Stupeur vendredi soir lorsque les Libyens voient apparaître à l'écran, un Mouammar Kadhafi menaçant «les croisés de l'Otan» avant que des chansons louant le « frère Guide » ne retentissent. Le tout accompagné de ce petit soleil levant en bas à droite, logo de la Jamahirya TV.
La colère monte chez les rebelles qui sur internet appellent à manifester devant l'ambassade d'Egypte à Tripoli. C'est en effet via le satellite Nilesat, propriété des autorités égyptiennes que les images ont été diffusées.
Abdallah Naker, chef du conseil des rebelles de Tripoli, dans un communiqué menace le Haut conseil militaire égyptien de faire fermer l'ambassade d’Égypte à Tripoli ainsi que la frontière avec le voisin, si jamais l'antenne n'était pas coupée. Entre temps, la chaîne a cessé d'émettre mais les responsables de Nilesat ont eux nié avoir permis la diffusion de ce programme.
Le soupçon, fondé ou non, est né du fait que beaucoup de cadres de l'ancien régime se sont exilés avec leur fortune en Egypte. Abdallah Naker les a menacés de les mettre sous terre avec Kadhafi s'ils poursuivaient leur propagande.
De son côté, le gouvernement libyen qui n’a pas osé prendre position dès le début de cette crise, a annoncé qu’il prendrait contact avec les autorités égyptiennes pour régler le problème de façon diplomatique.
La colère monte chez les rebelles qui sur internet appellent à manifester devant l'ambassade d'Egypte à Tripoli. C'est en effet via le satellite Nilesat, propriété des autorités égyptiennes que les images ont été diffusées.
Abdallah Naker, chef du conseil des rebelles de Tripoli, dans un communiqué menace le Haut conseil militaire égyptien de faire fermer l'ambassade d’Égypte à Tripoli ainsi que la frontière avec le voisin, si jamais l'antenne n'était pas coupée. Entre temps, la chaîne a cessé d'émettre mais les responsables de Nilesat ont eux nié avoir permis la diffusion de ce programme.
Le soupçon, fondé ou non, est né du fait que beaucoup de cadres de l'ancien régime se sont exilés avec leur fortune en Egypte. Abdallah Naker les a menacés de les mettre sous terre avec Kadhafi s'ils poursuivaient leur propagande.
De son côté, le gouvernement libyen qui n’a pas osé prendre position dès le début de cette crise, a annoncé qu’il prendrait contact avec les autorités égyptiennes pour régler le problème de façon diplomatique.
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