lundi 14 novembre 2011

La Situation politique et sécuritaire au Nord
maliweb.net
Situation au Nord-Mali : Les vérités de Gamou
 L'Aube, 12/11/2011Commentaires [ 38 ]E-mailImprimer


Le septentrion malien, consécutivement au retour de soldats libyens d’origine malienne, connaît une brusque montée de tension. Alors que la majorité de ces soldats, dès leur arrivée à Kidal, se sont mis à la disposition des autorités, certains d’entre eux s’agitent autour de cette localité et veulent opter pour l’épreuve de force en vue de se faire entendre. Il semble qu’ils parlent…d’autodétermination pour les régions nord du Mali.


Dépêché à Kidal par le chef de l’Etat pour accueillir les revenants, le colonel major, El Hadj Gamou, chef d’Etat major particulier adjoint à la présidence, a sa propre lecture de la situation qui prévaut aujourd’hui à Kidal.


Joint par téléphone, le vendredi dernier, cet officier affirme que l’armée est prête à défendre le pays face à toutes menaces. Gamou rassure.


En 2006, Kidal se réveille, le 23 mai, sous les crépitements d’armes. Le camp militaire et la garnison de la gendarmerie venaient d’être attaqués par un groupe d’hommes armés dirigé par Ibrahim Ag Bahanga et le colonel Hassane Fagaga. Le coup, en réalité, avait été savamment préparé avec l’aide de certains intégrés (soldats) de l’armée régulière.


A l’époque, de lourds soupçons avaient plané sur certaines notabilités de la localité, dont Iyad Ag Ghaly, celui-là même qui, en 1990, avait déclenché la seconde rébellion du septentrion malien.


En 2006, Iyad s’était en réalité servi de Bahanga pour commettre cet acte de forfaiture contre l’intégrité du territoire national. La suite est connue…


Pour gérer cette crise, le chef de l’Etat avait opté pour la voie pacifique. Un dispositif sécuritaire avait immédiatement été mis en place à Gao en vue de sécuriser l’ensemble des régions nord du pays. Dans la chaîne de commandement du PC opérationnel, il y avait un homme, El Hadj Gamou.
De 2006 à 2010, cet officier est resté au front pour juguler la crise.
En 2009, lorsque le chef de l’Etat, après l’attaque d’Abeïbara, a ordonné à l’armée de détruire toutes les bases de Bahanga, Gamou et le colonel Meïdou, commandant de la région militaire de Mopti, et le colonel Abdoulaye Coulibaly, étaient, entre autres, au devant de l’offensive de l’armée qui s’est finalement soldée par la destruction des bases des insurgés et la fuite de leur chef, Ibrahim Ag Bahanga qui s’est réfugié en Libye.


De Kidal à Koulouba
Après cette crise, le colonel Gamou est nommé à la présidence de la République, en qualité de chef d’Etat-major particulier adjoint. Il est nommé au grade de colonel-major, à la suite des dernières promotions (en grade) intervenues au sein de l’armée.


Cet officier de la tribu des Igmaden, qui a aussi servi au Liberia dans le contingent malien, a toujours fait preuve d’un engagement sans faille à défendre le drapeau national et à honorer son serment d’officier.
Cependant, Gamou fait aussi l’objet de critiques. Certains l’accusent d’entretenir une milice à Kidal, d’autres affirment qu’il n’a jamais accompli une mission d’éclat, lorsqu’il était sur le terrain. Il balaie du revers de la main ces accusations, et bénéficie de la confiance de ses chefs, précisément du chef suprême des armées.


Il était alors l’officier le mieux indiqué pour cette nouvelle mission (le retour des soldats dela Libye) qui s’avère délicate. A Kidal, Gamou est en terrain connu. Il a l’avantage de connaître aussi beaucoup d’acteurs (locaux et revenants) de la scène.


Pour El Hadj Gamou, la situation est simple : « En réalité tous ceux qui sont venus n’étaient pas retournés dans l’intention de créer des problèmes. Ils ont été suffisamment traumatisés par ce qu’ils ont vécu en Libye pour vouloir tenter une aventure au Mali. Parmi eux, certains sont encore sous le choc. Ils ont tout abandonné en Libye : familles, femmes, enfants et biens. Croyez-vous qu’ils sont prêts à se créer d’autres problèmes ici? ».
Et parmi ces soldats, il y a même des Libyens qui ont suivi ceux d’origine malienne. Les Libyens ont fui leur pays et les combats pour se retrouver au Mali. Certains d’entre eux veulent même repartir en Libye, mais seraient habités par la peur.


Comprendre le piège
Mais pourquoi toute cette agitation au sein des revenants ? «C’est vrai que beaucoup de soldats sont revenus avec des armes. Mais la réalité est que leur retour constitue une aubaine pour les membres d’un réseau qui a toujours œuvré à la déstabilisation des régions nord du pays. Ces gens profitent de chaque occasion pour déstabiliser. Cela pour des intérêts personnels et non dans l’intérêt des populations. Ils veulent se servir des arrivants qui ont intérêt à comprendre le piège», révèle Gamou dans un langage de vérité qu’on lui connaît.
A en croire l’officier, avec l’approche des élections, c’est le moment idéal pour les membres de ce réseau, de faire de la « surenchère et de monter la pression sur l’Etat ». Gamou estime, par ailleurs, que tout ce qui se passe avec le retour de ces soldats, est digne d’un scénario hollywoodien. C’est un film dont l’opinion ne tardera pas à découvrir l’épilogue. «L’on saura finalement toute la vérité autour de cette affaire », promet le colonel major.


Ils sont avec AQMI
Par ailleurs, certains médias français et algériens ont entrepris une véritable campagne d’intoxication autour de la présence de ces soldats au nord. Dans cette campagne, un homme a refait brusquement surface à Paris. Il se fait passer comme étant le porte parole de l’Alliance du 23 mai. Depuis la fuite de Bahanga cet homme avait perdu la voix. Marié à une Française, et loin des réalités de Kidal, il s’agite (à nouveau) à coup de mensonges et de menaces. C’est lui qui promet, au nom des soldats rentrés, une guerre contre Aqmi (branche Al-Qaïda pour le Maghreb islamique) et contre l’Etat malien.


El Hadj Gamou rétorque : « C’est une stratégie pour ce monsieur et ses acolytes de bénéficier de soutiens extérieurs. C’était la même stratégie qu’ils avaient adopté il y a de cela quelques années. Mais, l’on a vu la suite. Quand ces gens affirment qu’ils vont faire la guerre à Aqmi, c’est de la rigolade. Ils sont ensembles et ils se côtoient tous les jours. Mais c’est une manière pour eux de tromper l’occident et d’être soutenus par l’extérieur. Mais comment peut-on être aussi cynique jusqu’à vouloir quémander de l’aide pour déstabiliser son propre pays ? ».


El Hadj Gamou conseille au « porte parole » de venir à Kidal pour aider les populations au lieu de tenir des discours creux à des milliers de kilomètres de là.
«Nous demandons aux populations, de garder leur sérénité et leur calme, face à tout ce qui se dit à travers certains medias. Il faut que les Maliens comprennent aussi que toute cette agitation n’est que l’œuvre d’un groupuscule. Les populations du nord n’aspirent qu’à la paix. Et l’armée est là pour assurer cette paix et défendre l’intégrité du territoire national. Nous sommes prêts à assumer notre mission conformément aux orientations et instructions des autorités du pays. Et nous sommes prêts à défendre ce pays contre toutes formes de menace».
CH. Sylla

L'Aube, est seul responsable du contenu de cet article 
5422 hits
Remonter

Vos commentaires Modifier mon avatar 
38 réactions (12 en attente de modération) > 1 2 3  
Posté par klézana  120,  le 14 Nov 2011 15:35:31 GMT
 
Est-ce une conviction pour lui? En tout cas on ne sais pas du tout hein!!!!!!. Il ne faut
pas qu'on se trompe. Les tamasheks qui négocient avec le gouvernement soutiennent bel et
bien la rébélion.  :laughing. Mais mon cher ils feront tout pour ne pas le faire
savoir   . C'est ça le problème et c'est pourquoi ça perdure. Tu
vois que c'est   
 
 Répondre à < klézana >
Posté par Nouma  341,  le 14 Nov 2011 13:25:26 GMT
 
Voilà un vrai militaire prêt au sacrifice ultime pour son pays et si quelques Gamou
existaient au sein de l'armée, on ne serait pas le ventre mou de cette nébuleuse affaire.
 
 Répondre à < Nouma >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 22:14:04 GMT
 
3)Nous disons que les Touaregs qui ont la nationalité libyenne sont des libyens et non des
maliens même s’ils ont des origines maliennes En conséquence le gouvernement malien doit les
remettre le plus rapidement possible au HCR en tant que des réfugiés combattants armés
déserteurs et dans ce cas comme partout dans le monde les combattants réfugiés déposent
leurs armes avant d’entrée dan le pays d’accueil et c’est un devoir pour le gouvernement
malien de veiller à l’application de ce principe pour la sécurité de sa population Il n’est
point question d’intégrer ces libyens dans l’armée malien ils doivent être pris en compte
par le programme du HCR
 
 Répondre à < djraminadjrara >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 22:04:03 GMT
 
3)Nous disons que les Touaregs qui ont la nationalité libyenne sont des libyens et non des
maliens même s’ils ont des origines maliennes En conséquence le gouvernement malien doit les
remettre le plus rapidement possible au HCR en tant que des réfugiés combattants armés
déserteurs et dans ce cas comme partout dans le monde les combattants réfugiés déposent
leurs armes avant d’entrée dan le pays d’accueil et c’est un devoir pour le gouvernement
malien de veiller à l’application de ce principe pour la sécurité de sa population Il n’est
point question d’intégrer ces libyens dans l’armée malien ils doivent être pris en compte
par le programme du HCR
 
 Répondre à < djraminadjrara >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 21:57:03 GMT
 
1)Nous disons qu’il n’y a point de danger et demandons aux journalistes de cesser de se
faire peur et de faire peur aux populations du nord En effet les militaires libyens
d’origine touareg qui sont venus au Mali armés jusqu’aux dents ne sont en fait que des
déserteurs de l’armée régulière libyenne En effet en cas de guerre les militaires gagnent ou
meurent ou se rendent Mais quand les militaires détalent sous la rage des feux de l’ennemie
avec leurs armes à des milliers de kilomètres des lieux de combats et se réfugient dans
1pays lointain on les appelle des déserteurs des lâches et sont susceptibles de passer
devant la cours martiale de leur pays Nous disons que ces déserteurs ne sont pas prêts à
l’heure actuelle de se battre à nouveau ou de s’engager dans 1 autre conflit armé car ils
veulent vivre raison pour laquelle ils ont préféré détaler que d’être tués ou de subir les
affres des prisons militaires libyennes
 
 Répondre à < djraminadjrara >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 21:56:00 GMT
 
2)Nous disons que les lettrés politiques sociétés civiles etc. du nord Mali ayant 1
conception primaire primitive et égoïste de la démocratie (comme les lettrés africains
usurpateurs du titre d’intellectuel) qui veulent utiliser ces pauvres déserteurs traumatisés
désorientés à des fin sécessionnistes doivent être mis aux arrêts s’ils sont au Mali pour
atteinte grave à la sureté de la nation par le gouvernement qui doit également émettre des
mandats d’arrêts internationaux à l’encontre de ceux qui vivent en dehors du pays aux fins
de rassurer les pauvres populations du nord qui n’aspirent qu’à vivre dans la paix et la
tranquillité
 
 Répondre à < djraminadjrara >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 21:53:53 GMT
 
3)Nous disons que les Touaregs qui ont la nationalité libyenne sont des libyens et non des
maliens même s’ils ont des origines maliennes En conséquence le gouvernement malien doit les
remettre le plus rapidement possible au HCR en tant que des réfugiés combattants armés
déserteurs et dans ce cas comme partout dans le monde les combattants réfugiés déposent
leurs armes avant d’entrée dan le pays d’accueil et c’est un devoir pour le gouvernement
malien de veiller à l’application de ce principe pour la sécurité de sa population Il n’est
point question d’intégrer ces libyens dans l’armée malien ils doivent être pris en compte
par le programme du HCR
 
 Répondre à < djraminadjrara >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 21:48:51 GMT
 
3)Nous disons que les Touaregs qui ont la nationalité libyenne sont des libyens et non des
maliens même s’ils ont des origines maliennes En conséquence le gouvernement malien doit les
remettre le plus rapidement possible au HCR en tant que des réfugiés combattants armés
déserteurs et dans ce cas comme partout dans le monde les combattants réfugiés déposent
leurs armes avant d’entrée dan le pays d’accueil et c’est un devoir pour le gouvernement
malien de veiller à l’application de ce principe pour la sécurité de sa population Il n’est
point question d’intégrer ces libyens dans l’armée malien ils doivent être pris en compte
par le programme du HCR
 
 Répondre à < djraminadjrara >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 21:43:13 GMT
 
3)Nous disons que les Touaregs qui ont la nationalité libyenne sont des libyens et non des
maliens même s’ils ont des origines maliennes En conséquence le gouvernement malien doit les
remettre le plus rapidement possible au HCR en tant que des réfugiés combattants armés
déserteurs et dans ce cas comme partout dans le monde les combattants réfugiés déposent
leurs armes avant d’entrée dan le pays d’accueil et c’est un devoir pour le gouvernement
malien de veiller à l’application de ce principe pour la sécurité de sa population Il n’est
point question d’intégrer ces libyens dans l’armée malien ils doivent être pris en compte
par le programme du HCR
 
 Répondre à < djraminadjrara >
Posté par djraminadjrara  1085,  le 13 Nov 2011 21:42:18 GMT
 
4)Quand aux touaregs qui ont gardé leur nationalité malienne ils doivent être considérés
comme maliens et doivent regagner leurs villages respectifs après avoir remis leurs armes au
gouvernement malien Nous pensons qu’avec tout le temps passé en Libye ils ont fait des
économies c’est l’occasion pour eux de créer dans leurs villages ou villes respectifs des
projets régénérateurs de revenus dans les quels ils vont donner de l’emplois à leurs parents
comme cela se passe dans toutes les autres régions du Mali En effet dans les autres régions
le développement est en généralement le fait de l’argent des émigrés et non l’action du
gouvernement Nous disons que les armes n’apportent que mort misère maladies désolation dans
leurs villes et villages Nous disons que c’est être lâche ignoble et paresseux quand muni
d’armes on s’attaque à 1être sans arme pour le déposséder de ses biens fruits de plusieurs
mois de labeur
 
 Répondre à < djraminadjrara >
38 réactions (12 en attente de modération) > 1 2 3  
 Réagir à cet Article !
Afin d'améliorer la qualité du débat sur maliweb.net, nous vous proposons de nouveaux  outils :
  • Devenez membre et votre commentaire apparaîtra immédiatement

  • Sinon, indiquez votre Pseudo (requis), et votre commentaire apparaîtra après modération

  • Pour pouvoir poster un commentaire, veuillez Obtenir un compte, en moins de 30 secondes.
    Lundi 14 Novembre 17:15 GMT
    à Bamako [La Météo]
     Accueil PolitiqueSportsÉconomieFaits diversMusiqueRégionsMondeContributionsGastronomieAnnonces Nord-MaliImmigration 
    Rechercher un article sur maliweb.net: 
    Politique
    Achérif Ag Mohamed lors de son investiture : «Je ne suis ni le candidat des Tamasheqs, ni celui des Arabes…»
     22 Septembre, 14/11/2011Commentaires [ 6 ]E-mailImprimer


    Le Président de l’Union Nationale pour le Travail et le Développement (UNTD), Achérif Ag Mohamed, un Tamasheq pur sang, a été choisi comme candidat à l’élection présidentielle par cette formation politique samedi dernier au CICB. C’était en présence d’une foule nombreuse, venue de toutes les régions et du District de Bamako lui témoigner son soutien.

    Cette cérémonie d’investiture marquait également le lancement des activités de l’UNTD. Une occasion pour Achérif de couper court aux folles rumeurs: «je ne suis le candidat des Tamasheqs, ni celui des Arabes, encore moins des Nordistes. Je me présente au nom du peuple malien». La candidature d’Achérif Ag Mohamed est une première dans l’histoire politique de notre pays. En effet, c’est la toute première fois qu’un Tamasheq, plus précisément de Kidal, se présente à l’élection présidentielle dans notre pays.

    Achérif lui-même se positionne comme le candidat de l’unité nationale, celui qui veut briser tout sentiment de méfiance entre les Maliens. Il se dit dépositaire d’un projet de société au cœur duquel il met l’unité nationale. Il affirme aussi qu’il ne cherche pas le pouvoir pour le pouvoir. «Je me présente pour tous les Maliens, pour bâtir un meilleur avenir pour le Mali», a-t-il dit. Si Achérif Ag Mohamed est élu Président, il entend combattre les préjugés qui, jusqu’à présent, nous ont divisé. «Si nous sommes condamnés à vivre ensemble, nous devons tout faire pour vivre en paix. Les populations n’aspirent qu’à la paix », a déclaré le désormais candidat de l’UNTD. C’est la raison pour laquelle il a demandé aux Nordistes de rompre avec les sentiments de méfiance entre les communautés. Il entend également améliorer les conditions de vie des populations démunies. «Comment peut-on parler de Maliba alors que 90% des Maliens ne mangent pas à leur faim et n’ont pas accès à l’eau potable », s’est interrogé, avant de poursuivre «il n’y a pas de Maliba actuellement, il n’y a que le Mali d’en bas».

    Achérif veut également restaurer l’autorité de l’Etat. Aux yeux du candidat de l’UNTD, celui-ci s’est affaibli considérablement ces dernières années. Conséquence, on assiste à l’impunité totale. «Il y a des gens qui font tout ce qu‘ils veulent, quand ils le veulent et où ils le veulent, en toute impunité, provoquant du coup une anarchie totale», a-t-il expliqué. Quand il sera investi le 8 juin prochain, Achérif veut restaurer et assainir la justice. Selon lui, si cela était fait, on se plaindrait moins aujourd’hui. Il compte aussi renforcer les capacités des populations pour les rendre politiquement informées, afin qu’elles ne soient plus l’objet de marchandages au moment des élections, chose à laquelle on assiste aujourd’hui. Le candidat investi de l’UNTD fera aussi son cheval de bataille de la défense de l’intégrité territoriale.

    Comme on le voit Achérif se positionne en candidat de l’unité. Comme pour dire qu’au Mali tous les Maliens peuvent se porter candidat à l’élection présidentielle. Qu’on soit du Sud ou du Nord, le Mali appartient à tous ses fils. Auparavant, le Secrétaire général de l’UNTD, Sidi Bathily avait solennellement invité Achérif Ag Mohamed à se présenter à l’élection présidentielle de 2012, tout en précisant que le nouveau président de la République du Mali devrait être choisi en fonction de certaines de nos valeurs sociétales.


    Youssouf Diallo

    DERNIÈRE MODIFICATION : 14/11/2011 
    CONSEIL NATIONAL DE TRANSITION LIBYEN - LIBERTÉ DE LA PRESSE - LIBYE - MAROC - PRISON - RAP - TOUAREGS -TUNISIE


    France 24
    Libye : vers une réconciliation avec les Touaregs
    Nous nous intéresserons à la difficile réconciliation entre les anciens rebelles libyens et les touaregs. Nous irons ensuite au Maroc où un jeune rappeur est emprisonné depuis deux mois. Mouad Belghouat fait l'objet d'une plainte pour agression. Un coup monté selon ses proches, pour eux c'est surtout son engagement politique qui a conduit à son arrestation.
    Enfin nous ferons un gros plan sur les défis qui attendent la presse tunisienne, une presse désormais libre.
    Click here to find out more!