TESHUMAR.BE est dedié à la CULTURE du peuple touareg? de ses voisins, et du monde. Ce blog, donne un aperçu de l actualité Sahelo-Saharienne. Photo : Avec Jeremie Reichenbach lors du Tournage du film documentaire : « Les guitares de la résistance Touaregue », à la mythique montée de SALUT-HAW-HAW, dans le Tassili n’Ajjer-Djanet- Algérie. 2004. Photo de Céline Pagny-Ghemari. – à Welcome To Tassili N'ajjer.
samedi 31 mars 2012
Alassane Dramane Ouattara
Le tripatouillage éhonté a été ta règle de régulation de l'autocratie, et ton pouvoir n'est que l'image d'une espérance conditionnée par la violence.il n'y a que les bruits des pétards pour vous ramener à l'ordre.
Le manque d'espoir pour diriger la Côté d'Ivoire que vous avez transformer en côte de l'Ivoire (pour les multinationales, que offrira mieux). Vous avez Exellence Monsieur le président des Ivoiriens, une part de responsabilité historique et de culpabilité.
Le chaos et le sang par lequel, vous êtes arrivés au pouvoir, sont en faite des circonstances charnières d'autorégulation de votre discours et actions.
La décadence de votre COTE D'IVOIRE, devra préserver les autres peuples de la bétise humaine, qu'est votre DEMOCRATIE MORTELLEMENT bâtie sur des bases tribales, claniques et groupusculaires.
Les morts de votre pays, au nom de votre soif du pouvoir, se doivent d'éclairer les autres peuples de la dangerosité des raccourcis de la Dialectique Politique.
Je viens à vous, vous dire, que l'Histoire des peuples Africains, ne vous donnera pas l'occasion d'envahir l'AZAWAD.
On sera là débout, fasse à votre politique suicidaire, de vouloir embraser la sous-région avec vos discours sans fin démocratique.
Quelle leçon avons-nous a retenir, de +10 ans de Chaos à l'IVOIRITE!!
Mes salutations Excellence le Président Alassane D.Ouattara
Le tripatouillage éhonté a été ta règle de régulation de l'autocratie, et ton pouvoir n'est que l'image d'une espérance conditionnée par la violence.il n'y a que les bruits des pétards pour vous ramener à l'ordre.
Le manque d'espoir pour diriger la Côté d'Ivoire que vous avez transformer en côte de l'Ivoire (pour les multinationales, que offrira mieux). Vous avez Exellence Monsieur le président des Ivoiriens, une part de responsabilité historique et de culpabilité.
Le chaos et le sang par lequel, vous êtes arrivés au pouvoir, sont en faite des circonstances charnières d'autorégulation de votre discours et actions.
La décadence de votre COTE D'IVOIRE, devra préserver les autres peuples de la bétise humaine, qu'est votre DEMOCRATIE MORTELLEMENT bâtie sur des bases tribales, claniques et groupusculaires.
Les morts de votre pays, au nom de votre soif du pouvoir, se doivent d'éclairer les autres peuples de la dangerosité des raccourcis de la Dialectique Politique.
Je viens à vous, vous dire, que l'Histoire des peuples Africains, ne vous donnera pas l'occasion d'envahir l'AZAWAD.
On sera là débout, fasse à votre politique suicidaire, de vouloir embraser la sous-région avec vos discours sans fin démocratique.
Quelle leçon avons-nous a retenir, de +10 ans de Chaos à l'IVOIRITE!!
Mes salutations Excellence le Président Alassane D.Ouattara
Date: 31.03.2012 Heure: 22:18 GMT
Ajouté le : 31.03.2012 12:35
Mali: L'armée loyale délogée de Gao
ALAKHBAR (Nouakchott) – Après la chute, hier de Kidal, ville stratégique dans le nord du Mali, la ville de Gao est tombée ce samedi entre les mains de combattants hostiles à Bamako.
Et pendant que le MNLA annonçait que ses combattants ont libéré la ville de Gao, d'autres informations évoquent une opération menée par les combattants du mouvement MUJAO, dissidents d'AQMI, pour y déloger les forces loyales.
La ville de Sango, près de la frontière avec le Niger est aussi occupée vendredi soir, par les combattants touareg.
Et pendant que le MNLA annonçait que ses combattants ont libéré la ville de Gao, d'autres informations évoquent une opération menée par les combattants du mouvement MUJAO, dissidents d'AQMI, pour y déloger les forces loyales.
La ville de Sango, près de la frontière avec le Niger est aussi occupée vendredi soir, par les combattants touareg.
source bien informee: Reagissant a la decision de la CEDEAO concernant l'intervention militaire , les hauts cadres militaires, politiciens et diplomates azawadiens contestent cette decision visant un netoyege ethnique de la population de l'Azawad et appellent l'ONU,UE,UA,OCI et la ligue arabe afin d'intervenir pour sauver les peuples authoctonnes. C'est pourquoi certains d'eux s'adherent au MNLA pour liberer le reste de l'Azawad, parmi ceci: le colonel major Elhaji AG GAMOU et une dezaine colonels ,l'ensemble des representants des touaregs et arabes dont l'honorable Assarid AG IMBARKAWANE, le president du haut conseil Oumou AG Mohamed Ibrahim....a suivre.
Déclaration d'Adhésion d'Officiers au MNLA dont le Colonel-Major Elhadj Ag Gamou
Moi Colonel Major Elhadj Ag Gamou, ancien chef de commandement des troupes maliennes dans la région de Kidal, et toutes les troupes sous mon commandement, déclarons notre adhésion au MNLA.
j'en appel à l'ensemble des Azawadis à rejoindre et renforcer le Mouvement National de Libération de l'Azawad dans sa lutte pour l'independance, car il reste aujourd'hui la seule organisation capable de faire sortir notre peuple du gouffre dans le quel l'a entretenu le Mali plus de 50 ans.
Nous denonçons la mauvaise gestion et la politique de l'Autriche de l'Etat malienn dans l'Azawad, et nous déclarons à tous notre demision de toutes ses instances. J'en appel à la communauté sous regionale, regionale et internationale a aider le peuple de l'Azawad à travers le MNLA pour son accession à l'independance. Nous déclarons que toutes nos expériences sont acquise au profit de l’Azawad, et pour l’intérêt du peuple de l’Azawad, dans l’atteinte de son objectif d'indépendance et la restauration des droits spoliés.
Nous rappelons que toutes les crises survenus jusque-là dans l’Azawad, sont révélatrices de la résurgence d’actions libératrices, longtemps différées par les citoyens. Elles constituent, l’expression du sanglot d’un peuple meurtris, tyrannisé, bafoué, spolié et manipuler tout au long de sa péripétie historique. L’Azawad attend d’être élagué de ses branches superflues, des gouvernements maliens successifs, gouvernant par la famine, la paupérisation, l’intimidation et le vol. Les légitimités politiques, usurpées, ca et là, confèrent des démocraties à vie, accentuant la nécessité d’une rupture radicale avec la pratique en cours.
Kidal le 31/03/2012
Colonel-Major
Elhadji Ag Gamou
Déclaration d'Adhésion d'Officiers au MNLA dont le Colonel-Major Elhadj Ag Gamou
Le Mouvement Nationale de Libération de l’Azawad, porte à la connaissance de l’Opinion Nationale et Internationale, de l’adhésion à son sein de Hautes personnalités militaires dont le Colonel-Major Elhadj Ag Gamou et certains officiers. Ils déclarent que toutes leurs expériences sont acquise au profit de l’Azawad, et pour l’intérêt du peuple de l’Azawad, dans l’atteinte de l’autodétermination et la restauration des droits spoliés.
Le MNLA rappel que toutes les crises survenus jusque-là dans l’Azawad, sont révélatrices de la résurgence d’actions libératrices, longtemps différées par les citoyens. Elles constituent, l’expression du sanglot d’un peuple meurtris, tyrannisé, bafoué, spolié et manipuler tout au long de sa péripétie historique. L’Azawad attend d’être élagué de ses branches superflues, des gouvernements maliens successifs, gouvernant par la famine, la paupérisation, l’intimidation et le vol. Les légitimités politiques, usurpées, ca et là, confèrent des démocraties à vie, accentuant la nécessité d’une rupture radicale avec la pratique en cours.
Ces lignes…pour les femmes, les hommes, du monde dominé, pour celles et ceux qui sur la route, sont restés debout…pour les ami(es) de cette résistance, qui ont décidé de n’accepter aucun silence complice, ni aucune dénonciation sélective.
Bakaye Ag Hamed Ahamed
Chargé de Communication, Informations et relais avec les Médias
MISE EN GARDE DE LA CEDEAO.
- Publications actualisées
- Communique de presseLe MNLA appelle la CEDEAO a renoncer à sa décision d’engager des forces africaines dans le conflit qui l’oppose à l’Etat malien et privilégier la voie politique pour trouver une solution politique à ce conflit.
Nous rappelons que la CEDEAO doit répondre aux aspirations des peuples dont sont issues les chefs d’états et non à la volonté égoïstes de certains chefs d’état africains plus soucieux de rester au pouvoir que de répondre aux aspirations légitimes des populations africaines.
Toute action militaire de la part de CEDEAO est vouée à l’échec et ne fera que plonger la région dans un désastre politique et humanitaire sans précédent.
Le MNLA saisi l’occasion pour informer l’opinion Nationale de l’Azawad et la communauté internationale qu’à ce jour Samedi 31 Mars 2012 les Villes de Kidal, Gao et Tombouctou sont sous son contrôle.Pour le MNLA
Mossa Ag Attaher
Charge de communication
Dernière info publiée le samedi 31 mars 2012
Mali : la force armée de la Cédéao met en alerte une force armée de 2 000 hommes
«Nous avons mis en alerte les forces d’attente au sein de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, (Cédéao)», a déclaré ce samedi 31 mars 2012 à la télévision publique Alassane Ouattara, le chef de l’Etat ivoirien, et président en exercice de l’organisation. Une décision prise dans le but de «préserver à tout prix l’intégrité territoriale du Mali». La veille, les rebelles touaregs ont pris la ville de Kidal.
Un soleil nouveau se lève sur le territoire de l’Azawad, en ce jour exceptionnel pour le peuple Azawadiens qui a passé 52 ans de lutte sous l'oppression de la dictature Malienne, la souffrance des famines sans aucune assistance, la désolation des massacres suite aux rebellions et l'exode forcée vers les pays arabes dans lesquels la vie n'est que misérable pour les Azawadiens. Aujourd'hui avec l'aide de dieu les abandonnés du monde retrouve leur dignité, leur fierté, leur liberté . I n'y a pas de mots pour exprimer la joie de tous les Azawadiens après la libération de Gao la capitale militaire de l'ex-nord-mali vient s'ajouter a la libération de l'Adrar des Ifoghas et la libération de Tombouctou n'est plus qu'une question d'heure et la proclamation de la grande république de l'Azawad se fera dans les jours avenir aux yeux du monde entier !! Ainsi nous appelons les nations unis, l'Amérique, la France, la grande Bretagne, l'Allemagne, l'Italie , le Qatar et tous les pays qui soutiennent les peuples épris de justice dans un passé récent a reconnaitre l'indépendance de l'Azawad !! Vive l'Azawad libre prospere et democratique!!!
DERNIÈRE MODIFICATION : 31/03/2012
- AMADOU TOUMANI TOURÉ - CÉDÉAO - COUP D'ÉTAT - MALI - TOUAREGS
Les rebelles touaregs ont pénétré dans Gao, place forte de l’armée malienne
Bastion des forces gouvernementales dans le nord du Mali, la ville de Gao est le théâtre de combats entre l’armée et la rébellion touareg. La junte au pouvoir à Bamako demande l’aide des pays voisins pour stopper l’avancée des insurgés.
La rébellion touareg gagne du terrain dans le nord du Mali. Après s’être emparé vendredi 30 mars de Kidal, les insurgés se sont attaqués ce samedi à Gao, une importante ville du nord du pays. Des tirs se sont fait entendre dans cette localité, qui abrite notamment le commandement opérationnel des forces maliennes pour le nord du pays.
"Des rebelles [touareg] ont pénétré dans la ville", a confirmé à l'AFP Mahamane Diakité, conseiller du gouverneur de Gao, qui a par ailleurs fait état de tirs à l’arme lourde.
Après avoir abandonné aux rebelles les localités d’Ansogo et de Bourem, l’armée régulière avait effectué un retrait stratégique sur Gao afin d’y renforcer ses positions et de préparer une contre-offensive. C’est donc une bataille importante qui se tient ce samedi entre la junte militaire, qui a pris le pouvoir le 22 mars à Bamako, et les forces rebelles, emmenées par le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) et des groupes islamistes.
Depuis la mi-janvier, ces différents groupes rebelles ont lancé une vaste offensive et contrôlent désormais la quasi-totalité du nord-est malien, seule la ville de Tombouctou étant encore sous contrôle gouvernemental.
Inquiétude de la Cédéao
Depuis le récent coup d’État, qui a renversé le président Amadou Toumani Touré (dit "ATT"), c’est une junte militaire, emmenée par le capitaine Amadou Sanogo, qui est au pouvoir au Mali. Des putschistes qui assurent avoir pris le pouvoir du fait de l’incapacité du régime d’ATT à endiguer la rébellion.
Mais face à l’avancée rebelle, Amadou Sanogo a été contraint de lancer, vendredi, un appel à la communauté internationale. "Notre armée a besoin de l'aide des amis du Mali pour sauver la population et l'intégrité territoriale du Mali", a-t-il déclaré depuis la caserne de Kati, à proximité de Bamako, qui sert de QG à la junte.
Si la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), a condamné le putsch au Mali et demandé le retour de l’ordre constitutionnel, le président ivoirien, Alassanne Ouattara, a toutefois indiqué, ce samedi, que l'organisation politique ouest-africaine avait "mis en alerte" une force armée de 2 000 hommes, dans le but de "préserver à tout prix l'intégrité territoriale du Mali".
"Des rebelles [touareg] ont pénétré dans la ville", a confirmé à l'AFP Mahamane Diakité, conseiller du gouverneur de Gao, qui a par ailleurs fait état de tirs à l’arme lourde.
Après avoir abandonné aux rebelles les localités d’Ansogo et de Bourem, l’armée régulière avait effectué un retrait stratégique sur Gao afin d’y renforcer ses positions et de préparer une contre-offensive. C’est donc une bataille importante qui se tient ce samedi entre la junte militaire, qui a pris le pouvoir le 22 mars à Bamako, et les forces rebelles, emmenées par le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) et des groupes islamistes.
Depuis la mi-janvier, ces différents groupes rebelles ont lancé une vaste offensive et contrôlent désormais la quasi-totalité du nord-est malien, seule la ville de Tombouctou étant encore sous contrôle gouvernemental.
Inquiétude de la Cédéao
Depuis le récent coup d’État, qui a renversé le président Amadou Toumani Touré (dit "ATT"), c’est une junte militaire, emmenée par le capitaine Amadou Sanogo, qui est au pouvoir au Mali. Des putschistes qui assurent avoir pris le pouvoir du fait de l’incapacité du régime d’ATT à endiguer la rébellion.
Mais face à l’avancée rebelle, Amadou Sanogo a été contraint de lancer, vendredi, un appel à la communauté internationale. "Notre armée a besoin de l'aide des amis du Mali pour sauver la population et l'intégrité territoriale du Mali", a-t-il déclaré depuis la caserne de Kati, à proximité de Bamako, qui sert de QG à la junte.
Si la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), a condamné le putsch au Mali et demandé le retour de l’ordre constitutionnel, le président ivoirien, Alassanne Ouattara, a toutefois indiqué, ce samedi, que l'organisation politique ouest-africaine avait "mis en alerte" une force armée de 2 000 hommes, dans le but de "préserver à tout prix l'intégrité territoriale du Mali".
Azawad Flash/ Joint par Tel un Commandant du MNLA vient de nous confirmer que Gao comme Tombouctou sont libérés et que la situation est sous contrôle.
La nouvelle a soulevé une immense onde de joie et de manifestations à travers tous les pays ou vivent des Sahariens.
Le territoire historique de l'Azawad vient de connaître pour la première fois la Liberté et l’Indépendance.
Tanimert MNLA
Tanimert Ayitma
Itouss Ohar
MALI / KIDAL -
Article publié le : samedi 31 mars 2012 - Dernière modification le : samedi 31 mars 2012
Mali: après la chute de Kidal, quelle va être la tactique des insurgés touaregs ?
La région de Kidal est située au Nord-Est du Mali.
Latifa Mouaoued/RFI
Par RFI
L'armée malienne dit avoir évacué deux nouvelles localités du nord-est du Mali, après la prise vendredi 30 mars au matin de la ville de Kidal par des rebelles touareg. «Nous avons stratégiquement abandonné nos positions dans les localités de Ansogo et de Bourem pour renforcer nos positions à Gao», indique un communiqué de l'état-major malien.La ville de Gao abrite le commandement opérationnel de l'armée malienne pour le nord du pays. Avec Tombouctou, Gao est la ville la plus importante du nord du Mali encore sous contrôle gouvernemental face à l'avancée des rebelles touareg, qui mènent depuis la mi-janvier une vaste offensive dans cette région.
Le chef de la junte s'est exprimé lors d'une conférence de presse à Bamako vendredi.
La prise de Kidal, vendredi matin, est une victoire très symbolique pour la rébellion. Les 2 camps militaires de la ville ont été désertés par les soldats loyalistes commandés par le colonel Gamou, qui s'est lui même retiré après la défection d'une partie de ses hommes.
Qui sont les rebelles qui sont entrés dans Kidal ?
Les habitants de Kidal sont formels. En milieu de matinée vendredi 30 mars, ils ont vu des hommes entrer en ville aux cris d'«Allah Akbar», «Dieu est grand», des hommes du mouvement Ansar Dine, des personnalités connues localement
Des drapeaux du MNLA, le Mouvement national pour la libération de l'Azawad,
ont aussi été aperçus sur des pick-ups au cours de la journée. Le MNLA affirme avoir lancé l’assaut sur Kidal, plus précisément sur le camp 2, en direction de Menaka, pendant qu’Ansar Dine s’attaquait au 1er camp militaire situé à l'Ouest.
Abdul Karim ag Matafa, le président du conseil révolutionnaire du MNLA, qui était à Kidal hier soir, confirme : «Ansar Dine, ils ont leurs ojectifs et nous nous avons les nôtres. Ils sont de Kidal ; s’ils veulent combattre, ils peuvent combattre. One ne peut pas les en empêcher. Ansar Dine ce sont des frères, des amis. Ils sont sur le terrain, nous sommes obligés de collaborer avec eux, d’une manière ou d’une autre, ce qui n’empêche pas la division, les divergences sur certains points.»
il y a dix jours, une rencontre entre Ansar Dine, qui réclame l'application de la charia, et le MNLA, qui se bat pour l'indépendance de l'Azawad, s'était semble t-il soldée par une rupture. Reste à voir si la bataille de Kidal va sceller une nouvelle dynamique de terrain entre les deux mouvements pour d'autres conquêtes.
La prise de Kidal, vendredi matin, est une victoire très symbolique pour la rébellion. Les 2 camps militaires de la ville ont été désertés par les soldats loyalistes commandés par le colonel Gamou, qui s'est lui même retiré après la défection d'une partie de ses hommes.
Qui sont les rebelles qui sont entrés dans Kidal ?
Des drapeaux du MNLA, le Mouvement national pour la libération de l'Azawad,
ont aussi été aperçus sur des pick-ups au cours de la journée. Le MNLA affirme avoir lancé l’assaut sur Kidal, plus précisément sur le camp 2, en direction de Menaka, pendant qu’Ansar Dine s’attaquait au 1er camp militaire situé à l'Ouest.
il y a dix jours, une rencontre entre Ansar Dine, qui réclame l'application de la charia, et le MNLA, qui se bat pour l'indépendance de l'Azawad, s'était semble t-il soldée par une rupture. Reste à voir si la bataille de Kidal va sceller une nouvelle dynamique de terrain entre les deux mouvements pour d'autres conquêtes.