vendredi 22 mars 2013

Worst case scenario » et effet papillon en afrique Sahelo-saharienne


Azawad Iyyan Ghass 22 mars 19:12
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Worst case scenario » et effet papillon en afrique Sahelo-saharienne
La rébellion du Selaka prend le pouvoir à bangui, Deby perd un alliée sur son front sud en la personne de Bozize, une vieille rébellion de son clan Zaguawa se réveille menée par son neveu Timan Erdimi et appuyée par le Quatar et le soudan ce qui l’oblige à se retirer illico du Mali. La Franceau milieu oblige de faire le grand écart, Boko haram profite de la situation et aspire les djihadistes africains en perte de vitesse vers l’Est, le Nigeria devient un pays en guerre, les djihadistes Nord africains se replient sur l’Algérie ou ils intensifient les attentats aidées en douce par des partis comme Enhada en Tunisie qui perdra les prochaines élections, le Niger touché à partir du sud. Au Mali le sud las d’attendre une issue finale reprend ses querelles de clocher politique et le problème « touareg » fait tache d’huile petit a petit sur le Niger et peut être même l’Algérie. La lybie se stabilise et accueille mieux les touaregs en leur accordant même la nationalité ce qui mettra l’Algérie en position de faiblesse au vu des mauvais traitements qu’elle réserve à ces derniers. La question s’internationalise dans un chaos parallèle autour. Les narco colombiens intensifient leurs soutiens aux nouveaux groupes qui vont se créer pour ouvrir des nouvelles routes vers l’Europe, les mini-conflits interethniques se multiplient pour le contrôle des ressources de la drogue avec l’impossibilité du développement et l’absence des Etats. La zone est mise sous tutelle des nations unies ou des pays occidentaux ayant la capacité de réponse militaire suffisante pour renverser les rapports de force de façon localisée mais sans s’impliquer dans les aspects politiques au risque d’être accusés de néocolonialistes, les statut quo se multiplient sur des questions de plus en plus transfrontalières qu’aucun Etat ne pourra régler seul et la population en majorité jeunes déprime, la famine et les déplacements de populations s’intensifient. Les nations unies et les humanitaires ne peuvent plus répondre aux besoins, la famine s’installe durablement, les économies formelles chutent au profit de l’informel et du marché parallèle. Pourvu que tout cela n’arrive jamais ....

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