sanctuaire de groupes terroristes, a décidé d’intervenir militairement, déployant vendredi des Mirages et des hélicotères de combats pour stopper une colonne de combattants avançant vers le sud. Il s’agit, selon le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault, de « stopper la menace terroriste ». Cette menace, a-t-il déclaré lors d’une courte intervention télévisée samedi matin, porte non seulement sur les pays africains, mais aussi « sur la France et l’Europe ».
L’intervention au Mali – qui a pour nom de code « Serval », du nom d’un félin africain – a été engagée après l’adoption, le 20 décembre, de la résolution 2085 par le Conseil de sécurité de l’ONU et après consultation des responsables des principales formations politiques françaises. La résolution de l’ONU « autorise le déploiement d’une force internationale au Mali », la MISMA.
Jean-Yves Le Drian lors de la conférence de presse, ce samedi matin (capture d’écran de BFMTV) Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a donné samedi matin une conférence de presse pour décrire la situation et évoquer l’autre opération militaire, engagée en Somalie pour libérer un agent de la DGSE (voir encadré). Selon lui, la menace en jeu est « la mise en place d’un Etat terroriste à portée de l’Europe et de la France, dans les mains de groupes proche d’Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) ». 1 Comment le nord du Mali est devenu une zone dangereuse ?
Carte du Mali et de ses pays frontaliers Le nord du Mali est occupé par des Touaregs rêvant d’indépendance. Certains d’entre eux sont arrivés de Libye après la chute de Kadhafi. Une offensive a été engagée en janvier dernier par des combattants indépendantistes du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA). Le 22 mars, le capitaine Amadou Aya Sanogo a pris le pouvoir à Bamako à l’occasion d’un putsch. Sanogo affirmait vouloir rétablir l’intégrité du pays, mais c’est l’inverse qui s’est produit : en moins de deux semaines, les forces du MNLA se sont emparées de la moitié nord du pays. L’OPÉRATION EN SOMALIE La France est également intervenue vendredi en Somalie, lors d’une opération commando au terme de laquelle on compte plusieurs morts. Un militaire français est mort, un autre disparu et l’otage qu’il s’agissait de libérer, Denis Allex (un agent de la DGSE), est également mort, selon Paris, vraisemblablement tué par ses geôliers. Du côté des ravisseurs, 17 combattants islamistes auraient été tués. Mais cette opération est distincte de l’intervention au Mali. D’autres groupes, concurrents du MNLA, ont émergé dans la région, recrutant des combattants. Certains sont liés à AQMI, comme Ansar dine ou le Mujao. Ils ont occupé une grande partie de la région, y imposant la charia de façon souvent violente (châtiments corporels, restriction des libertés...). Le problème dépasse la zone malienne : des groupes islamistes radicaux risquent de s’installer durablement dans la région sahélienne, de la Mauritanie au Nigeria. La communauté internationale, à commencer par la France et plusieurs pays africains, se sont donc alarmés de ce qui se passait dans cette région instable. Une force militaire de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), regroupant 15 pays, est actuellement entraînée pour une intervention. 2 Pourquoi la France est-elle intervenue vendredi ? L’opération s’appelle « Serval », du nom du félin africain (Wikimédias commons) Elle l’a fait à la demande du président malien, Dioncounda Traore, qui cherche à repousser une offensive des rebelles du nord : ils avaient capturé la ville de Konna jeudi et menaçaient de prendre Mopti (100 000 habitants). Avec l’appui de la France, l’armée malienne a repris Konna. La France a déployé des hélicoptères jeudi après midi, sur décision du président français. Ils ont stoppé la colonne se dirigeant vers Mopti, mais un pilote français, visé par un tir nourri, est mort des suites de ses blessures, a annoncé Jean-Yves Le Drian. Samedi matin, le ministre de la Défense a résumé ainsi la situation : « La situation au Mali est grave. Elle s’est détériorée rapidement ces derniers jours. Les groupes terroristes, profitant des délais inévitables pour la mise en œuvre des décisions internationales, ont lancé une offensive qui vise à déstabiliser le Mali dans son ensemble. (...) Il fallait réagir avant qu’il ne soit trop tard. » La prise de Konna par les rebelles, jeudi, posait abruptement la question de la crédibilité de l’ONU et de la France, et de leur capacité à aider un pays englué dans un conflit régional. 3 Quelle est la sortie de crise envisagée ? L’idée est de pousser le MNLA à négocier avec Bamako. En cas d’accord, il sera plus facile d’intervenir au nord du Mali contre les groupes les plus radicaux. Pour donner des chances à cette négociation, il fallait accroître la menace d’intervention militaire, d’où la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU. Les combattants islamistes du Nord entendent pour leur part faire dérailler le processus : d’où leur offensive vers le nord, jeudi. Une solution politique : elle passe par des négociations, avec le MNLA et tous les groupes non-terroristes acceptant d’entrer dans un tel processus. Elle passe également par un processus de réforme constitutionnelle et de nouvelles élections au Mali. Une intervention militaire internationale : la résolution de l’ONU ne précise pas de calendrier pour une intervention militaire forces de la CEDEAO doivent préalablement être formées, ce qui peut prendre plusieurs mois.
La taille du Mali comparée à celle de la France Il faut s’attendre, à l’automne prochain, à une intervention coordonnée, visant à traquer les groupes islamistes les plus radicaux. Mais le terrain, semi-désertique, n’est pas simple à couvrir : il est grand comme la France

Les jeunes Touaregs ont créé une nouvelle comédie 'Tenere Show' présentant de façon sarcastique et ironique la situation actuelle en Azawad

Cette série parle entre autres des terroristes. Les gens impliquées et à l'origine de ce programme représentent toutes les personnes constituant le peuple de l'Azawad comme les Touaregs, les Arables, les Songhai. Je vous conseille vivement de jeter un oeil!

Mali : l'Etat français joue les Rambo en première ligne

Par Pellet Jean-Marc / La Coste / St Remèze /07700 / Occitanie par France http://occitan-touareg.over-blog.com/article-mali-l-etat-fran-ais-joue-les-rambo-en-premiere-ligne-114312946.html Samedi 12 janvier 2013 Mali : l'Etat français joue les Rambo en première ligne L'État français joue encore au champion dans les conflits internationaux. Incapable de résoudre ses propres problèmes sociaux, économiques ou ethniques, il veut jouer au gendarme international. Comment expliquer que l'État français soutienne la création d'un État terroriste en "palestine" (État Arabe qui a officiellement comme but de jeter à la mer tous les Hébreux) et qu'il refuse le droit à l'autodétermination à l'ensemble des peuples de l'Azawad ? Sur cette terre, comme je l'écrivais il y a quelques mois, il se trouve non seulement des "sous-hommes" mais certainement aussi des "sous-peuples". Les Kurdes, les Touareg, les Basques, les Catalans et autres Occitans font partis de ces "sous-peuples" qui peuvent disparaître aux yeux de nos jacobins français de droite ou de gauche. L'incapacité de l'État français à entrevoir et donc à promouvoir une solution de type fédéral au Mali, mène à la situation actuelle. Oui la "France" a une responsabilité dans ce conflit militaire ; tout sauf la remise en question des tracés des frontières issus de la colonisation. Combien faudra-t-il de morts, militaires ou civils, pour qu'enfin l'intelligence prenne le dessus sur de purs intérêts économiques et politiques ? Quel est le Dieu qui a décidé in advertam aeternam que Bamako devait rester la capitale de cet ensemble multi-ethnique ? Quel Dieu a décidé que Niamey resterait éternellement la capitale de cet État artificiel qu'est le Niger ? Seuls de sordides intérêts peuvent expliquer ces terribles conflits. Il est temps d'arrêter ce double langage qui affirme que "tous les peuples sont égaux et ont tous ce droit inaliénable à devenir indépendant" quand, dans les faits, tous ces soi-disant pays démocratiques font le contraire. La stabilité du Sahel, comme les autres régions de notre planète, passe par cette acceptation première : tous les peuples sans État ont droit de se constituer en État autonome. Précision : un peuple est différent d'un autre par la langue et rien d'autre. Pour le Mali les Songhaïs et les Touareg ont ce droit, pour le Niger les Toubous, les Touareg et les Djermas (Songhaï) ont aussi ce droit. Pour ce qui est des Haoussas, c'est différent car pour ceux qui l’ignorent le Nord Nigéria est Haoussa... À ce jour l'État français perdure dans sa vision colonialiste comme au bon vieux temps de la SFIO, et ce n'est malheureusement que par la lutte acharnée que les différents peuples encore sous sa coupe trouveront le chemin de la liberté. "Liberté Égalité Fraternité", trois mots vides de sens pour l'ensemble des peuples colonisés. JMP Quelques liens pour la situation au Mali : ministère de la Défense libération bruxelles2 francetvinfo

zawad Iyyan Ghass Il y a 7 minutes FB· le pauvre capitaine sanogo alias "degaulle malien" a t il eu le coup de dadis camara sous-forme d'accident de voiture en revenant de sévaré?

SYNTHESE-La France intervient au Mali, la Cédéao va se déployer - Temoust.org

SYNTHESE-La France intervient au Mali, la Cédéao va se déployer - Temoust.org

Réfugiés de l’Azawad : la lettre de la détresse absolue.

dimanche 13 janvier 2013 par Tamilla Alors que les organisations humanitaires tirent la sonette d’alarme depuis plusieurs mois, certains médias, friands d’images sordides, préfèrent tendre caméras et micros à des terroristes islamistes qui font subir aux populations prises en otage les pires des "châtiments". Entre malnutrition, paludisme, infections respiratoires et autres maladies sévissant d’une façon particulièrement sévère dans cette partie du monde, les réfugiés de l’Azawad doivent décidément payer le prix fort de la libération de leur territoire, en proie aux appétits insatiables de divers prédateurs. En effet, depuis le début du conflit dans l’Azawad, ils sont près de 600 000 réfugiés à quitter leurs domiciles et fuir ce territoire. Si certains se sont déplacés vers la capitale du Mali, la plupart se sont plutôt installés dans les différents autres pays alentours au gré des conditions de circulation, de sécurité de la traversée, de la présence de possibilités d’accueil, etc. Face à cet afflux de réfugiés, l’assistance humanitaire internationale peine toujours à s’organiser en raison de l’accumulation et de l’aggravation des problématiques dans cette région. La crise alimentaire secouant la région - avant même l’éclatement du conflit dans l’Azawad -, la sécheresse et les différents troubles ayant éclaté dans plusieurs pays rendent les mouvements de populations extrêmement importants, compliquant ainsi davantage l’organisation de l’aide. L’exemple le plus parlant qui puisse témoigner de cette difficulté est probablement la situation chaotique que connait le camp de réfugiés à M’berra en Mauritanie. Depuis l’éclatement du conflit dans l’Azawad, ce camp, où les conditions semblent particulièrement difficiles, s’est vu, petit à petit, "vider" de ses réfugiés. Alors qu’ils étaient plus de 110 000 au début du conflit en janvier 2012, ils ne sont plus que quelques 54 000 réfugiés à continuer de vivre sur le site d’après les derniers chiffres du Haut-Commissariat aux Réfugiés. Dès les premiers mois de leur installation sur ce camp, situé à une quinzaine de kilomètres de Bassiknou, à l’est de la Mauritanie, les réfugiés azawadiens ont signalé un certain nombre de difficultés. Alyade, un jeune étudiant Touareg qui a vécu plusieurs mois dans ce camp avant de le quitter pour Nouakchott et que nous avons joint par téléphone, en dresse un portrait très sombre : absence d’abris pour de nombreuses familles après plusieurs mois d’installation ; absence de rationnement alimentaire pendant plusieurs semaines ; des chaines ou rangs humains allant jusqu’à mille personnes pour recevoir les rations dérisoires ; désœuvrement des jeunes et des enfants à défaut de disponibilité de structures pour leur prise en charge, etc. La désorganisation de l’assistance internationale sur ce camp est telle que la tension est palpable entre les institutions de coordination des populations réfugiées et les institutions onusiennes et autres ONG intervenant sur le site. En effet, d’après des sources fiables, les populations réfugiées sont victimes de traitements à la limite de la légalité vis-à-vis du droit International. C’est le cas par exemple des jeunes étudiants ayant décidé de quitter le camp de M’berra pour la recherche de meilleures solutions pour eux et leurs familles dans d’autres villes de la Mauritanie notamment à Nouakchott. Ces jeunes se sont vus refuser le statut de réfugié sans aucune raison alors qu’ils sont les seuls à même de venir en aide à leurs familles qui, dans les camps, ne trouvent pas de quoi se nourrir alors même qu’elles ont tenté de parer au manque de l’aide à travers le "système D" (vente de leur bétail, récupération et vente de bois, etc.). Outre la violence qui secoue leur territoire, ces jeunes doivent aujourd’hui faire face à une autre violence ; celle d’assister impuissants à la grande précarité économique et sociale que vivent leurs familles alors même qu’ils auraient la possibilité de les aider. Après différentes tentatives de résolution des difficultés sur le site, les instances de coordination des réfugiés avaient récemment mené une action nommée "semaine camp mort" où la coordination a sensibilisé tout le camp de M’Berra et a décidé de n’accepter aucun service du HCR ou du Programme alimentaire mondial (PAM), en dehors des services de santé, liés à Médecins sans frontières (MSF). Elles reviennent à la charge en interpellant directement cette fois le Président mauritanien à travers une lettre ouverte on ne peut plus explicite quant aux conditions difficiles dans lesquelles des milliers de familles azawadiennes sont condamnées à vivre. La situation particulièrement chaotique que connait le camp de réfugiés de M’berra doit rappeler à la communauté Internationale qu’elle doit faire face à sa responsabilité dans le conflit sévissant dans l’Azwad. Seule une aide à la construction d’un Etat juste et solide pourra permettre à tous les Azawadiens un retour à leur territoire pour y vivre dans la dignité et la stabilité à long terme. Aussi, il convient ici d’appeler tous les Amazighs et leurs amis à venir en aide de toute urgence et de toutes les manières possibles aux populations de l’Azawad qui luttent pour vivre librement et sereinement sur leur territoire. Nous rendons publique ci-après la lettre adressée au Président mauritanien en date du 11 décembre 2012 par les chefs de secteurs du camp de M’berra ainsi que le Porte parole de la coordination des réfugiés. http://www.tamazgha.fr/Refugies-de-l-Azawad-la-lettre-de.html La Rédaction

Les hélicoptères français font de nombreux morts dans les rangs de la coalition terroriste

Détails Créé Le Vendredi 11 Janvier 2013 19:31 Date de publication Écrit Par Ahmeyede Ag Ilkamassene
Iyad Ag Ghaly, leader de la secte terroriste Ansar A-Dine, et responsable de la mort de ses combattants Comme annoncé dans notre dernière édition, la coalition terroriste a rapidement fait fondre les positions de l'armée telle une boule de neige au soleil. Face à la menace qui pesait sur la ville de Mopti, la France est venu au secours du Mali, une entité qu'elle avait déjà fabriqué de toute pièce en 1960. Pris de vitesses, les terroristes sont tombés sous les rafales des hélicoptères français. Constatant la facilité avec laquelle elle a pris la ville de Kona, la coalition terroriste Ansar A-Dine, MUJAO, et AQMI à décidé de prendre rapidement les villes de Sevare, Diabally, et Mopti. Bien en sécurité à Tombouctou, Iyad Ag Ghaly et les leaders d'AQMI ont formés de groupes de terroristes avec pour objectif de prendre les villes de Sevare et de Diabally. A ce moment précis, le Président malien Dioncounda Traoré a eu une longue conversation avec son homologue Français François Hollande. Au sortir de cette conversation, il a été décidé que l'armée française apportera un soutien immédiat à l'armée malienne qui était en état de décomposition avancée. Pour la formalité, Dioncounda Traoré à transmis une demande officielle à la France lui demandant son intervention militaire. Quelques minutes plus tard, au moins quatre hélicoptères français sont intervenus sur les tronçons Komo-Diabaly et Komo-Sevare. Ne s'entendant pas à cette arrivée française, la coalition terroriste a été prise de court. Selon les informations que nous avons pu recueillir, les hélicoptères français ont fait de nombreuses victimes dans les rangs terroristes. Selon les sources, Kojak, le plus fidèle lieutenant de feu Ibrahim Ag Bahanga serait mort dans cette guerre qui ne lui appartient pourtant pas. Outre cet homme autrefois respecté dans l'Azawad, aux moins cinq (5) autres officiers Touareg qui avaient vendus leurs âmes à Iyad Ag Ghaly ont également péri dans les combats. Parmi les morts se trouveraient également des dizaines de jeunes désœuvrés qui se sont engagés dans un projet dont ils ignorent absolument tout. A noter aussi que de nombreux Peulhs, Bambara, et ressortissants d'autres ethnies maliennes ont été tués dans les rangs terroristes. La mort de ces personnes qui se sont laissé entrainer dans un projet machiavélique dont l'un des nombreux buts est détruire leur nation, l'Azawad, doit servir de leçons à tous et pour l'éternité. De toute évidence, cette opération n'est que le début du commencement de la guerre occidentale contre la coalition terroriste Ansar A-Dine, AQMI, et MUJAO. Nous demandons à tous les azawadiens pris en otage par ces organisations terroristes de déposer immédiatement les armes et de regagner la vie civile. http://toumastpress.com/actualites/dossier/terrorisme/895-helicopteres-francais-nombreux-morts-terroristes.html Par Ahmeyede Ag Ilkamassene

Nous saluons l'initiative française même si nous déplorons l'inaction de la France pendant les neuf mois où les islamistes faisaient - et font toujours- régner la terreur dans l'Azawad. En effet, nous pourrions rapidement en déduire que la vie d'un malien du sud n'égale pas celle d'un malien du nord.P

Ishaq Wan Azawad
hoto:Cosmologie representant les 5 Sultanats Touareg La France, si elle envisageait de poursuivre son intervention vers le Nord, ne doit pas occulter la question des civils. Il conviendrait dans ce cas -et cela est également valable quant à l'intervention de la Misma dans le Nord- de se faire entourer par des hommes qui connaissent le terrain et qui savent qui est qui. Je pense particulièrement aux Touareg, qui sont prêts depuis très longtemps et qui peuvent guider les troupes françaises ainsi que les troupes africaines. Ne pas associer les Touareg à cette intervention dans l'Azawad reviendrait à cautionner des dérives prévisibles sur le terrain et des exactions sur les civils. Ishaq Ag Al Housseyni
Seiny Ag AbdoumouChet Azawad FB des civiles on ete tué a sévare par l'arme malien parcequ' il sont la peaux blanche plus de 12 à 15 dans le camps de sévare

samedi 12 janvier 2013

Yvonne Van Driel Krol/ FB Il y a des infos que font état de la mort de beaucoup de "tetes" des Jihadistes: Omar Ould Hamahah, Abdelkrim le Touareg (le plus important des Maliens dans AQMI), un certain nommé Kodjak, grand "officier" de feu Bahanga, certains anciens "colonels" maliens réintégrés ayant rejoint le MNLA puis Ansar Eddine de Iyad Ag Ghaly..

Communiqué final du deuxième Congrès Ordinaire du MNLA à Tinzawatene

Détails Créé Le Samedi 12 Janvier 2013 20:37 Date de publication Écrit Par 2ème Congrès Ordinaire Du MNLA Grace à Moussa Ag Acharatoumane, conseillé spécial de Bilal Ag Acherif dans l'ancien CTEA (Conseil Transitoire de l'Etat de l'Azawad), Toumast Press à pu se procurer une copie du Communiqué final du congrès de Tinzawatene quelques instants après sa signature. Les 8, 9 et 10 janvier 2013, s’est tenue à Tinzawaten Azawad, le deuxième congrès ordinaire du Mouvement National de libération de l’Azawad (MNLA). Après l’ouverture du congrès par le président du CTEA sortant, des communications importantes ont été faites notamment par les chefs de tribus, le chef d’état-major de l’armée, le représentant des bureaux régionaux du mouvement, la représentante des femmes, les représentants du MNLA à l’extérieur, le représentant des jeunes, le président du collectif des étudiants de l’Azawad en Algérie et le porte parole des populations réfugiées de l'Azawad. Ont pris part à ce congrès plus de trois mille (3 000) participants constitués de l'ensemble des composantes et sensibilités de l'Azawad venues de l'intérieur et de l'extérieur (Ghana, France, Sénégal, Mauritanie, Burkina Faso, Algérie, Niger). A l’issue de ses travaux, le congrès a procédé à la relecture des statuts et règlement intérieur ainsi qu'au renouvellement des différents organes politiques et militaires du MNLA. Ainsi, il a mis en place: - Le conseil révolutionnaire composé de 50 membres, qui est l’organe législatif et de régulation du MNLA - Le conseil consultatif de quatre-vingt-dix (90) membres composé de chefs traditionnels, de leaders religieux, de cadres et de femmes. Le Congrès a en outre élu le secrétaire général du MNLA et président du Conseil Transitoire de l’Etat de l’Azawad (CTEA) en la personne de M. Bilal AG ACHERIF et le vice-président du CTEA en la personne de M. Mahamadou Djeri MAIGA. Le congrès a demandé au Président élu de mettre en place une équipe du CTEA de trente (30) membres dans un délai de sept jours. Le MNLA privilégie le dialogue et la négociation comme meilleur cadre de règlement du conflit qui oppose l’Azawad au Mali avant toute intervention militaire étrangère. Le congrès a approuvé la vision politique du mouvement pour le règlement définitif du conflit. Le MNLA demeure respectueux des conventions internationales et de ses engagements vis-à-vis de ses partenaires et amis. Le congrès est déterminé à faire aboutir les aspirations de la nation de l’Azawad conformément à la plateforme politique du MNLA. Le congrès loue les efforts de son Excellence Blaise Compaoré président du Faso, médiateur de la CEDEAO dans ce conflit et perçoit la nécessité d’élargir cette médiation à un niveau régional et international. Le congrès condamne vigoureusement les exactions perpétrées par l’armée malienne sur les paisibles populations de l’Azawad. Il demande la mise en place d’une commission d’enquête internationale pour les crimes commis par le Mali contre les populations de l’Azawad de 1960 à nos jours. Le congrès a fortement apprécié les conseils des sages encourageant la nécessité de faire de l’Azawad une terre de paix, de cohésion sociale, de pratique de l’islam religion de tolérance et de non-violence dictée par nos oulémas reconnus par le peuple de l’Azawad. Le congrès appelle à instaurer un cadre de concertation et de réconciliation entre toutes les populations de l’Azawad. Le MNLA remercie l’Algérie pour la facilitation de la tenue de ce congrès. Le MNLA adresse aussi ses remerciements et sa reconnaissance pour tous les pays et organisations humanitaires qui nous ont apporté assistance et conseils à des moments difficiles dans notre parcours. Le Congrès

Azawad Iyyan Ghass:Sanogo va t il accepter ça? la suite au prochain épisode....lol!

Azawad Iyyan Ghass ‎FB/3 haratines arrêtés à nioro ce matin, un arabe lynché à mort bamako et plusieurs civils arrêtés dont un vieux qui était à l'hopital grabiel touré. voilà quelques debut "d'effets collatéraux" et le tableau de médailles du Mali après toutes ses défaites vis à vis des vrais terroristes

Hollande : un "coup d'arrêt" porté aux islamistes mais la mission française au Mali n'est "pas achevée" | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Hollande : un "coup d'arrêt" porté aux islamistes mais la mission française au Mali n'est "pas achevée" | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Le visage du soldat français abattu vendredi

Le visage du soldat français abattu vendredi Par Malijet - Date: il ya 3 heures 11 minutes 1 réactions
Le lieutenant Damien Boiteux du 4e régiment d'hélicoptères de combat (RHC) de Pau a été mortellement blessé. Derrière-lui, un hélicoptère Gazelle tel que celui dans lequel il se trouvait au moment de sa mort. Source: Malijet

La Russie critique l'intervention militaire française au Mali

Par Xinhua - 12/01/2013
Mikhaïl Marguelov, représentant spécial du président russe pour la coopération avec les pays d'Afrique. MOSCOU - L'envoyé spécial de la Russie pour l'Afrique, Mikhaïl Marguelov, a indirectement critiqué samedi l'intervention militaire française au Mali, estimant que les Nations unies et l'Union africaine devraient prendre la tête des opérations contre les insurgés islamistes au Mali. "Je pense que toute opération militaire en Afrique peut et doit être menée sous la direction des Nations unies et l'Union africaine", a déclaré l'émissaire russe. "Seuls les Africains peuvent résoudre les problèmes africains", a-t-il souligné. A la demande des autorités maliennes, la France a lancé vendredi une opération militaire en appui des forces armées maliennes pour stopper l'avancée des groupes terroristes et djihadistes vers le Sud du Mali et d'assurer la sécurité des 5.000 ressortissants français dans le pays. La Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO) à laquelle appartient le Mali, a salué l'intervention militaire française au Mali et a annoncé l'envoi immédiat des premières troupes africaines au Mali. Source: Xinhua

Des civils sont morts lors des combats au Mali

Par AFP - Date: il ya 1 heure 19 réactions
DAKAR - Des civils sont morts lors des combats à Konna (centre du Mali) entre l'armée malienne, appuyée par des militaires français, et des groupes islamistes, a affirmé samedi Human Rights Watch (HRW), citant des habitants de la zone. Des habitants de Konna m'ont rapporté que dix civils sont morts pendant les combats, y compris trois enfants qui se sont noyés en essayant de franchir le fleuve Niger en quête de sécurité, a déclaré Corinne Dufka, une responsable à HRW, dans un message transmis à l'AFP à Dakar. (©AFP / 12 janvier 2013 22h27) Source: AFP

Mali : suivez les événements en direct

MALI - Article publié le : samedi 12 janvier 2013 Mali : suivez les événements en direct
Combattants du groupe Ansar Dine, le 7 août 2012. AFP PHOTO / ROMARIC OLLO HIEN Par RFI La contre-offensive est engagée au Mali. Le président malien Dioncouda Traoré a promis vendredi une riposte cinglante et massive aux groupes armés jihadistes. L'armée malienne dit avoir repris le contrôle de la ville de Konna dans la région de Mopti qui était tombée jeudi aux mains des combattants islamistes. Elle a ainsi stoppé la progression des rebelles avec l'aide de l'armée française qui s'est officiellement engagée dans le conflit vendredi. Les horaires sont donnés en temps universel (TU) 22h15 : David Cameron a proposé à François Hollande une assistance logistique aux forces françaises déployées au Mali. Le Premier ministre britannique a appelé le président français dans la soirée pour l'assurer de son soutien dans l'opération militaire visant à stopper l'avancée des islamistes. « Le Royaume-Uni fournira une assistance militaire logistique pour aider à transporter rapidement vers le Mali des troupes étrangères et des équipements », précise le communiqué de Downing Street. Dans l'après-midi, David Cameron avait « salué l'assistance militaire que la France a fournie au gouvernement malien, à sa demande, pour arrêter cette avancée ». 21h30 : Selon l'organisation de défense des droits de l'homme Human Rights Watch, dix civils dont trois enfants seraient morts dans les combats à Konna. Les enfants se seraient noyés en tentant de traverser le fleuve Niger pour se mettre à l'abri des hostilités. 21h10 : Le Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, annonce le renforcement immédiat du plan Vigipirate pour les transports publics, les rassemblements de personnes et les bâtiments recevant du public. A la mi-journée, les jihadistes affirmaient ne pas avoir complètement déserté Konna, comme le clame l'un des porte-parole d'Ansar Dine joint par RFI dans l'après-midi. Senda Ould Bouamama, porte-parole d'Ansar Dine On va combattre jusqu'au bout... Vous allez quitter le Mali et l'Afrique de la même manière que vous avez quitté l'Afghanistan! Écouter (01:06) 12/01/2013 20h00 : Des militaires français partis de Côte d'Ivoire et du Tchad sont arrivés à Bamako. 19h30 : Le point complet de la situation en soirée avec notre correspondant à Bamako : Correspondance de notre journaliste à Bamako A Konna les combats sont terminés. Cependant, les civils restés sur place ont toujours peur et veulent aller vers le sud, mais ils craignent de prendre la route et d'être pris pour des jihadistes. Écouter (01:02) 12/01/2013 18h50 : « Un coup d'arrêt a été porté à nos adversaires » au Mali, a déclaré François Hollande. « La France n'a pas d'autre but que la lutte contre le terrorisme », a précisé le président français. Déclaration du président français François Hollande samedi 12 janvier au soir Un coup d’arrêt a été porté et des lourdes pertes infligées à nos adversaires, mais notre mission n’est pas achevée. Écouter (03:59) 12/01/2013 18h30 : Le président François Hollande ordonne le renforcement des mesures antiterroristes en France. 17 h : Un nouveau conseil de Défense sera réuni à l'Elysée, dimanche 3 janvier à 15h, par le président François Hollande. CLIQUER POUR AGRANDIR 16h45 : Quelques dizaines de manifestants musulmans se sont rassemblés devant l'ambassade de France à Londres pour protester contre l'intervention militaire française au Mali. 16h25 : José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne a salué samedi à Marseille « la courageuse action des troupes françaises » au Mali et en Somalie, après avoir exprimé ses « sincères condoléances » pour les victimes. 16h20 : Le Niger annonce l'envoi d'un bataillon de 500 soldats pour participer à la force de la Mission internationale de soutien (Misma) au Mali. 16h15 : Selon le ministre ivoirien de l'intégration africaine, Ally Coulibaly, « les premiers soldats de la force ouest-africaine pourraient arriver dès dimanche » au Mali. 16h : Alger exprime son soutien « sans équivoque » aux autorités maliennes. « Il faut noter que c'est en toute souveraineté que le Mali a demandé l'aide de puissances amies pour renforcer ses capacités nationales de lutte contre le terrorisme » a déclaré le porte-parole des Affaires étrangères, Amar Belani. 15h : Selon l'état-major malien, les forces maliennes appuyées par des forces françaises, ont pris le contrôle complet de la ville de Konna ce samedi après de violents affrontements qui ont fait « une centaine de morts » dans les rangs des combattants islamistes venus du Nord. 14h25 : Le Burkina va envoyer un bataillon de 500 hommes au Mali. 13h50 : Le président François Hollande reçoit José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, pour évoquer la position de l'Europe sur le Mali. 13h : Les islamistes n'ont pas complètement déserté Konna. Certaines poches de jihadistes résistent encore dans le sud de la ville. 12h40 : L'armée malienne qui dit contrôler Konna affirme que les combats qui s'y sont déroulés ont fait une centaine de morts dans le camp des jihadistes. L'armée annonce poursuivre le ratissage de la ville. 12h30 : Un renfort de troupes françaises arrive actuellement au Mali en provenance d'un pays voisin. 12h20 : Des témoins rapportent avoir vu des dizaines de corps d'islamistes dans la zone des combats. 12h15 : Le président malien par intérim Dioncounda Traoré a remercié François Hollande pour l'intervention militaire de la France au Mali et faire « un point sur les opérations ». 12h00 : Le président malien Dioncouda Traoré reporte la visite qui était prévue mercredi à Paris, annonce l'Elysée. 11h20 : François Hollande annule son déplacement à Marseille, en raison de la situation au Mali. Un conseil de Défense est convoqué à l'Elysée à 15h. Jean-Yves Le Drian Ministre de la Défense Des frappes aériennes sont intervenues cette nuit et ce matin sur plusieurs objectifs Écouter (01:03) 12/01/2013 par RFI 11h15 : Un soldat français a été mortellement blessé lors d'un raid hélicoptère « contre une colonne terroriste » se dirigeant vers deux villes de la partie sud du Mali après la prise de Konna (centre) vendredi, annonce Jean-Yves Le Drian. « Dans ce combat intense, l'un de nos pilotes a été mortellement blessé », a précisé le ministre de la Défense. 11h10 : Déploiement de soldats français à Bamako depuis vendredi soir pour « protéger les ressortissants français », annonce Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense. 10h : Jointe par RFI, une habitante de Konna décrit la situation pendant la nuit comme « l'enfer qui tombait du ciel ». Elle confirme que les troupes maliennes auraient pris la ville avec l'appui des hélicoptères français, infligeant des pertes aux jihadistes qui se seraient enfuis. La ville est bouclée, personne n'entre ou ne sort. Il y a peu d'électricité, ce qui complique notamment le chargement des téléphones portables. 9h : Les communications avec Konna sont interrompues. Incertitude sur la reprise des combats. 22h30 [vendredi 11 janvier] : L'armée malienne affirme contrôler une bonne partie de la localité de Konna qui était aux mains des islamistes. « Nous ratissons actuellement la localité de Konna. Nos hommes sont sur le terrain. Ils ratissent maison par maison », a déclaré à RFI le colonel Diarra, du bureau de presse de l'armée malienne.