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  • Député UMP de la Drôme, candidat à la présidence de l’UMP et porte-parole de l'opposition à la Commission des finances de l'Assemblée nationale.

  • Jacqueline Carroy, directrice d’études à l’EHESS. Les recherches historiques de Jacqueline Carroy traitent principalement des savoirs et des pratiques portant sur le psychisme, psychiatrie, psychologie et psychanalyse

  • Anne Rasmussen, historienne. Ses recherches relèvent de l’histoire sociale et culturelle de la médecine, de la maladie et de la santé publique aux XIXe et XXe siècles.

  • 13 tonnes de vestiges remontent chaque année à la surface dans la somme dont de nombreux obus qui provoquent encore des accidents mortels.

  • Nicolas Sarkozy en garde à vue, report du vote sur la réforme du budget de la Sécurité sociale après celui sur la réforme territoriale, vers un enlisement du Pacte de responsabilité ?

  • Jean Jacques Becker, président d'honneur de l'historial de Péronne nous parle de l'évolution des relations après la guerre entre français et Allemands.

  • http://www.rfi.fr/emission/20140701-1-nous-apprend-grande-guerre-maladies/ Le 1er juillet 1916, débute la bataille de la Somme, l'une des plus meurtrières de l'histoire humaine, hors victimes civiles, avec plus d’un million de morts en moins de cinq mois. La Première Guerre mondiale fera au total plus de neuf millions de victimes militaires et laissera plusieurs millions d’invalides. Aux blessures physiques des « gueules cassées », il faut ajouter les traumatismes psychologiques nés dans l’enfer boueux des tranchées. Ce désastre humain est à l’origine d’une importante évolution de la psychiatrie et de la définition moderne du syndrome de stress post-traumatique. 10 millions de morts et 21 millions de blessés, comment s'organise le système de santé? Quel est le rôle de la Croix Rouge? Gueules cassées, obusite, comment faire face aux nouvelles maladies liées à la guerre? Sophie Delaporte, historienne, maître de conférences et chercheur au Centre d’Histoire des Sociétés, des Sciences et des Conflits à l’Université de Picardie Jules Vernes. Auteur de Les médecins dans la Grande Guerre 1914-1918. Paris, Bayard, 2003

  • Marie-Pascale Prévost-Bault présente l'Historial de Péronne, musée dont elle est la Conservatrice en chef. Décidée en 1986, la création de ce musée sur les sociétés dans la Grande Guerre à Péronne est rapide puisqu'il ouvre ses portes en 1992. La Somme est un département très meurtri par la Grande Guerre : il compte 413 cimetières militaires sur son territoire, majoritairement britanniques. Le musée présente la vie à l'arrière et sur le front, avec comparaison systématique des trois sociétés en guerre, Allemagne, France et Grande-Bretagne.

  • Autriche, Allemagne, Serbie, France, Russie... Quelles leçons tirer du centenaire du déclenchement de la Grande guerre ? Historien travaillant sur les questions de mémoire, directeur général de la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale, Joseph Zimet répond à Arnaud Pontus. RFI propose aujourd'hui une journée spéciale de commémoration, 98 ans après le début de la bataille de la Somme, l'une des plus meurtrières de l'Histoire avec plus d’un million de victimes.

  • Essaouira, ville mythique ouverte à tous les fantasmes, pays de chats, de mouettes, de peintres pointillistes et de musique gnaoua. Pendant 4 jours, la petite ville résonne au son des guembris (basse traditionnelle à 3 cordes) dont joue le maître (le maâlem) et des crotales (ou qraqebs) d'immenses castagnettes qui vous plongent dans la sidération et la transe.

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UNION AFRICAINEJUSTICE INTERNATIONALE

Accusée d'œuvrer pour l'impunité des chefs d'Etat, l’UA répond

par 
mediaLe 23e sommet de l'UA s'est tenu à Malabo, capitale de la Guinée équatoriale, les 26 et 27 juin 2014.Union africaine
    L'Union africaine est finalement sortie de sa réserve pour répondre aux critiques qui accusent l'organisation d'œuvrer pour l'impunité des chefs d'Etat en exercice. Les chefs d'Etats réunis en sommet à Malabo la semaine dernière ont adopté un article qui limiterait le champ d'action de la future Cour africaine de justice à des responsables qui ne sont pas en exercice. L'article incriminé prévoit l'immunité y compris pour des crimes de guerre pour les chefs d'Etat et de gouvernement durant l'exercice de leurs mandats.
    (L'UA, depuis plusieurs années, souhaite étendre les compétences de la Cour à l'action pénale). Amnesty International et plusieurs organisations de défense des droits de l'homme en Afrique ont dénoncé un immense pas en arrière pour la justice. L'UA estime qu'il n'en est rien.
    Les chefs d'Etat et de gouvernement seront protégés uniquement pendant leur mandat. « Ce n'est donc pas une immunité à vie », insiste l'Union africaine. L'UA ne souhaite pas mobiliser des responsables politiques pour répondre aux accusations qui pèsent contre elle. Elle renvoie toute question vers son directeur des affaires juridiques, qui a accordé un entretien à RFI.
    Le professeur Vincent Nmehielle a défendu l'article incriminé. « Les juridictions nationales dans la majorité des démocraties constitutionnelles confèrent cette immunité aux chefs d'Etat pour qu'ils puissent pleinement se consacrer à l'exercice de leurs fonctions », a déclaré le juriste qui a la double nationalité sud-africaine et nigériane. « Même la CPI s'est montrée flexible en n'exigeant plus du président kényan qu'il assiste à son procès à La Haye », a poursuivi Nmehielle.

    « Chaque cour a ses règles »
    Cela dit, la CPI  maintient ses poursuites à l'encontre des chefs d'Etat même s'ils sont encore en poste. « Chaque cour a ses règles », a rétorqué le chef juriste de l'UA, qui estime que la future cour ne limitera pas le champ d'action de la CPI. Selon le professeur Nmehielle, tout dirigeant dont le pays est signataire du statut de Rome, devra se plier au droit international.

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