mercredi 1 mai 2013

Comment Boko Haram terrorise aussi l'économie du Niger

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Depuis plusieurs mois, le Nigeria vit dans la terreur. La secte islamisteBoko Haram a perpétré plusieurs attentats dans le pays. Et ces troubles ont des conséquences sur l’économie du Niger voisin, comme l’explique The Christian Science Monitor.

Ainsi, pour empêcher l’entrée des terroristes islamistes sur son territoire, leNiger a dû fermer sa frontière avec le Nigeria. Un coup dur pour l’économie du pays notamment pour le Diffa, région du sud-est. Depuis plusieurs générations, ses échanges économiques se font davantage avec le Nigeria, situé à proximité, qu’avec les centres commerciaux du Niger.

Les principales productions de la région (bétail, produits laitiers, poivre rouge) trouvent des débouchés en grande partie sur les marché nigérians. De plus, le Diffa entretient des liens solides avec le Nigeria. A tel point que dans la région, la monnaie la plus courante est le naira nigérian.

La fermeture de la frontière porte préjudice aux travailleurs nigériens qui pouvaient chercher de l’argent et du travail au Nigeria quand les temps étaient durs. Ce problème ne pouvait pas arriver à un pire moment. En effet, le pays doit actuellement faire face à une sécheresse qui augmente les prix de la nourriture et du bétail.

Outre l’économie du Diffa, les violences perpétrées par Boko Haram mettent également en péril la sécurité de la région. Début février, les autorités ont arrêté 15 individus suspectés d’être affiliés à la secte Boko Haram et saisi des grenades et des bombes artisanales. Tinni Djibo, assistant du secrétaire général de la région, a également précisé qu’un attentat visant plusieurs places publiques de la région de Diffa a été déjoué.

«Jusque-là, il n’ y a eu, à ma connaissance, aucune attaque au Niger mais cet incident nourrit forcément des inquiétudes. La politique des autorités nigérianes visant à expulser les étrangers du pays implique que des membres de Boko Haram peuvent finir dans les pays frontaliers. Pays où ils peuvent tenter de commettre des actes de violence.»

L’année dernière, la secte Boko Haram n’avait pas hésité à s’attaquer à une église dans la nuit de Noël.

Lu sur The Christian Science Monitor

Tchad: une tentative de coup d’état déjoué, le gouvernement se veut rassurant..

PAR TCHADINFOS
LE 1 MAI 2013 À 22:19

CATÉGORIE : A LA UNE,TCHAD
MOTS-CLÉS : COUP D'ÉTAT TCHAD, IDRISS DÉBY ITNO

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VID�O |♠ COMMUNIQUE URGENT : COUP D’�TAT AU... par tchadonline

Des coups de feu ont éclaté en cette journée du 1er mai aux environs du palais présidentiel. Selon le communiqué du porte-parole du gouvernement, il est fait état de plusieurs morts dont un général et de blessés. Plusieurs personnes considérées comme instigateurs ont été arrêtées et sont remises au procureur de la république. Le porte-parole se veut rassurant en affirmant que la situation est sous contrôle.

Selon des N’Djamenois habitants aux environs de la présidence (Djambal Bahr et Farcha) que la rédaction a pu joindre, la situation semble être calme aucun tir n’a été entendu. Mais une autre personne jointe au téléphone a relevé plusieurs effets de mouvements des voitures militaire dans les rues de la capitale. Un infirmier de la garnison fait savoir qu’ils ont reçu plusieurs blessés. Nous suivons la situation de prêt et vous tiendrons informé de toute évolution.

Suivez la lecture du communiqué par Hassan Sylla Bakary Porte parole du gouvernement.

Crédit vidéo : tchadonline.com

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debats sur Kidal infos/La France, AE, et Iyad: qui fait quoi?

La France, AE, et Iyad: qui fait quoi?
Je lance en vrac quelque réflexions sur cette opération SERVAL.

1-Iyad Attaque Konna, les lignes de défense de l’armée malienne tombent les une après les autres.

2-Bamako est menacé nous dit-on.

3-Dionkounda demande l’aide de la France.

4-La France répond comme si tout a été prévu avec rapidité et efficacité.

5-Au premier bombardement Iyad et ses hommes se retrouvent à Kidal, lâchant ainsi une partie des barrons de l’AQMI côté Diabaly.

6-La France atterrit à Gao et TBT et s’achemine vers Kidal.

7-Iyad crée en toute urgence une scission de Ansar Eddine, d’où la naissance de MIA.

8-Iyad se dirige vers les montagnes de l’adagh.

9-Le MNLA investit Kidal tels des hyènes affamées se ruant sur une carcasse, quand le lion quitte le lieu.

10-L’armée Française installe une logistique à Amachach

11-L’opération nettoyage de l’Adagh est lancée

12-Un couloir parait-il sécurisé (selon Alwattan) a permis à Iyad et ses hommes de se rendre en Algérie en toute sécurité.

13-L’Algérie ravitaille l’armée Française en carburant

Etc Etc….

Tout ceci m’a fait penser à une réflexion qu’un ami m’avait dit à propos d’Iyad. En gros Iyad c’est un peu comme l’équipe allemande de foot, même s’il lui arrive de mal jouer il finira toujours par gagner.

Message particulier à Mohamed Ag Hamati : Souviens-toi Mohamed du pari que j’avais pris lors de lancement de l’opération SERVAL…Je te laisse le soins de dire la suite.
Moustapha DAHI
Posté le 29/04/2013 à 14H33

http://www.kidal.info/K-I/forums?theme=debats&msg=31209&p=2

Editorial de Bernard Lugan : Mali : retour au point de départ ethnique

Editorial de Bernard Lugan : Mali : retour au point de départ ethnique

Militairement, les islamistes sont cernés dans un dernier réduit du massif des Iforas avec, au Nord et à l’Est, les Algériens, au Sud les Tchadiens en bouclage, à l’intérieur, les forces spéciales françaises et des Touareg. L’intensité des combats montre a posteriori à quel point la politique française qui mettait en avant l’idée de non intervention, mais de formation des contingents africains, n’était rien d’autre qu’une vue de l’esprit. En effet, s’il n’y avait pas eu l’opération Serval, les Iforas seraient toujours une base jihadiste…

Maintenant que le nuage islamiste est dissipé, et en dépit d’attentats résiduels et d’actions terroristes à venir, le réel réapparaît avec force. Quel est-il ?

1) Nous ne sommes pas face à une guerre de religion.
2) Nous sommes en présence d’un classique conflit ethnique et même racial, un conflit ancré dans la nuit des temps entre « nordistes » et « sudistes ».
3) Nous en revenons donc au début de la crise, c'est-à-dire à la revendication touareg. Tout le reste est secondaire, à commencer par la question islamiste qui est simplement venue se greffer sur la revendication touareg.

Depuis le déclenchement de l’opération Serval, François Hollande a eu l’intelligence de laisser faire les militaires. Maintenant que le nettoyage des Iforas est entré dans sa phase finale, le relais politique ne va pas tarder à être pris par le Quai d’Orsay et la cellule africaine du parti socialiste. L’ idéologie va donc de nouveau prendre le pas sur le réel sahélien.
Le président Hollande ayant une nouvelle fois déclaré que le but de l’intervention française est la restauration de l’intégrité du Mali, deux grandes questions vont se poser :

1) Que va dire Paris à Bamako quand le Mali va vouloir exercer sa souveraineté sur la totalité du territoire reconquis par les Français et les Tchadiens ? De quel droit la France peut-elle continuer à interdire à l’armée malienne d’aller faire la « mouche du coche » à Kidal et dans les Iforas ?
2) Que va dire Paris aux Touareg qui se sont battus à nos côtés, qui ont largement permis l’opération des Iforas et qui ne veulent pas d’armée malienne chez eux ?

Comme il va bien falloir passer au règlement politique de la question malienne, la seule approche réaliste doit tenir compte des trois points suivants :

1) Le soulèvement du mois de janvier 2012 qui est à l’origine de l’actuelle guerre du Mali s’est fait au nom de l’identité touareg et autour de la revendication de l’Azawad.
2) Or, comme je n’ai cessé de le dire depuis le début du conflit, et comme l’ont découvert ceux qui lisent mes communiqués et qui ont amplement repris l’idée sans citer leurs sources, l’Azawad n’est qu’en partie touareg. Il existe en effet trois Azawad, l’Azawad Touareg à l’est, avec pour centre le massif des Iforas ; l’Azawad arabe vers l’ouest et vers le nord et enfin l’Azawad du fleuve avec des populations mélangées (Songhaï, Peul, Touareg etc.).
3) La fiction d’un Etat malien « unitaire » est morte. Le régime de Bamako doit donc admettre qu’il est incapable de tenir deux des trois Azawad et qu’il doit donc penser à une profonde évolution fédérale ou même confédérale.

“Pourquoi ne pas appliquer l’autodétermination à la Kabylie et aux Touaregs ?” Des chefs de tribus sahraouis interpellent Alger

Des élus et chefs de tribus sahraouis ont appelé lundi l’Algérie à appliquer son principe sur le droit à l’autodétermination, comme elle le suggère pour le Sahara, à la Kabylie et aux Touaregs du sud algérien, a constaté Atlas Info.
"Nous les Sahraouis, on se demande pourquoi l’Algérie n’accorde pas ce droit à la Kabylie et aux Touaregs, deux entités qui réclament une autonomie territoriale», a déclaré Khalil Dkhil, wali de la région de Laâyoune devant des chefs de tribus et des élus réunis en présence d’un groupe de journalistes.
Lors de la visite, ces derniers ont pu s’enquérir sur place des importantes réalisations socioéconomiques accomplies dans les provinces sahariennes depuis 1975, date de l’évacuation de l’Espagne et la récupération de ce territoire par le Royaume.
Pour M. Dkhil, un Sahraoui de la tribu des Rguibates nommé dernièrement wali (préfet) de cette région, "l’Algérie se trompe énormément de registre". Il a fait endosser à l’Algérie la responsabilité de ce conflit créé artificiellement pour affaiblir le Royaume.
"D’un côté, l'Algérie affirme qu’elle reste toujours fidèle à son principe quand il s’agit du Sahara, les provinces marocaines, et d’un autre côté, elle s’oppose à elle-même et refuse de concéder le droit à l’autonomie à la Kabylie et aux Touaregs», a-t-il martelé devant des journalistes.
Ce constat a été également relevé par d’autres intervenants qui ont accusé l’Algérie de «souffler sur les braises», allusion au risque d'instabilité qui menace l'ensemble de la région. "Ce pays répète qu’il n’est pas partie prenante dans le conflit du Sahara et que son attitude vis-à-vis de ce dossier n’est dictée que par le respect du principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. On se demande pourquoi donc l’Algérie refuse alors le droit aux Kabyles de manifester dans les rues et de réclamer l’autonomie en faveur de leur région», a affirmé de son côté un autre élu sahraoui.
Des Kabyles ont récemment organisé une manifestation en Algérie pour réclamer le droit à l’autonomie de leur région.
Pour Hassana Rguibi, un notable sahraoui, le « choix unitaire que nous avons décidé depuis 1975, date de la Marche verte qui a permis de chasser les Espagnols et de récupérer les régions sahariennes, est irréversible ».
«Nous sommes convaincus de ce choix », a-t-il dit, ajoutant que les «fauteurs de troubles dans la région sont des éléments séparatistes qui ne sont pas de vrais autochtones. Ils sont originaires de Tan Tan, Assa, Guelmim, des régions plus au Nord qui ne font pas partie du Sahara », a affirmé Hassana Rguibi sans dissimuler l’existence de cas de “problèmes sociaux dans la région" qui "tardent à être résolus".
Reprenant la parole, Khalil Dkhil a été catégorique : "Notre mode de gouvernance sociétale milite pour l’unité territoriale du pays". "Ces évidences ont été transmises à des députés européens de la mouvance des verts que j’ai rencontrés dimanche en présence de notables sahraouis», a indiqué le wali aux journalistes.
"Ils ont rencontré des pro-séparatistes et l’objectivité leur a imposé de se réunir avec des notables sahraouis », selon le wali.
Une militante d’Amnesty international, une ONG des droits de l’Homme, Sirine Rached, a elle aussi fait coïncider sa visite à Laâyoune avec celle des députés verts d’Europe.
"Dans les provinces sahariennes, la question n’est pas liée aux droits de l’Homme. C’est une question politique et la propagande algérienne est terrible », a déclaré pour sa part Ahmed Lakhrif, un élu de la Chambre des conseillers."Nous sommes des élus qui représentent nos tribus sahraouies. Notre modèle d’organisation est basé sur les tribus. Ces dernières sont les seules à parler au nom de la société. Tout autre chose est inacceptable », a estimé cet ancien ministre.
Un autre élu, Naâma Miara, a souhaité la mise en place d’une "gestion efficace et positive" dans la région, une gestion qui évite les erreurs du passé et qui sert “l’avenir, dans un Maroc fort et uni". "Il faut accélérer l’application du projet d’autonomie", a-t-il affirmé.
Le Maroc a proposé un plan de large autonomie en 2007 pour le Sahara pour mettre fin à ce conflit de 38 ans. L’Algérie et le Polisario l’ont rejeté en réclamant l’indépendance de ce territoire. Ils ont été sommés par la résolution adoptée la semaine dernière par le Conseil de sécurité de l’ONU d’entreprendre le recensement des réfugiés sahraouis établis à Tindouf (sud-ouest de l’Algérie) sous le contrôle du Polisario. Cette résolution qui a prolongé d’un an le mandat de la Mission de l’ONU au Sahara (MINURSO) sans étendre ses prérogatives a appelé l’Algérie à s’impliquer davantage dans la résolution de ce "conflit régional”.
A Laâyoune

Mercredi 1 Mai 2013

Mohamed Chakir (Atlas Info.fr)

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Mohamed Chakir (Atlas Info.fr)

imidiwan32/.podomatic.com Special Bombino.

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Imidiwan 32

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Tunisie : l'armée combat une "cinquantaine de jihadistes" retranchés sur le mont Chaambi | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

pas de travail aujourdhui meme le chameau se repose

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photo de Issikta ! la mémoire d'un peuple.

Bonne fête de travail à tous/D’où vient la tradition du 1er mai?le soir.be

Camille Wernaers
Mis en ligne il y a 2 heures

Le premier jour du mois de mai est traditionnellement une journée de mobilisation politique. Cette tradition remonte au 1er mai 1886, quand des ouvriers américains aidés de leurs syndicats parviennent à obtenir la journée de 8 heures après des jours de grèves. L’Internationale Socialiste reprendra cette date pour soutenir sa revendication des « 3X8 », c’est-à-dire 8 heures de travail, 8 heures de repos et 8 heures de loisir. Partout, et notamment en France, des ouvriers défilent avec un triangle rouge à la boutonnière pour signifier le partage de la journée en trois. Historiquement, la fête est donc socialiste mais aujourd’hui toutes les formations politiques y participent et la fête a perdu de sa charge revendicative. Au micro de la Première, l’historien Jean Puissant évoque fête « surtout médiatique ». En Belgique, le 1er mai est un jour férié dès 1946. À noter que ce qu’on appelle aujourd’hui « la fête du travail » était plus volontiers appelé « fête des travailleurs » à l’époque. Le 1er mai, c’est aussi dans beaucoup de culture le passage de l’hiver à l’été, célébré par une autre tradition : celle du muguet.

http://www.lesoir.be/235242/article/une/2013-05-01/d-ou-vient-tradition-du-1er-mai

Exactions de l'armée malienne contre les civiles Touareg continuent..malgré les mises en garde.

Tamoudre.org

ARVRA – Association des Réfugiés et Victimes

Situation du 28 avril 2013

Des sources crédibles rapportent :

1.Le vendredi, 26 avril 2013, 13 véhicules et un vêlera transportant une patrouille militaire ont pillé et saccagé les villages Touaregs d’Amanederné et de Worbangou dans la région de Tombouctou, cercle de Goundam..

En quittant, les militaires ont aussi emporté avec de nombreux hommes dont : Md Ita Ag Abdoulahi et Akhouder Ag Mouner.

Ces hommes ne sont pas encore revenus et leurs proches craignent le pire.

Sur les lieux des femmes et des enfants dans le désespoir.

2.Ce matin du 28 avril 2013, au moins une famille (Hommes, femmes et enfants) Touaregs à Bamako, aurait été menacée à l’arme par des hommes en tenues militaires et en armes.

Situation du 29 avril 2013

Des sources fiables ont informés du tabassage à sang de :

Mohamed Chek ag Mohamed et
Mohamed ag Baza tous de la fraction Keltichghaghen, venus pour payer du grain à Goundam, (85 km) à l’ouest de Tombouctou par la population de la ville et ensuite amenés à Tombouctou par une patrouille le samedi 28 Avril 2013 puis, transférés à Bamako, paraît-il…

Pentagon deploys small number of troops to war-torn Mali

Arnaud Roine/AP - French soldiers patrol the Mettatai region in northern Mali in March.

By Craig Whitlock, Published: April 30

The Pentagon has deployed a small number of troops to Mali to support allied forces fighting there, despite repeated pledges by the Obama administration not to put “boots on the ground” in the war-torn African country.

About 10 U.S. military personnel are in Mali to provide “liaison support” to French and African troops but are not engaged in combat operations, said Lt. Col. Robert Firman, a Pentagon spokesman. Twelve others are assigned to the U.S. Embassy in Bamako, the capital, he added.

Latest from National Security

Obama defends efforts before Boston attack as FBI expands investigation

Sari Horwitz and Greg Miller APR 30

President says evidence indicates FBI, DHS scrutinized suspects as FBI probes new links to militants.

U.S. deploys troops to war-torn Mali

Craig Whitlock APR 30

Pentagon says a handful of personnel are providing “liaison support” but are not engaging in combat operations.

Obama moving toward sending lethal arms to Syrian rebels, officials say

Karen DeYoung APR 30

President wants to assert more aggressive U.S. leadership among allies seeking Assad’s ouster.

U.S. still striving to find political resolution to Syrian conflict

Anne Gearan and Abigail HauslohnerAPR 29

After reports of possible chemical weapons use, administration is facing pressure for more direct involvement.

Female DNA found on Boston bomb; FBI visits home of suspect’s widow

Sari Horwitz APR 30

FBI agents spent 90 minutes inside the Rhode Island home of Katherine Russell’s parents as part of inquiry.

The Pentagon had previously said that it had no intention of sending troops to Mali and that it would involve itself in the conflict only at arm’s length — by providing aerial refueling to French warplanes and sharing intelligence with allies. It also said that it would ferry soldiers from neighboring African countries to Mali on U.S. troop transport planes but that the aircraft would not remain in the country.

“There is no consideration of putting any American boots on the ground at this time,” Leon E. Panetta, then the secretary of defense, said Jan. 15, a few days after France intervened militarily in Mali to prevent Islamist fighters from taking control of the country.

That stance was echoed a month later by the State Department’s top diplomat for Africa. “We are assisting the French and we are assisting the Africans, but we have no intentions of putting boots on the ground or engaging our forces militarily there,” Johnnie Carson, then the assistant secretary of state for African affairs, told a House committee.

The Obama administration has been prohibited by U.S. law from giving military aid to Mali since March 2012, when its democratically elected president was ousted in a coup. U.S. officials said they are legally permitted, however, to help French troops and forces from other African countriesfighting in Mali.

Since the coup, there have been signs that some U.S. Special Operations forces have been deployed to Mali on undeclared missions. In April 2012, three U.S. soldiers were killed in a mysterious car crash in Bamako.

Last month, Rep. John Kline (R-Minn.) suggested that U.S. commandos were “taking action” in Mali. At a House Armed Services Committee hearing, Kline asked Adm. William H. McRaven, the head of the U.S. Special Operations Command, whether his troops were coordinating their efforts with the French military.

“It seems to me that it might be a little awkward when you have French special operating forces taking action and presumably some of your forces taking action,” Kline said.“Otherwise, you’re going to be shooting each other.”

McRaven replied that U.S. troops were working closely with the French in Mali but did not elaborate on their mission.

“There is very close coordination on the ground,” he said. “Tactically, of course, the U.S. forces and the French forces and the African forces that are there in Mali on the ground, there are tactical communications going on day in and day out so that we de-conflict any movement.”

France has about 4,000 troops in Mali. It is hoping to withdraw most of its soldiers by the end of the year and hand over responsibility for securing the country to a U.N. peacekeeping force. Six French soldiers have been killed in Mali since January.

The U.N. operation, which would eventually involve more than 12,000 peacekeepers, is set to begin July 1. Under a resolution approved last week by the U.N. Security Council, the mission is contingent on a further assessment of the threat posed to the peacekeepers byarmed militants.

http://www.washingtonpost.com/world/national-security/pentagon-deploys-small-number-of-troops-to-war-torn-mali/2013/04/30/2b02c928-b1a0-11e2-bc39-65b0a67147df_story.html

mercredi 1 mai 2013

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Ibanakal Tourna a partagé un lien via Mary Lindekens.

photo de Issikta ! la mémoire d'un peuple.

By Craig Whitlock, Published: April 30